Arielle Dombasle & Nicolas Ker (Musiques en Live)

Après 3 ans de collaboration entre Arielle Dombasle et Nicolas Ker, l’album “La Rivière Atlantique” est paru le 14 octobre 2016 ainsi que le film “Alien Crystal Palace” en 2019. Mélangeant le charme et l’excès, le duo publiera son deuxième album commun le 19 juin (“Empire“) et fait patienter son public avec un second single baptisé “Le Grand Hôtel“. L’harmonie et la sensualité dégagent une atmosphère new wave des 11 morceaux d’un disque enregistré avec l’aide du réalisateur de Jeanne Added (Mark Kerr, frère de Jim des Simple Minds) dont une majorité de titres sont anglophones. En plein confinement, ils ont accepté de répondre aux questions de Diego pour Musiques En Live.

Arielle Dombasle dans le clip "Le Grand Hôtel"

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Arielle, quels souvenirs conservez-vous du quatuor « Les Parisiennes » en 2018 ? Vous êtes plutôt rock n’roll ou yéyés ?

ARIELLE DOMBASLE : Des séries de scènes éblouissantes de gaîté, de rires et de danses. Un revival des girl-groups des années 60. Pour répondre à votre deuxième question, je ne connais pas les yéyés !

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Quelles différences y’a t’il entre « La Rivière Atlantique » de 2016 et votre nouvel album à paraître en juin « Empire » ?

NICOLAS KER : La Rivière Atlantique” était un album plus océanique, habité par un sujet précis qui hante également “Alien Crystal Palace“, le long-métrage d’Arielle. Notre nouvel album “Empire” participe plus de la glaise et des formules kabbalistiques qui engendrent un golem. 

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Nicolas, comment t’est venue l’inspiration de ce deuxième album ? Quelle était le rôle d’Arielle Dombasle dans l’écriture ?

NICOLAS KER : L’inspiration vient de Philip K. Dick et de Jim Morrison qui prétendaient tous deux que « le règne matériel est carcéral, ou qu’il peut être une public school dans laquelle le châtiment corporel serait une forme d’éducation ».

Ce n’est pas vraiment un constat que partage Arielle, mais notre télépathie artistique fait qu’elle agissait à un niveau formel : je pouvais dire “la tournure de cette phrase (ou l’utilisation du Fa#m à ce moment-là) n’est pas très heureuse”, et à un bref regard entre nous, je savais immédiatement ce qu’il fallait que je cherche ou fasse, ou si c’était cela précisément. Même si je disposais du final-cut, nous étions tous deux arbitres des élégances. 

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Arielle, en quoi diffère une collaboration avec Philippe Katerine d’une autre avec Nicolas Ker ? Comment dirige t’on Nicolas Ker sur un plateau de cinéma ?

ARIELLE DOMBASLE : Ce sont deux cosmos différents et compatibles. On ne dirige pas Nicolas Ker!

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Tous deux comment définiriez-vous votre partenaire musical ?

ARIELLE DOMBASLE : La plus belle voix du rock, la morale d’un punk, le talent d’un compositeur de génie. 

NICOLAS KER : Indescriptible! une sorte de sphynx aux griffes rétractées. Mais j’ai l’avantage de connaître ses habitudes! Imaginez une freaky-hippie arborant à son poignet une montre suisse…

Plus personnellement, je dirais qu’Arielle est nocturne, florale, labyrinthique, tout en demeurant accessible.

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Vous êtes déjà sortie dans les nuits Parisiennes avec Nicolas ?

ARIELLE DOMBASLE : Je suis sortie dans sa nuit sur scène.

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Que pouvez-vous me dire sur le clip « Just Come Back Alive », difficile de savoir où il a été tourné ?

NICOLAS KER : Nous avons passé trois jours à Lisbonne au Portugal. Arielle l’a réalisé et monté avec Thierry Humbert, l’un des cadreurs et monteurs avec qui elle préfère travailler. Ils l’ont filmé à la wild à deux dans des lieux désaffectés, sans aucun folklore lisboète. 

DIEGO*ON*THE*ROCKS : « La Belle Et La Bête » serait-il un titre envisageable pour un futur troisième album ?

NICOLAS KER : Ha non, misère! Certainement pas! Je préférerais même « Laurel & Hardy« , c’est te dire…

ARIELLE DOMBASLE : J’adore « La Belle Et La Bête ».

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Nicolas, Que penses-tu du personnage de Berurier Noir dans la chanson « Vivre Libre ou Mourir » qui est psychopathe à 14 ans, alcoolique à 17 et délinquant à 18 ans ?

NICOLAS KER : Pour te répondre, je citerai pour cela un passage d’une chanson de Lou Reed qui s’appelle « Street Hassle » : « You know, some people got no choice, and they can never find a voice, to talk with that they can even call their own, So the first thing that they see, that allows them the right to be, why they follow it, you know, it’s called bad luck. »

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Malgré cette « mauvaise chance », on pourrait envisager un futur album de Poni Hoax ?

NICOLAS KER : Poni Hoax a malheureusement splitté il y a maintenant à peu-près trois ans. Personnellement, j’ai toujours trouvé cela dommage et serais prêt à partir sur un 5ème album mais cela ne dépend pas que de moi… Ce que je trouve charmant c’est que le split s’est fait ainsi, sans aucun mauvais sang entre les musiciens. Nous sommes toujours tous restés amis, chacun avec chacun. 

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Si vos existences étaient des œuvres d’art, quelles seraient-elles ?

ARIELLE DOMBASLE : Les fleurs du mal” de Charles Baudelaire.

NICOLAS KER : Guernica” (Picasso) , “Don Quichotte” (Cervantes) et “Molloy” (Beckett), un hybride des trois. 

Arielle Dombasle & Nicolas Ker par Charlélie Marangé

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Pour finir, qui sont vos héros rock n’roll ?

ARIELLE DOMBASLE : Nick CaveJoy Division, Bowie et Nicolas Ker. 

NICOLAS KER : Jeffrey Lee Pierce du Gun Club et Vince Taylor quand il commençait à devenir plus âgé.

DIEGO*ON*THE*ROCKS : Merci pour cette interview, bon confinement et à bientôt peut-être sur scène…

  • Nouveau single : “Le Grand Hôtel” – 24 avril 2020
  • Nouvel album : “Empire” – 19 juin 2020 (Barclay)
  • Remerciements : Marie Britsch.
  • Photos : Charlélie Marangé
  • Relecture : Florence R.

Les Parisiennes dans Les 300 Chœurs chantent les années 60

Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Helena Noguerra interprètent « Il fait trop beau pour travailler » accompagnées par la chorale Sankofa Unit dans 3oo Chœurs chantent les années 60.

Le buzz rétro psychédélique d’Arielle Dombasle (Madame Figaro)

Cette artiste complète s’affirme plus fantaisiste et onirique que jamais dans son nouveau long métrage.

UNE COLLABORATION. A travers Alien Crystal Palace, la chanteuse, actrice, scénariste et cinéaste prolonge son travail avec Nicolas Ker, compositeur de son dernier album, La Rivière Atlantique. Les créations du musicien composent la bande originale de ce film atypique.

UN UNIVERS SINGULIER. Arielle Dombasle signe un ovni cinématographique sur un savant fou qui tente de créer l’être parfait, né de la fusion entre une vidéaste et un musicien. « Flamboyant et burlesque », selon sa réalisatrice, le film puise ses inspirations visuelles chez David Lynch et dans le giallo, genre italien entre horreur et érotisme, popularisé par Dario Argento.

UN QUATUOR. Les Parisiennes, le groupe formé par Arielle Dombasle, Inna Modja, Mareva Galanter et Helena Noguerra à l’initiative de Laurent Ruquier, a sorti un album pour prolonger le plaisir de leur spectacle pop et rétro.

Découvrez la bande d’annonce d’Alien Crystal Palace :

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=YnkaH-dFQsQ&w=560&h=315]

Les Parisiennes dans TV5 Acoustic

Les Parisiennes et Anaïs étaient les invitées de Sébastien Folin dans Acoutic sur TV5 MONDE. Les nouvelles Parisiennes ont interprété les plus grands tubes du groupe : « Il fait trop beau pour travailler, » « L’argent ne fait pas le bonheur » ou encore « On fait peur aux garçons » !

Une émission à revoir en intégralité ci-dessous :

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=sJE_EVckiEI&w=560&h=315]

Les petits bonheurs d’Arielle Dombasle (Homme Deluxe)

Arielle Homme Deluxe Yves Bottalico

Touchante, fascinante, Arielle est à la fois une grande romantique et une artiste unique. Modèle, cantatrice, muse, actrice, danseuse, réalisatrice, elle se donne à fond avec talent et folle passion. Un bonheur de rencontre !

Les Parisiennes débarquent dans Babel sur Seine (France Inter)

Les Parisiennes étaient les invitées de Giulia Foïs dans Babel sur Seine sur France Inter. Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra ont fait voyager les auditeurs de l’émission en évoquant le Mexique, l’Amérique, le Mali ou encore la Belgique qui ont accompagné nos Parisiennes dans leurs parcours respectifs.

Une émission à écouter en intégralité sur le site de France Inter ou en cliquant ici.

Les Parisiennes seront en concert les 18 & 19 décembre prochains à L’Olympia !

Les Parisiennes dans L’Invité sur TV5 Monde

Les Parisiennes étaient sur le plateau de L’Invité de Patrick Simonin sur TV5 Monde. Avec joie et gaieté, elles ont apporté fraîcheur, bonne humeur et musique pour annoncer leurs deux concerts exceptionnels les 18 et 19 décembre à l’Olympia !

Replay – Arielle Dombasle en interview dans Scènes sur Seine (BFM Paris)

Arielle Dombasle était invitée de l’émission Scènes sur Seine pour évoquer les deux concerts exceptionnels des Parisiennes à l’Olympia les 18 & 19 décembre prochains !

Une interview à revoir en intégralité :

Replay – Arielle Dombasle dans On Refait la Télé sur RTL

Ce weekend, Jade et Eric Dussart recevaient Arielle Dombasle, figure emblématique des Grosses Têtes, dans On Refait la Télé sur RTL !

Ré-écoutez l’émission du samedi en intégralité en cliquant ici !
Ré-écoutez l’émission du dimanche en intégralité en cliquant ici !

Arielle Dombasle revient sur sa participation à l’émission Danse avec les Stars, évoque ses plus grands moments de télévision et présente la tournée des Parisiennes (avec Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra).

Après une tournée dans toute la France, Les Parisiennes seront en concert à L’Olympia pour deux dates exclusives les 18 & 19 décembre 2018 !

Replay – Les Parisiennes dans Les Années Bonheur (France 2)

Invitées par Patrick Sébastien dans Les Années Bonheur, Les Parisiennes ont interprété un medley de leurs plus grands succès :

Les Parisiennes sont en tournée dans toute la France et monteront sur la scène de l’Olympia les 18 & 19 décembre :

Replay – Arielle Dombasle & Helena Noguerra dans On Refait les Grands Duos de l’Humour

À l’invitation de l’humoriste Kad Merad, Arielle Dombasle et Helena Noguerra se sont retrouvées sur la scène du Théâtre de Paris pour interpréter le célèbre slow culte de Guy Bedos et Sophie Daumier.

C’est en 1973 que le couple formé par Guy Bedos et Sophie Daumier a donné naissance à ce sketch mythique ici repris par Arielle Dombasle et Helena Noguerra, du quatuor Les Parisiennes :

Nos deux Parisiennes retrouveront Mareva Galanter et Inna Modja sur scène à partir du 29 septembre pour débuter la tournée Les Parisiennes qui passera par toute la France avant de revenir à Paris les 18 et 19 décembre sur la scène de l’Olympia !

Arielle Dombasle invitée de Anne Roumanoff dans Ça fait du bien sur Europe 1

Arielle Dombasle fait partie du groupe reformé par Laurent Ruquier, Les Parisiennes. L’occasion pour elle d’évoquer, au micro d’Anne Roumanoff sur Europe 1 « l’esprit de Paris, cette chose qui est unique et que le monde nous envie ».

Ré-écoutez l’émission en intégralité :

Les Parisiennes sont de retour et « ce sont des beautés ». Arielle Dombasle, invitée d’Anne Roumanoff sur Europe 1 jeudi, a évoqué le quatuor féminin qu’elle forme avec Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter. Convaincues par Laurent Ruquier de reformer le groupe yé-yé des années 60, elles reprennent ensemble les chansons composées par Claude Bolling pour Les Parisiennes de l’époque, parmi lesquelles Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur ou encore Je te déteste.

Un « girls band » qui illustre « l’esprit de Paris ». Dans ce « girls band » reformé, ce qui ressort, c’est la mixité. Inna Modja est née au Mali, Helena Noguerra en Belgique, Mareva Galanter à Tahiti et Arielle Dombasle aux États-Unis. D’après cette dernière, cela illustre parfaitement « l’esprit de Paris », « cette chose qui est unique et que le monde entier nous envie ». « Ce qui est merveilleux avec Paris, les Parisiennes, la France, c’est que c’est un pays de mixité », souligne Arielle Dombasle. « Paris, c’est finalement un carrefour de science, d’art et on peut venir d’ailleurs et devenir parfaitement parisienne. »


Ben H : « Arielle Dombasle, vous êtes le rêve absolu de nombreux hommes »
 

« Il fallait comprendre le style de Bolling ». Après une tournée dans toute la France, les quatre Parisiennes seront sur la scène de l’Olympia les 18 et 19 décembre prochains. « On se met au service des ces Parisiennes, de ce merveilleux Claude Bolling, de ce rythme yé-yé. (…) Il fallait comprendre le style de Bolling, que tout le monde connaît, sans jamais toujours l’identifier », explique Arielle Dombasle. Et comme l’expliquait Mareva Galanter, déjà sur Europe 1, au début du mois, le résultat est probant : « C’est un très beau spectacle avec une belle mise en scène. »

Replay – Le Plan B de Laurence Boccolini avec Arielle Dombasle & Mareva Galanter

Arielle Dombasle et Mareva Galanter étaient les invités de Laurence Boccolini aujourd’hui sur Europe 1.

Les Parisiennes seront en tournée dans toute la France à partir du 29 septembre et jusqu’aux 18 et 19 décembre pour deux dates exceptionnelles à l’Olympia !

Les Parisiennes : un concentré de bonne humeur ! (Maxi)

Elles sont quatre drôle de dames et nous font revivre, sur scène, le glamour et la légèreté des années soixante. Trois raisons de craquer pour ces Parisiennes…

Alain Elkann Interviews : Arielle Dombasle

THE VERTIGO OF FREEDOM. The multi-cultural artist Arielle Dombasle was born in America and raised in Mexico. Arielle moves easily between comedy, directing, acting and singing, her true passion. Most of her acting work has been in French, while her albums are mostly in Spanish or English.

You just finished making your film Alien Crystal Palace. You acted in the film but are you also the director?

Yes, it is my fourth film as a director. It’s a little secret, because I am a multi-faceted character. To shoot movies and do clips is my secret garden. My first movie was Chassé-croisé in which I had Pierre Clémenti among the actors, with small cameos from Éric Rohmer and Roman Polanski. It is a little passage around Greek mythology and the idea of God.

What is this latest film about?

It is a fantastic film, a little bit in the tradition of Dario Argento; a Gothic movie with crime, eroticism and rock and roll. The film came about after my last album of rock songs, which has the title of La Rivière Atlantique. I made it after an encounter with a rock singer with an extraordinary voice, Nicolas Ker.

“I want my life to be a hurricane, the most beautiful of all films.”

You are eclectic; an actress, a singer, a dancer, a director. How can we describe your life?

I owe all this to chance and a very precocious apprenticeship. I come from a family which lived in Mexico and they were all quite extraordinary; very erudite and curious. In my childhood I encountered extraordinary people and this has forged my destiny. I encountered great artists and I saw what was the most beautiful and hospitable life, and also the most dangerous and the most extraordinary. In order to protect oneself one needs knowledge, and I studied at the Conservatoire de Paris. I was a classical dancer, I was at first a singer, and then I moved to the cinema.

You have studied quite a lot?

Yes, I really learned the bel canto tradition, including music and singing.

Why do you sing in Spanish and English, and act in French?

I worked for a little bit with the Americans, but I never wanted to establish myself in America. I was attracted by Old Europe.

Which is your language?

As a child my first language was Spanish. I listened to my parents speaking French and English. At school I learned French, and I adored French and French literature. I was also reading Spanish writers, especially the Latin Americans.

You seem to love literature very much?

I have lived with a writer for 25 years and therefore it is a question of books, books, books! Today I like to be on stage, to sing, and also to make movies.

“In order to protect oneself one needs knowledge.”

With whom were the most important encounters in your life?

With the Christ and the Virgin Mary. I am very Catholic and religious, and I have always been much inspired by the great mystics.

With whom have been the most important encounters in your work?

I don’t know. I don’t consider what I do a profession but a vocation. I couldn’t do anything else. I want my life to be a hurricane, the most beautiful of all films. To me this means a melodramatic film and an idealistic film. I am romantic and free. I was attracted by splendid old people who were friends of my grandmother, who was a poet. People like Tamara di Lempicka and others. They gave me a lot of strength, and especially they taught me the freedom to become what one is. There are some movie directors whom I worked for who were extremely important in my career, Éric Rohmer, Raoul Ruiz, and Alain Robbe-Grillet. With each one of them I shot five films. I directed Omar Sharif in one of the films that I directed, the title of the film was Les Pyramides BleuesI acted with Gérard Depardieu in Vateland I also worked with Joan Collins in a kitsch American saga, the miniseries Sins; and I sang with Johnny HallydayJulio Iglesias and others.

What is your next project?

Another album whose title is Empire, and I will do a tour in Italy with my review, Les Parisiennes. We have done it already at the Folies Bergère in Paris, singing and dancing and so on with four other girls.

Have things changed a lot in your life?

No, things are eternally the same. One is choosing and one is chosen.

You are a strong Catholic and married to a Jewish intellectual (Bernard-Henri Lévy) and also very busy. How does your life work?

It is very heterogeneous and so completely interesting.

“One has to love, to be idealistic and to put love as the first thing in life.”

France is your adopted country. Do you still love it?

Yes, I adore it, but the France of my childhood, life in a chateau, a civilisation of incredible exquisite refinement, has fallen into oblivion in France and does not exist anymore. Now we have a France that belongs to the global village, a France that knows the same events and music as everyone else and cannot escape this immense planetary syrup. But I quite like the syrup.

When you think of yourself, who is Arielle?

I think of the vertigo of freedom, undiminished at every step by totalism and by making things easy.

Do you have some regrets?

No, but like everybody else I have a melancholia that sometimes suffocates me. For example, when I see that the landscape that I loved has been massacred, and the people who loved it with me are not here anymore. I am very sensitive, and I like order and equilibrium, measure, and the life that I lead happily is a chaos but one has to be very athletic. One has to love, to be idealistic and to put love as the first thing in life; and this is what I do.

What is your ultimate goal?

Immortality. To me it means to be eternally the same.

What about success?

I realised very quickly that to have great success was a stupid thing, and on the contrary the most secretive and delicious thing paradoxically remains in obscurity. In other words, success is not for me my measure.

What does drive you?

Passion and impulsion. But I am too impulsive. This means there is not enough thinking, and one day I was sent a postcard with a sentence written by Cocteau: “Mirrors should think longer before they reflect.”

Replay – La Vie Secrète des Chansons : « Il fait trop beau pour travailler » (France 3)

Arielle Dombasle et Mareva Galanter reviennent sur l’histoire de la chanson de l’été des Parisiennes, « Il fait trop beau pour travailler, » dans La Vie Secrète des Chansons, présenté par André Manoukian !

Une émission à revoir en intégralité en cliquant ici (à partir de 16:05).

Les Parisiennes seront en tournée dans toute la France à partir du mois de septembre et à l’Olympia les 18 et 19 décembre ! 

« Frida Kahlo est pour moi un modèle, une icône absolue » (TV Magazine)

INTERVIEW – Une maison, un artiste s’envole pour le Mexique, à la découverte de la demeure de la célèbre peintre latino-américaine Frida Kahlo. Un écrin idyllique, une artiste merveilleuse, le récit de Patrick Poivre d’Arvor, et le témoignage poétique d’Arielle Dombasle. Une émission à découvrir dès 22h35 sur France 5.

Arielle Dombasle, quelle place tient Frida Kahlo dans votre cœur, qui a fait que l’émission vous présente comme son amie imaginaire?

Elle est une des figures qui m’a depuis l’enfance bouleversée – j’ai vécu au Mexique jusqu’à l’âge de 18 ans. Cela peut sembler anecdotique… Mon père avait ramené à la maison un spécimen très rare de chien nu: le choro escuincle, petit enfant chien du couple de chiens Aztèque que possédèrent Frida Kahlo et Diego Rivera, son mari, également peintre. J’ai adoré ce chien! Il m’a accompagné pendant seize ans!

Mais aussi?

Frida est pour moi un modèle, une icône absolue. Une héroïne dont l’art se confond avec la vie – une vie de martyr dont elle a fait son œuvre – et la vie se confond avec l’art. Une femme merveilleusement sensible, combattante, singulière, dont le parcours, le mariage avec Diego, la foi, la liberté, le féminisme, l’engagement révolutionnaire, la peinture – du reste très inspirée des ex-voto – ont fait qu’elle est aujourd’hui culturellement presque aussi importante que le culte que l’on porte à la Virgen de Guadalupe. Quelque chose s’est cristallisé autour d’elle, d’incroyable. Et moi, évidemment, cela me touche complètement! Je la ressens et la comprends infiniment. D’autant qu’elle me rappelle la figure de ma grand-mère, Man’ha Garreau-Dombasle, grande poétesse que j’aime à l’infini!

Il y a la figure de Frida Kahlo mais il y a aussi la maison qui est extraordinaire…

C’est la maison de Diego et Frida, un laboratoire intime, fermé sur lui-même, mais aussi un carrefour d’artistes, d’amis, de créations et de beauté!

À ce titre, cette collection Une maison, un artiste vous semble-t-elle légitime?

Absolument. Nous avons, vous, moi, la plupart des gens, des maisons miroirs, des maisons portraits chinois, des maisons où chaque objet est à notre image, et qui recèlent mille détails bouleversants et signifiants. On orchestre sa maison de manière intime. Et cette collection nous laisse voir beaucoup des artistes qui ont vécu dans de tels lieux.

Imaginez-vous, plus tard, qu’une maison que vous auriez possédée, peut-être avec votre époux, Bernard-Henri Lévy, devienne publique à l’instar de celle de Frida Kahlo?

Les lieux où nous habitons sont infusés de lectures, de livres, de photos, d’écrits, d’objets. J’aime beaucoup les objets… J’aime beaucoup la beauté des choses. La maison n’est pas pour moi une simple chambre d’hôtel! Elle n’est pas non plus l’hypothèse confortable ou stéréotypée. C’est la beauté et la poésie qui sont au poste de commande.

Quelques mots sur votre actualité?

Mon film, Alien Crystal Palace est enfin terminé et sortira en novembre. C’est un film assez baroque, un thriller fantastique, au fond assez proche de l’univers de Frida Kahlo et de mes racines mexicaines. Et puis la tournée Les Parisiennes , spectacle, revue, musique, insolence, beauté… L’esprit, le féminisme, l’élégance des femmes de Paris au temps des yéyés continue avec une tournée et deux dernières dates, à l’Olympia, les 18 et 19 décembre.

Les Parisiennes prolongent à l’Olympia et en tournée en France (Melody)

Fortes du succès de leurs représentations aux Folies Bergère de Paris, LES PARISIENNES prolongeront à l’Olympia les 18 et 19 décembre prochains, et en tournée en France. Laurent RUQUIER a eu le pari fou de remonter LES PARISIENNES, ce quatuor de musique yéyé composé dans les années 60, sur une idée de Claude BOLLING, de quatre danseuses : Raymonde BRONSTEIN, Anne LEFÉBURE, Hélène LONGUET et Anne-Marie ROYER, chantant à l’unisson, notamment le tube « Il fait trop beau pour travailler« , dès 1964, que leurs successeures ont choisi en qualité de nouveau single. Plus de cinquante ans après, l’animateur et producteur du talk « On n’est pas couché » sur France 2, a choisi Arielle DOMBASLE, Mareva GALANTER (Miss France 1999), Inna MODJA et Helena NOGUERRA (la sœur de LIO), pour réaliser son rêve de gosse. « L’album est sorti. Je suis fier et heureux » confie-t-il sur Twitter.

Ces nouvelles PARISIENNES ont dévoilé leur album de reprises le mois dernier. Cependant, « Il va falloir se mettre au régime« , l’un des plus grands succès de la formation, est absent de la tracklist. « Paris a été blessé ces dernières années » ajoute Inna MODJA. « Et on a envie de redonner le sourire, de remettre en avant son côté solaire« . Un projet féministe ? Selon Helena NOGUERRA, « tout acte est politique« . La seule qui avait déjà repris une chanson des PARISIENNES « Bonne nuit mes agneaux« , en duo avec Philippe KATERINE. Le clip du premier single « Ah ! C’qu’on est bête » dont la version originale, des PARISIENNES originales, date de 1964, totalise plus de 150 000 vues sur YouTube. 

 

Les Parisiennes à l’Olympia !

Après avoir fait danser les Folies Bergère pendant deux semaines consécutives, Les Parisiennes partent en tournée dans toute la France. Elles seront de retour à Paris en décembre sur la scène mythique de l’Olympia !

À partir du mois d’octobre, Inna Modja, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Helena Noguerra partiront en tournée dans toute la France, mais elles reviendront à Paris pour deux concerts exceptionnels à l’Olympia les 18 et 19 décembre 2018 !

Informations & réservations : cliquez ici

 

Retrouvez toutes les dates de la tournée des Parisiennes :

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Le paris pop des Parisiennes (Gonzaï)

Cinquante ans après, Les Parisiennes reviennent et elles n’ont, pour le coup, pas pris une ride. Exit les désormais vieilles chanteuses yéyé de Claude Bolling, cette fois ce sont Arielle Dombasle, Helena Noguerra , Inna Modja et Mareva Galanter qui s’y collent. L’occasion d’une rencontre avec ces drôles de dames. 

« C’était à Paris, une ville qui était alors si belle que bien des gens ont préféré y être pauvres, plutôt que riches n’importe où ailleurs ». (Guy Debord)

Un film de 1969 de Robert Benayoun avec Gainsbourg s’intitulait Paris n’existe pas. Comme si Paris était d’avantage un fantasme de ville qu’un territoire incarné. Dans une époque de pragmatisme libéral où l’audimat et la rentabilité font acte de loi, il est néanmoins rafraîchissant de constater qu’un grand mogul de la télévision est capable de revenir à ses rêves de gosse afin de relancer le concept des Parisiennes. Les Parisiennes, c’est ce groupe de quatre femmes qui, de 1963 à 1972, enchanta les téléspectateurs de l’ORTF. Sur des musiques de Claude Bolling (compositeur des bandes originales de Borsalino, le Magnifique et Floc Story, Ndlr), des paroles de Frank Gérald et des chorégraphies de Roland Petit, Les Parisiennes incarnèrent une certaine idée de la capitale hexagonale et de la femme. Un subtil cocktail de fantaisie, de féminité assumée et d’esprit typiquement sixties entre Mary Quant (la britannique créatrice de la mini jupe, ndlr), Daisy De Galard (Dim, Dam, Dom, Ndlr) et Caravelle.

Bien sûr nous ne sommes plus en 1967 et certaines icônes sixties qui n’ont pas eu l’occasion de mourir à 27 ans nous rappellent la célèbre réflexion de général de Gaulle qui affirmait que « la vieillesse est un naufrage ». Les revivals peuvent s’avérer dangereux en proposant des versions caricaturale des sixties; on pense par exemple à Austin Powers. Pas d’inquiétude ici, l’équipe au chevet des Parisiennes 2.0 a su saisir toute la modernité de ce « Girls group » qui, il est vrai, jouissait d’un répertoire en or de pépites entre pop, jazz et musical d’inspiration anglo-saxonne; mais avec une touche française qui aujourd’hui charme de New York jusqu’à Tokyo. Les nouvelles Parisiennes sont une réussite en grande partie parce qu’elles sont incarnées par Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter qui, chacune à sa manière, évoque les sixties tout en y ajoutant une touche de modernité. Arielle, Helena, Inna et Mareva sont des femmes qui infusent leurs fortes personnalités dans leurs rôles. Des individualités libres qui se retrouvent à l’unisson des chorégraphies, des costumes et des chansons. Une bonne occasion de changer d’air pour celles et ceux qui veulent croire que la sinistrose n’est pas une fatalité de l’époque.

L’album Les Parisiennes est déjà disponible !

Les Parisiennes seront en concert aux Folies Bergère jusqu’au dimanche 3 juin puis en tournée dans toute la France à partir du mois d’octobre !

Les Parisiennes reviennent dans un show virevoltant et élégant aux Folies Bergère (RTL)

Le quatuor féminin composé d’Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra a donné sa première représentation jeudi 24 mai dans la célèbre salle parisienne.

Voilà une idée de sortie pour les nostalgiques des années 60. Après avoir sorti leur album, Les Parisiennes viennent de débuter leur spectacle. Elles ont pris leurs quartiers aux Folies Bergère à Paris jusqu’au 3 juin, avant de partir en tournée cet automne.

Ces fameuses Parisiennes apparaissent en contre-jour, chacune debout devant un spot, vêtues d’imperméables très courts. Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra tombent la veste. Leurs robes en strass bleu et blanc scintillent jusqu’aux balcons. Pour les accompagner, quatre musiciens jouent en live et quatre danseurs les entourent. Les chanteuses saluent la foule et glissent quelques anecdotes sur Claude Bolling, le créateur du groupe en 1964 avant d’enchaîner la suite de leur show musical.

Grâce à leur petit micro casque invisible, les Parisiennes virevoltent pendant près d’1h30. Elles dansent en prison, dans une décapotable, avec des paniers à salade, ou dans leurs dressings. Chorégraphié et millimétré par Stéphane Jarny, le spectacle ressemble plus à une revue qu’un simple concert. Un show sans temps mort au rythme effréné où le quatuor ressuscite avec élégance le répertoire de leurs aînées.

Retrouvez toutes les dates de concert des Parisiennes :

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Les Parisiennes aux Folies Bergère, titines enchanteresses (Journal des Femmes)

Les Parisiennes sont de retour aux Folies Bergère, du 24 mai au 3 juin, à Paris. Sur une idée de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter font revivre le mythique quartet yé-yé sur fond de mélodies pop et jazzy. Le Journal des Femmes était à la grande Première, au sein d’un public ultra VIP. Ambiance.

Le Journal des Femmes a assisté à la Première des Parisiennes, aux Folies Bergère, à Paris, pour admirer les drôles de dames que Laurent Ruquier a choisies afin de ressusciter le girlsband yé-yé de Claude Bolling : Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter, quatre déesses aussi différentes qu’envoûtantes réunies sur la scène de ce haut lieu du divertissement et joyeux repaire mondain. 

Lorsque la sonnerie retentit, le Tout-Paris s’engouffre dans cette salle emblématique à l’ambiance feutrée, où l’on croise Michel Drucker, Sophie Davant, Arthur, Léa Salamé, Philippe Manœuvre, Kamel Ouali, Christina Cordula, ou encore Jean Paul Gaultier. Le rideau tombe et pendant une heure, le pétillant quatuor enchaîne une quinzaine de titres en cœur et au rythme de chorégraphies minimalitses où les danseurs font gentiment virevolter les tenues légères de ces Parisiennes version nouvelle.

Nos pin-up agitent leurs jolies jambes vêtues de jupettes, nuisettes, body et imper dorées ou à plumes, dans une mise en scène agréablement ponctuée de saynètes. La salle se réchauffe pendant qu’Arielle Dombasle scrute fréquemment un coin de la salle (et mon voisin) d’un coup d’œil pour s’assurer de la bonne présence de Bernard-Henri Lévy, très attentif. Ah c’qu’on aurait été bête de râter ça ! L’humour, toujours… Avec la chanteuse Anaïs, drôlissime en speakerine désabusée qui apparaît sur un écran géant, entre deux tableaux.

Mais pourquoi ces Parisiennes font-elles autant fantasmer demande-t-on aux personnalités présentes au détour d’un fauteuil en velours ? Elle sont « insaisissables » pour Philippe Katherine, qui tire les ficelles sur grand écran pour Un Tout petit pantin, « rebelles » pour Chantal Thomas, et « culottées » pour Sophie Davant. La Parisienne d’Arthur ? Sa « femme », Mareva Galanter, sur laquelle il pose un regard amoureux. Une virée romantique dans le Paname sixties avec ces charmeuses intrépides, ça vous dit ? 

  • Où ? Au théâtre des Folies Bergères, 22 rue Richer, Paris 75009
  • Quand ? Du 24 mai au 3 juin et en tournée dans toute la France dès septembre 2018
  • Prix : de 22 à 59 euros

Plus d’informations sur : www.lesparisiennes-officiel.fr

Les nouvelles Parisiennes enchantent (Pure People)

Laurent Ruquier se lance dans une nouvelle aventure, la reformation du groupe féminin Les Parisiennes avec un nouveau quatuor composé de Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra. Le spectacle tant attendu produit par l’animateur phare de France 2 et des « Grosses têtes » sur RTL a été lancé le 24 mai 2018 aux Folies Bergère.

Les Parisiennes version 2018 sont arrivées. Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra reforment ce groupe de femmes pop et jazz qui a tant marqué les années 1960-1970 dans un spectacle musical mêlant chant, danse, produit par Laurent Ruquier.

Plongées dans une ambiance vintage, l’ancienne Miss France (1999) et compagne d’Arthur, la chanteuse, comédienne et femme de Bernard-Henri Lévy, l’interprète du tube French Cancan et l’actrice notamment vue dans Fiston et L’Arnacoeur revisitent des succès pop et drôles de l’époque, le tout avec la mise en scène moderne et décalée de Stéphane Jarny.

Lors de la grande première organisée le 24 mai 2014 aux Folies Bergère, à Paris, où le spectacle est programmé jusqu’au 3 juin prochain avant une tournée, les spectateurs ont ainsi pu découvrir les nouvelles Parisiennes. Proposant un show girly et sexy durant plus d’une heure, Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra reprennent une quinzaine de titres des années yé-yé signés Claude Bolling, entourées de quatre danseurs. Ce soir à St Tropez, Il fait trop beau pour travailler, On n’a vraiment plus rien à se mettre, L’argent ne fait pas le bonheur, La salade… défilent tout comme les tenues portées par les quatre artistes. Alain Chabat et Philippe Katerine s’invitent à la fête, en vidéo, sur « Un tout petit pantin. »

À la sortie de cette grande première, les spectateurs livrent leurs premières impressions. Le Parisien, présent, a notamment recueilli celui d’Aline, conquise : « C’était très sympa, original et très frais, c’est un spectacle dynamique avec de jolis tableaux. » Un enchantement partagé sur Twitter.

Les Parisiennes, jusqu’au 3 juin 2018 aux Folies Bergères, puis en tournée dans toute la France.

Culture Weekend : Les Parisiennes aux Folies Bergère (France 3)

Les Parisiennes sont sur la scène des Folies Bergère depuis jeudi soir et jusqu’au 3 juin. Culture weekend est parti à la rencontre du nouveau quatuor formé par Laurent Ruquier lors de la première de la revue-spectacle.

Un reportage à revoir en intégralité :

Regardez le nouveau clip des Parisiennes « Il fait trop beau pour travailler » !

Les Parisiennes s’allient à Ellen von Unwerth pour un nouveau clip frais et pétillant, « Il fait trop beau pour travailler » !

Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes avec Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra. Le nouveau quatuor va égayer les Folies Bergère ainsi que les plus belles salles de France dans une mise-en-scène sexy et endiablée de Stéphane Jarny !

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L’album Les Parisiennes est déjà disponible !

Un soir à Paris : Les Parisiennes aux Folies Bergère (France 3)

Un petit air « vintage », atmosphère et tubes du yéyé familial et soft, pour le nouveau spectacle des Folies Bergère, Les Parisiennes, un groupe français féminin emblématique des années De Gaulle.

Mareva Galanter, Inna Modja, Helena Noguerra et Arielle Dombasle sont les nouvelles Parisiennes des Folies Bergère, un clin d’œil au groupe culte des années 1960.

À l’époque, Claude Bolling, un grand nom du jazz, voit émerger un nouveau courant musical appelé le Yéyé. Il imagine alors un groupe vocal constitué de quatre femmes, Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer. Elles chantent à l’unisson, accompagnées par un orchestre.

Leur première chanson, en 1964 « Il fait trop beau pour travailler » est très vite un tube. Viendront ensuite d’autres succès comme «L’argent ne fait pas le bonheur » ou encore « Il va falloir se mettre au régime ». 

 

Avec une mise en scène très colorée confiée à Stéphane Jarny et un orchestre live qui rappelle l’univers des concerts swing des années 1960, le spectacle reprend le répertoire des Parisiennes et leur esprit. Une époque chère à l’animateur producteur Laurent Ruquier qui est à l’origine du projet. Enfant, il fut bercé par les chansons de ce « girls’ band » d’antan, qu’il ressuscite aujourd’hui. 

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Les Parisiennes en répétitions (LCI)

VOS SORTIES – Découvrez le spectacle musical des Parisiennes au théâtre des Folies Bergère à partir de ce jeudi jusqu’au 3 juin.

 
 

Laurent Ruquier a décidé de ressusciter Les Parisiennes, qui ont cartonné dans les années 60, à travers quatre femmes talentueuses de générations et d’horizons différents. Helena Noguerra, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Inna Modja ont donc repris les chansons du groupe, dont « L’argent ne fait pas le bonheur » et « Il fait trop beau pour travailler », avec une touche de jazzy et de blouse tout en gardant le swing. Un mois après la sortie de leur album, elles se retrouvent au théâtre des Folies Bergère dès ce jeudi jusqu’au 3 juin avec notamment quatre danseurs et quatre musiciens et partiront en tournée cet automne.

Ce jeudi 24 mai 2018, Bintily Diallo, dans sa chronique « Vos sorties », nous parle du spectacle musical des Parisiennes.

Les Parisiennes, quatre filles dans le vent (Femme Actuelle)

Les Parisiennes, Helena Noguerra, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Inna Modja, sont cette semaine dans l’agenda sorties de Femme Actuelle :

Les Parisiennes seront sur la scène des Folies Bergère du 24 mai au 3 juin avant de partir en tournée dans toute la France !

Informations & réservations :

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Replay – Pas de Ça Entre Nous (TF1)

Arielle Dombasle, Helena Noguerra et Laurent Ruquier étaient les invités d’Arthur dans Pas de Ça Entre Nous aux côtés de Jean-Paul Gautier, Maïtre Gims et Manu Payet !

Entouré par Arielle Dombasle et Helena Noguerra, Laurent Ruquier et deux de ses Parisiennes étaient sur le plateau pour présenter l’album Les Parisiennes et la revue-spectacle qui débutera le 24 mai aux Folies Bergère avant de partir en tournée dans toute la France !

Une émission à revoir en intégralité ci-dessous :

Télématin vous fait entrer dans les coulisses des Parisiennes !

Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes pour un spectacle musical mêlant chant, danse, comédie… Inna Modja, Arielle Dombasle, Mareva Galanter & Helena Noguerra reprennent en live les succès pop et drôles du groupe culte des années 60 et 70.

Télématin vous fait entrer dans les coulisses des Parisiennes qui se produiront à partir du 24 mai aux Folies Bergère avant de partir en tournée dans toute la France !

L’album Les Parisiennes est également disponible !