Arielle Dombasle était l’invitée de Nikos Aliagas dans “La Chanson Secrète” où l’émotion était au rendez-vous avec les surprises de Mareva Galanter, Inna Modja, Helena Noguerra, Vincent Niclo & Les Prêtres Orthodoxes.
Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Helena Noguerra interprètent “Il fait trop beau pour travailler” accompagnées par la chorale Sankofa Unit dans 3oo Chœurs chantent les années 60.
Les Parisiennes et Anaïs étaient les invitées de Sébastien Folin dans Acoutic sur TV5 MONDE. Les nouvelles Parisiennes ont interprété les plus grands tubes du groupe : “Il fait trop beau pour travailler,” “L’argent ne fait pas le bonheur” ou encore “On fait peur aux garçons” !
Les Parisiennes étaient les invitées de Giulia Foïs dans Babel sur Seine sur France Inter. Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra ont fait voyager les auditeurs de l’émission en évoquant le Mexique, l’Amérique, le Mali ou encore la Belgique qui ont accompagné nos Parisiennes dans leurs parcours respectifs.
Les Parisiennes étaient sur le plateau de L’Invité de Patrick Simonin sur TV5 Monde. Avec joie et gaieté, elles ont apporté fraîcheur, bonne humeur et musique pour annoncer leurs deux concerts exceptionnels les 18 et 19 décembre à l’Olympia !
À l’invitation de l’humoriste Kad Merad, Arielle Dombasle et Helena Noguerra se sont retrouvées sur la scène du Théâtre de Paris pour interpréter le célèbre slow culte de Guy Bedos et Sophie Daumier.
C’est en 1973 que le couple formé par Guy Bedos et Sophie Daumier a donné naissance à ce sketch mythique ici repris par Arielle Dombasle et Helena Noguerra, du quatuor Les Parisiennes :
Elles sont quatre drôle de dames et nous font revivre, sur scène, le glamour et la légèreté des années soixante. Trois raisons de craquer pour ces Parisiennes…
Fortes du succès de leurs représentations aux Folies Bergère de Paris, LES PARISIENNES prolongeront à l’Olympia les 18 et 19 décembre prochains, et en tournée en France. Laurent RUQUIER a eu le pari fou de remonter LES PARISIENNES, ce quatuor de musique yéyé composé dans les années 60, sur une idée de Claude BOLLING, de quatre danseuses : Raymonde BRONSTEIN, Anne LEFÉBURE, Hélène LONGUET et Anne-Marie ROYER, chantant à l’unisson, notamment le tube “Il fait trop beau pour travailler“, dès 1964, que leurs successeures ont choisi en qualité de nouveau single. Plus de cinquante ans après, l’animateur et producteur du talk “On n’est pas couché” sur France 2, a choisi Arielle DOMBASLE, Mareva GALANTER (Miss France 1999), Inna MODJA et Helena NOGUERRA (la sœur de LIO), pour réaliser son rêve de gosse. “L’album est sorti. Je suis fier et heureux” confie-t-il sur Twitter.
Ces nouvelles PARISIENNES ont dévoilé leur album de reprises le mois dernier. Cependant, “Il va falloir se mettre au régime“, l’un des plus grands succès de la formation, est absent de la tracklist. “Paris a été blessé ces dernières années” ajoute Inna MODJA. “Et on a envie de redonner le sourire, de remettre en avant son côté solaire“. Un projet féministe ? Selon Helena NOGUERRA, “tout acte est politique“. La seule qui avait déjà repris une chanson des PARISIENNES “Bonne nuit mes agneaux“, en duo avec Philippe KATERINE. Le clip du premier single “Ah ! C’qu’on est bête” dont la version originale, des PARISIENNES originales, date de 1964, totalise plus de 150 000 vues sur YouTube.
Après avoir fait danser les Folies Bergère pendant deux semaines consécutives, Les Parisiennes partent en tournée dans toute la France. Elles seront de retour à Paris en décembre sur la scène mythique de l’Olympia !
À partir du mois d’octobre, Inna Modja, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Helena Noguerra partiront en tournée dans toute la France, mais elles reviendront à Paris pour deux concerts exceptionnels à l’Olympia les 18 et 19 décembre 2018 !
Cinquante ans après, Les Parisiennes reviennent et elles n’ont, pour le coup, pas pris une ride. Exit les désormais vieilles chanteuses yéyé de Claude Bolling, cette fois ce sont Arielle Dombasle, Helena Noguerra , Inna Modja et Mareva Galanter qui s’y collent. L’occasion d’une rencontre avec ces drôles de dames.
« C’était à Paris, une ville qui était alors si belle que bien des gens ont préféré y être pauvres, plutôt que riches n’importe où ailleurs ». (Guy Debord)
Un film de 1969 de Robert Benayoun avec Gainsbourg s’intitulait Paris n’existe pas. Comme si Paris était d’avantage un fantasme de ville qu’un territoire incarné. Dans une époque de pragmatisme libéral où l’audimat et la rentabilité font acte de loi, il est néanmoins rafraîchissant de constater qu’un grand mogul de la télévision est capable de revenir à ses rêves de gosse afin de relancer le concept des Parisiennes. Les Parisiennes, c’est ce groupe de quatre femmes qui, de 1963 à 1972, enchanta les téléspectateurs de l’ORTF. Sur des musiques de Claude Bolling (compositeur des bandes originales de Borsalino, le Magnifique et Floc Story, Ndlr), des paroles de Frank Gérald et des chorégraphies de Roland Petit, Les Parisiennes incarnèrent une certaine idée de la capitale hexagonale et de la femme. Un subtil cocktail de fantaisie, de féminité assumée et d’esprit typiquement sixties entre Mary Quant (la britannique créatrice de la mini jupe, ndlr), Daisy De Galard (Dim, Dam, Dom, Ndlr) et Caravelle.
Bien sûr nous ne sommes plus en 1967 et certaines icônes sixties qui n’ont pas eu l’occasion de mourir à 27 ans nous rappellent la célèbre réflexion de général de Gaulle qui affirmait que « la vieillesse est un naufrage ». Les revivals peuvent s’avérer dangereux en proposant des versions caricaturale des sixties; on pense par exemple à Austin Powers. Pas d’inquiétude ici, l’équipe au chevet des Parisiennes 2.0 a su saisir toute la modernité de ce « Girls group » qui, il est vrai, jouissait d’un répertoire en or de pépites entre pop, jazz et musical d’inspiration anglo-saxonne; mais avec une touche française qui aujourd’hui charme de New York jusqu’à Tokyo. Les nouvelles Parisiennes sont une réussite en grande partie parce qu’elles sont incarnées par Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter qui, chacune à sa manière, évoque les sixties tout en y ajoutant une touche de modernité. Arielle, Helena, Inna et Mareva sont des femmes qui infusent leurs fortes personnalités dans leurs rôles. Des individualités libres qui se retrouvent à l’unisson des chorégraphies, des costumes et des chansons. Une bonne occasion de changer d’air pour celles et ceux qui veulent croire que la sinistrose n’est pas une fatalité de l’époque.
Le quatuor féminin composé d’Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra a donné sa première représentation jeudi 24 mai dans la célèbre salle parisienne.
Ces fameuses Parisiennes apparaissent en contre-jour, chacune debout devant un spot, vêtues d’imperméables très courts. Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra tombent la veste. Leurs robes en strass bleu et blanc scintillent jusqu’aux balcons. Pour les accompagner, quatre musiciens jouent en live et quatre danseurs les entourent. Les chanteuses saluent la foule et glissent quelques anecdotes sur Claude Bolling, le créateur du groupe en 1964 avant d’enchaîner la suite de leur show musical.
Grâce à leur petit micro casque invisible, les Parisiennes virevoltent pendant près d’1h30. Elles dansent en prison, dans une décapotable, avec des paniers à salade, ou dans leurs dressings. Chorégraphié et millimétré par Stéphane Jarny, le spectacle ressemble plus à une revue qu’un simple concert. Un show sans temps mort au rythme effréné où le quatuor ressuscite avec élégance le répertoire de leurs aînées.
Retrouvez toutes les dates de concert des Parisiennes :
Les Parisiennes sont de retour aux Folies Bergère, du 24 mai au 3 juin, à Paris. Sur une idée de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter font revivre le mythique quartet yé-yé sur fond de mélodies pop et jazzy. Le Journal des Femmes était à la grande Première, au sein d’un public ultra VIP. Ambiance.
Le Journal des Femmes a assisté à la Première des Parisiennes, aux Folies Bergère, à Paris, pour admirer les drôles de dames que Laurent Ruquier a choisies afin de ressusciter le girlsband yé-yé de Claude Bolling : Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter, quatre déesses aussi différentes qu’envoûtantes réunies sur la scène de ce haut lieu du divertissement et joyeux repaire mondain.
Nos pin-up agitent leurs jolies jambes vêtues de jupettes, nuisettes, body et imper dorées ou à plumes, dans une mise en scène agréablement ponctuée de saynètes. La salle se réchauffe pendant qu’Arielle Dombasle scrute fréquemment un coin de la salle (et mon voisin) d’un coup d’œil pour s’assurer de la bonne présence de Bernard-Henri Lévy, très attentif. Ah c’qu’on aurait été bête de râter ça ! L’humour, toujours… Avec la chanteuse Anaïs, drôlissime en speakerine désabusée qui apparaît sur un écran géant, entre deux tableaux.
Mais pourquoi ces Parisiennes font-elles autant fantasmer demande-t-on aux personnalités présentes au détour d’un fauteuil en velours ? Elle sont “insaisissables” pour Philippe Katherine, qui tire les ficelles sur grand écran pour Un Tout petit pantin, “rebelles” pour Chantal Thomas, et “culottées” pour Sophie Davant. La Parisienne d’Arthur ? Sa “femme”, Mareva Galanter, sur laquelle il pose un regard amoureux. Une virée romantique dans le Paname sixties avec ces charmeuses intrépides, ça vous dit ?
Où ? Au théâtre des Folies Bergères, 22 rue Richer, Paris 75009
Quand ? Du 24 mai au 3 juin et en tournée dans toute la France dès septembre 2018
Entouré de Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra lors du cocktail qui s’est déroulé après le spectacle, l’animateur phare de France 2 et des Grosses têtes sur RTL avait logiquement convié Arthur, le compagnon de Mareva Galanter, mais aussi Bernard Henri-Lévy, le mari d’Arielle Dombasle.
Parce qu’il fait une apparition dans le spectacle des Parisiennes sous la forme d’une intervention vidéo lors de l’interprétation du titre Un tout petit pantin (tout comme Alain Chabat), Philippe Katerine avait fait le déplacement.
Laurent Ruquier a également présenté son spectacle à plusieurs personnalités avec qui il travaille sur France 2 ou RTL pour les Grosses têtes : Yann Moix, Gerard Miller, Michel Drucker, Cristina Cordula, Chantal Ladesou, Roselyne Bachelot…
Plongées dans une ambiance vintage, Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra revisitent des succès pop et drôles de l’époque, le tout avec la mise en scène moderne et décalée de Stéphane Jarny.
Laurent Ruquier se lance dans une nouvelle aventure, la reformation du groupe féminin Les Parisiennes avec un nouveau quatuor composé de Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra. Le spectacle tant attendu produit par l’animateur phare de France 2 et des “Grosses têtes” sur RTL a été lancé le 24 mai 2018 aux Folies Bergère.
Les Parisiennes version 2018 sont arrivées. Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra reforment ce groupe de femmes pop et jazz qui a tant marqué les années 1960-1970 dans un spectacle musical mêlant chant, danse, produit par Laurent Ruquier.
Plongées dans une ambiance vintage, l’ancienne Miss France (1999) et compagne d’Arthur, la chanteuse, comédienne et femme de Bernard-Henri Lévy, l’interprète du tube French Cancan et l’actrice notamment vue dans Fiston et L’Arnacoeur revisitent des succès pop et drôles de l’époque, le tout avec la mise en scène moderne et décalée de Stéphane Jarny.
Lors de la grande première organisée le 24 mai 2014 aux Folies Bergère, à Paris, où le spectacle est programmé jusqu’au 3 juin prochain avant une tournée, les spectateurs ont ainsi pu découvrir les nouvelles Parisiennes. Proposant un show girly et sexy durant plus d’une heure, Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra reprennent une quinzaine de titres des années yé-yé signés Claude Bolling, entourées de quatre danseurs. Ce soir à St Tropez, Il fait trop beau pour travailler, On n’a vraiment plus rien à se mettre, L’argent ne fait pas le bonheur, La salade… défilent tout comme les tenues portées par les quatre artistes. Alain Chabat et Philippe Katerine s’invitent à la fête, en vidéo, sur “Un tout petit pantin.”
À la sortie de cette grande première, les spectateurs livrent leurs premières impressions. Le Parisien, présent, a notamment recueilli celui d’Aline, conquise : “C’était très sympa, original et très frais, c’est un spectacle dynamique avec de jolis tableaux.” Un enchantement partagé sur Twitter.
Les Parisiennes sont sur la scène des Folies Bergère depuis jeudi soir et jusqu’au 3 juin. Culture weekend est parti à la rencontre du nouveau quatuor formé par Laurent Ruquier lors de la première de la revue-spectacle.
Les Parisiennes s’allient à Ellen von Unwerth pour un nouveau clip frais et pétillant, “Il fait trop beau pour travailler” !
Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes avec Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra. Le nouveau quatuor va égayer les Folies Bergère ainsi que les plus belles salles de France dans une mise-en-scène sexy et endiablée de Stéphane Jarny !
Retrouvez toutes les dates de concerts des Parisiennes :
Un petit air “vintage”, atmosphère et tubes du yéyé familial et soft, pour le nouveau spectacle des Folies Bergère, Les Parisiennes, un groupe français féminin emblématique des années De Gaulle.
Mareva Galanter, Inna Modja, Helena Noguerra et Arielle Dombasle sont les nouvelles Parisiennes des Folies Bergère, un clin d’œil au groupe culte des années 1960.
À l’époque, Claude Bolling, un grand nom du jazz, voit émerger un nouveau courant musical appelé le Yéyé. Il imagine alors un groupe vocal constitué de quatre femmes, Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer. Elles chantent à l’unisson, accompagnées par un orchestre.
Leur première chanson, en 1964 « Il fait trop beau pour travailler » est très vite un tube. Viendront ensuite d’autres succès comme «L’argent ne fait pas le bonheur » ou encore « Il va falloir se mettre au régime ».
Avec une mise en scène très colorée confiée à Stéphane Jarny et un orchestre live qui rappelle l’univers des concerts swing des années 1960, le spectacle reprend le répertoire des Parisiennes et leur esprit. Une époque chère à l’animateur producteur Laurent Ruquier qui est à l’origine du projet. Enfant, il fut bercé par les chansons de ce « girls’ band » d’antan, qu’il ressuscite aujourd’hui.
Laurent Ruquier a décidé de ressusciter Les Parisiennes, qui ont cartonné dans les années 60, à travers quatre femmes talentueuses de générations et d’horizons différents. Helena Noguerra, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Inna Modja ont donc repris les chansons du groupe, dont “L’argent ne fait pas le bonheur” et “Il fait trop beau pour travailler”, avec une touche de jazzy et de blouse tout en gardant le swing. Un mois après la sortie de leur album, elles se retrouvent au théâtre des Folies Bergère dès ce jeudi jusqu’au 3 juin avec notamment quatre danseurs et quatre musiciens et partiront en tournée cet automne.
Ce jeudi 24 mai 2018, Bintily Diallo, dans sa chronique “Vos sorties”, nous parle du spectacle musical des Parisiennes.
Arielle Dombasle, Helena Noguerra et Laurent Ruquier étaient les invités d’Arthur dans Pas de Ça Entre Nous aux côtés de Jean-Paul Gautier, Maïtre Gims et Manu Payet !
Entouré par Arielle Dombasle et Helena Noguerra, Laurent Ruquier et deux de ses Parisiennes étaient sur le plateau pour présenter l’album Les Parisiennes et la revue-spectacle qui débutera le 24 mai aux Folies Bergère avant de partir en tournée dans toute la France !
Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes pour un spectacle musical mêlant chant, danse, comédie… Inna Modja, Arielle Dombasle, Mareva Galanter & Helena Noguerra reprennent en live les succès pop et drôles du groupe culte des années 60 et 70.
50 ans après le succès du quatuor “Les Parisiennes”, un nouveau groupe de filles s’empare du répertoire de Claude Bolling. Pétillantes, Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Mareva Galanter et Inna Modja assurent le show. “C’est une idée de Laurent Ruquier qui avait envie de faire revivre ce groupe mythique des années 1960 en nous choisissant toutes les quatre pour incarner ce nouvel album de reprises et ce spectacle à partir du 24 mai aux Folies Bergères“, souligne Mareva Galanter. Elle chantent les succès du groupe d’antan : “L’argent ne fait pas le bonheur”, “Je te déteste” ou “Ce soir à Saint-Tropez”.
Interview et medley du spectacle sur le plateau de France 2 :
Le premier groupe Yéyé français
Parmi les aventurières des Parisiennes 2018, Arielle Dombasle a savouré avec délice ce moment de musique inédit. “C’est le premier groupe yéyé français, donc c’est absolument excitant ! Claude Bolling est le premier qui a emmené le swing anglo-saxon en France, c’est une ère absolument charmante et gaie”, précise la chanteuse.
Un groupe multiculturel
Ces “Parisiennes” du XXIe siècle portent haut les couleurs du monde. La Belgique, Tahiti, les Etats-Unis et le Mali, les quatre filles assument fièrement la diversité, à l’image du Paris d’hier et d’aujourd’hui. “Paris est une ville cosmopolite, on l’adopte et finalement on devient Parisienne parce qu’on y est depuis longtemps”, rapporte Helena Noguerra.
Les Parisiennes étaient les invitées musicales de Michel Drucker dans Vivement Dimanche Prochain !
Arielle Dombasle, Inna Modja, Mareva Galanter et Helena Noguerra ont interprété le titre “Il fait trop beau pour travailler,” extrait de leur album Les Parisiennes avant de rejoindre Michel Drucker sur le célèbre canapé rouge de Vivement Dimanche.
Ce dimanche dans Thé ou Café, Catherine Ceylac accueillait Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra pour une émission placée sous le signe des nouvelles Parisiennes !
Les quatre Parisiennes ont répondu aux questions de Catherine Ceylac avant d’interpréter leur titre “Il fait trop beau pour travailler”.
Les Parisiennes étaient ce matin dans C’est au Programme, sur France 2, pour présenter leur album Les Parisiennes et annoncer leur revue-spectacle qui débutera le 24 mai prochain aux Folies Bergère !
Laurent Ruquier a eu cette idée de recréer le groupe mythique des années 60 et 70 : Les Parisiennes ! Elles vont se produire aux Folies Bergères à partir du 24 mai et partiront en tournée dans toute la France. Vous les connaissez dans leurs carrières solos, vous allez les redécouvrir en girls band : Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra dans « Il fait trop beau pour travailler » et « Paris, je t’aime d’amour ».
Lors de l’émission, la chanteuse Dani a fait la surprise d’intervenir par téléphone pour encenser Arielle Dombasle et Helena Noguerra ainsi que le projet créé par Laurent Ruquier dont elle prédit un succès certain :
Les Parisiennes viennent de sortir un album de reprises et seront aux Folies Bergères à partir 24 mai prochain. Le groupe était l’invité de Stéphane Bern le 8 mai 2018.
Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes pour un spectacle musical, mêlant chant, danse et comédie. Elles reprennent en live les succès pop et drôles du groupe culte des années 60 et 70. En partenariat avec RTL !
Entre 1964 et 1972,Les Parisiennes était un groupe de musique yéyé composé de quatre danseuses : Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer. Ses jeunes femmes chantaient alors à l’unisson, accompagnées par un orchestre.
Le groupe va égayer les Folies Bergère du 24 mai au 3 juinprochain avant d’entamer une tournée dans les plus belles salles de France. La mise-en-scène sexy et endiablée est signée Stéphane Jarny.
Ré-écoutez l’émission À la Bonne Heure, de Stéphane Bern, avec Les Parisiennes :
Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra seront sur la scène des Folies Bergères, à partir du 24 mai, pour jouer Les Parisiennes. Une revue musicale pétillante qui ressuscite le groupe vocal yé-yé 100% féminin des années 1960.
Paris, sa Tour Eiffel, ses ponts, ses musées, ses Parisiens… et ses Parisiennes ! “Elles ont quelque chose d’unique, assure Arielle Dombasle, invitée de l’émission d’Isabelle Morizet, Il n’y a pas qu’une vie dans la vie. Elles sont toujours à l’avant-garde.” A ses côté, Helena Noguerra confirme : “Les Parisiennes scintillent.”
Quatre Parisiennes aussi pétillantes qu’impertinentes. Les deux artistes en savent quelque chose. A partir du 24 mai, elles incarneront les Parisiennes, aux Folies Bergères, puis en tournée dans toute la France. Un show entre danse et chanson qui fait revivre le groupe féminin de musique yé-yé des années 1960. Sur scène, elles seront quatre. Quatre Parisiennes aussi pétillantes qu’impertinentes : Arielle Dombasle et Helena Noguerra mais aussi Mareva Galanter et Inna Modja.
“La Parisienne a ce petit quelque chose et c’est justement ce petit quelque chose qu’on essaie de restituer sur scène”, glisse Arielle Dombasle. Les Parisiennes insufflent une énergie positive dans le marasme ambiant.” “Il y aura beaucoup de paillettes et de fraîcheur”, ajoute Helena Noguerra.
“Du vrai live”. Vingt-cinq tableaux, 15 costumes, 4 danseurs, 4 musiciens. C’est une vraie revue musicale que les quatre comédiennes proposent. “Ce qui est exaltant, c’est que les gens connaissent la plupart des chansons”, assure Arielle Dombasle. Ils les redécouvrent.” Des chansons très pop selon Helena Noguerra : “Elles sont aussi très jazzy, car c’est le grand compositeur de jazz, Claude Bowling, qui les as composées. Mais comme les paroles sont très fraîches, elles ont l’air de petits bonbons anglais.”
Pour chanter ces “petits bonbons anglais”, des artistes qui chantent tout en respectant une chorégraphie millimétrée. “Il faut être parfaitement synchro pour que ce soit joli, confirme Arielle Dombasle. Et ce qui est difficile, c’est que c’est du vrai live. Il y a un orchestre sur scène et on chante vraiment !”
“Comme les Demoiselles de Rochefort”. “En fait, c’est comme les demoiselles de Rochefort mais à quatre, complète Helena Noguerra. On fait les mêmes pas, on chante les mêmes mots, mais il y a quatre personnalités différentes.” Pour le moment, Les Parisiennes ont une vingtaine de dates prévues en France. Mais le quatuor pourrait peut-être s’exporter à l’étranger. “Je crois qu’il y a une vraie de demande, affirme Arielle Dombasle. Car ça intrigue !” Go girls !