Les Grosses Têtes du 8 mai 2023 (Paris Première)

Regardez Les Grosses Têtes diffusées le 8 mai 2023 sur Paris Première avec Isabelle Mergault, Bernard Mabille, Christophe Beaugrand, Arielle Dombasle, Olivier Bellamy et Titoff.

Humour, rires, culture et esprit sont au rendez-vous dans cette nouvelle émission des Grosses Têtes, à retrouver en intégralité en vidéo ci-dessous :

Retrouvez les Grosses Têtes du lundi au vendredi de 15h30 à 18h00 sur RTL.

Les Enfants de la Télé 100% Imprévus

Arielle Dombasle, Philippe Lacheau, Elodie Fontan et Gérard Jugnot, acteurs du film Alibi.com 2 (en salle le 8 février) étaient les invités de Laurent Ruquier dans Les Enfants de la Télé 100% Imprévus.

Au cours de cette soirée durant laquelle tout peut arriver, Laurent Ruquier et ses invités s’amusent de tout ce qui fait vriller la télévision ; les clashs, les animaux indomptables, les perturbateurs de plateaux, les pannes, les décors qui s’écroulent, les réponses franches mais parfois si déroutantes des enfants, tout ce qui n’était pas prévu lors d’un journal, d’un jeu ou d’une émission, mais qui au final fait rire aux éclats. Sans oublier le meilleur du meilleur des casseroles des invités présents : Gérard Jugnot, Arielle Dombasle, Philippe Lacheau, Elodie Fontan, Michel Drucker, Julia Vignali ou encore Gil Alma.

Les Grosses Têtes célèbrent la fin de l’année en fanfare

Juste avant Noël, Laurent Ruquier célèbre la fin d’année en fanfare avec des Grosses Têtes aussi pétillantes que des bulles de champagne. Deux équipes relèvent le défi de répondre à des questions de culture générale, dansent au rythme de l’orchestre et profitent des jeux et happenings imaginés par le maître de cérémonie de cette soirée exceptionnelle.

Michèle Bernier, Valérie Mairesse, Liane Foly, Arielle Dombasle et Paul El Kharrat se mesurent à Sébastien Thoen, Yoann Riou, Jérémy Ferrari, Steevy et Roselyne Bachelot.

Regardez le replay de l’émission ci-dessous :

Les Grosses Têtes refont 2021 (France 2)

Laurent Ruquier et son équipe des « Grosses Têtes » convie les amateurs de rigolade à une grande soirée autour des évènements marquants de 2021.

Retour sur l’année 2021 des Grosses Têtes avec, autour de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle, Caroline Diament, Valérie Mairesse, Sébastien Thoen, Yoann Riou, Michèle Bernier, Bernard Mabille, Paul El Kharrat, Steevy et Gaël Tchakaloff.

Une émission à revoir en intégralité en cliquant ici.

Arielle Dombasle chante “You go to my head” and “On est en direct” (France 2)

Arielle Dombasle était l’invitée de Laurent Ruquier et de Léa Salamé dans “On est en direct” pour interpréter le titre “You go to my head” et annoncer “Le Glam Cabaret” qui débutera à Paris avant de partir en tournée dans toute la France en 2022.

La carte postale de vacances d’Arielle Dombasle (RTL)

Tout l’été, Les Grosses Têtes donnent de leurs nouvelles ! Dans ce podcast, Arielle Dombasle vous raconte ses vacances et ses souvenirs…

Les Grosses Têtes : plus on est de filles, plus on rit !

Deux équipes de cinq filles s’affrontent sur les questions habituelles, mais aussi au cours de jeux et happenings, en présence de quelques séducteurs : Amir, Florent Peyre, Harry Roselmack, Pablo Mira, et Patrick Bruel. La fin d’année approchant, une voyante est également présente, pour lire l’avenir des “Grosses Têtes”, et donner ses prévisions très attendues pour 2021.

Une émission à revoir en intégralité en cliquant ici !

Arielle Dombasle dans Les Enfants de la Télé (France 2)

Dimanche dernier, Arielle Dombasle était l’invitée de Laurent Ruquier sur France 2 dans Les Enfants de la Télé pour la promotion d’Empire, son nouvel album en duo avec Nicolas Ker.

Une émission à revoir en intégralité sur le site de France 2 ou en cliquant ici.

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, déjà disponible !

Arielle Dombasle et Nicolas Ker dans On n’est pas Couché (France 2)

Samedi soir, Arielle Dombasle et Nicolas Ker étaient les invités de Laurent Ruquier dans “On n’est pas Couché” pour la sortie le 19 juin prochain de leur nouvel album Empire !

Un album qui n’a pas laissé Christophe Ono-dit-Bio indifférent :

“‘Empire’ est très , très beau. Les cordes sont magnifiques ! C’est très érotique, très décadent ! Cet album est un oxymore : on prend deux mots contraires qui produisent un troisième élément, comme dans l’alchimie, encore plus beau que les deux autres…”

Christophe Ono-dit-Bio

Empire, le nouvel album d’Arielle Dombasle et Nicolas Ker, sort le 19 juin prochain. Vous pouvez dès à présent le pré-commander en CD ou vinyle ou le pré-enregistrer sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement :

https://arielledombasle.lnk.to/Empire

Découvrez aussi “Humble Guy”, le troisième extrait de l’album Empire :

Replay – Les Grosses Têtes jouent le jeu sur France 2

Entouré d’une équipe de pensionnaires plus délurés les uns que les autres, Laurent Ruquier présente un cocktail de blagues, de jeux de mots dont il a le secret, de curieuses devinettes et de culture générale. Fous rires, délires et bonne humeur sont au programme de ce rendez-vous indétrônable du rire à la française inaugurée à la radio par Philippe Bouvard en 1977. A l’issue de cette émission placée sous le signe de la dérision, les téléspectateurs ont en outre la possibilité de gagner des voyages.

Une émission à revoir en intégralité en cliquant ici.

Arielle Dombasle dans Les Enfants de la Télé (France 2)

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Arielle Dombasle était sur le plateau des Enfants de la Télé, la Suite pour assurer la promotion de son nouveau film Alien Crystal Palace (en salle actuellement) et évoquer les moments télévisuels les plus mémorables !

Une émission à revoir en intégralité sur le site de France 2 ou en cliquant ici.

Replay – Les Grosses Têtes font leur rentrée sur France 2

Après la rentrée, les « Grosses Têtes » ont ressorti trousses et cartables pour retrouver la classe du professeur Ruquier. Au programme : délires, surprises, bons et mauvais points, bref, tout pour passer une grande soirée de récré. Sheila, Thomas Dutronc, Marion Game, Bruno Salomone, mais aussi Arielle Boulin-Prat et Bertrand Renard – les arbitres des « Chiffres et des Lettres » – rejoignent la joyeuse bande pour jouer avec eux. En fin d’émission l’incontournable « Invité mystère », met quant à lui les téléspectateurs et les Grosses Têtes au défi de découvrir son identité.

Les Parisiennes prolongent à l’Olympia et en tournée en France (Melody)

Fortes du succès de leurs représentations aux Folies Bergère de Paris, LES PARISIENNES prolongeront à l’Olympia les 18 et 19 décembre prochains, et en tournée en France. Laurent RUQUIER a eu le pari fou de remonter LES PARISIENNES, ce quatuor de musique yéyé composé dans les années 60, sur une idée de Claude BOLLING, de quatre danseuses : Raymonde BRONSTEIN, Anne LEFÉBURE, Hélène LONGUET et Anne-Marie ROYER, chantant à l’unisson, notamment le tube “Il fait trop beau pour travailler“, dès 1964, que leurs successeures ont choisi en qualité de nouveau single. Plus de cinquante ans après, l’animateur et producteur du talk “On n’est pas couché” sur France 2, a choisi Arielle DOMBASLE, Mareva GALANTER (Miss France 1999), Inna MODJA et Helena NOGUERRA (la sœur de LIO), pour réaliser son rêve de gosse. “L’album est sorti. Je suis fier et heureux” confie-t-il sur Twitter.

Ces nouvelles PARISIENNES ont dévoilé leur album de reprises le mois dernier. Cependant, “Il va falloir se mettre au régime“, l’un des plus grands succès de la formation, est absent de la tracklist. “Paris a été blessé ces dernières années” ajoute Inna MODJA. “Et on a envie de redonner le sourire, de remettre en avant son côté solaire“. Un projet féministe ? Selon Helena NOGUERRA, “tout acte est politique“. La seule qui avait déjà repris une chanson des PARISIENNESBonne nuit mes agneaux“, en duo avec Philippe KATERINE. Le clip du premier single “Ah ! C’qu’on est bête” dont la version originale, des PARISIENNES originales, date de 1964, totalise plus de 150 000 vues sur YouTube. 

 

Les Parisiennes aux Folies Bergère, titines enchanteresses (Journal des Femmes)

Les Parisiennes sont de retour aux Folies Bergère, du 24 mai au 3 juin, à Paris. Sur une idée de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter font revivre le mythique quartet yé-yé sur fond de mélodies pop et jazzy. Le Journal des Femmes était à la grande Première, au sein d’un public ultra VIP. Ambiance.

Le Journal des Femmes a assisté à la Première des Parisiennes, aux Folies Bergère, à Paris, pour admirer les drôles de dames que Laurent Ruquier a choisies afin de ressusciter le girlsband yé-yé de Claude Bolling : Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter, quatre déesses aussi différentes qu’envoûtantes réunies sur la scène de ce haut lieu du divertissement et joyeux repaire mondain. 

Lorsque la sonnerie retentit, le Tout-Paris s’engouffre dans cette salle emblématique à l’ambiance feutrée, où l’on croise Michel Drucker, Sophie Davant, Arthur, Léa Salamé, Philippe Manœuvre, Kamel Ouali, Christina Cordula, ou encore Jean Paul Gaultier. Le rideau tombe et pendant une heure, le pétillant quatuor enchaîne une quinzaine de titres en cœur et au rythme de chorégraphies minimalitses où les danseurs font gentiment virevolter les tenues légères de ces Parisiennes version nouvelle.

Nos pin-up agitent leurs jolies jambes vêtues de jupettes, nuisettes, body et imper dorées ou à plumes, dans une mise en scène agréablement ponctuée de saynètes. La salle se réchauffe pendant qu’Arielle Dombasle scrute fréquemment un coin de la salle (et mon voisin) d’un coup d’œil pour s’assurer de la bonne présence de Bernard-Henri Lévy, très attentif. Ah c’qu’on aurait été bête de râter ça ! L’humour, toujours… Avec la chanteuse Anaïs, drôlissime en speakerine désabusée qui apparaît sur un écran géant, entre deux tableaux.

Mais pourquoi ces Parisiennes font-elles autant fantasmer demande-t-on aux personnalités présentes au détour d’un fauteuil en velours ? Elle sont “insaisissables” pour Philippe Katherine, qui tire les ficelles sur grand écran pour Un Tout petit pantin, “rebelles” pour Chantal Thomas, et “culottées” pour Sophie Davant. La Parisienne d’Arthur ? Sa “femme”, Mareva Galanter, sur laquelle il pose un regard amoureux. Une virée romantique dans le Paname sixties avec ces charmeuses intrépides, ça vous dit ? 

  • Où ? Au théâtre des Folies Bergères, 22 rue Richer, Paris 75009
  • Quand ? Du 24 mai au 3 juin et en tournée dans toute la France dès septembre 2018
  • Prix : de 22 à 59 euros

Plus d’informations sur : www.lesparisiennes-officiel.fr

Un parterre de stars pour la première des Parisiennes ! (Pure People)

Les Parisiennes ont fait leur première jeudi dernier aux Folies Bergère devant un public d’amis et de célébrités !

Tous avaient fait le déplacement : Bernard-Henri Lévy, Arthur, Jean-Paul Gaultier, Nicolas Ker, Kamel Ouali, Vincent Niclo, Philippe Manoeuvre, Alexis Mabille, Marie Beltrami, Philippe Katerine, Maxime Dereymez, Christian Millette, Amanda Lear, Chantal Thomass ou encore Cristina Cordula, tout Paris était présent pour venir applaudir les nouvelles Parisiennes qui sont sur la scène des Folies Bergère depuis jeudi et jusqu’au 3 juin.

Le retour des Parisiennes, groupe féminin pop et jazz qui a marqué les années yé-yé, a attiré du monde, et du beau monde. Instigateur et producteur de cette nouvelle version qui rassemble un quatuor composé de Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra, Laurent Ruquier a pu compter sur la présence de nombreuses personnalités lors de la grande première organisée le 24 mai 2018 aux Folies Bergère, à Paris (où le spectacle est programmé jusqu’au 3 juin prochain avant une tournée).

Entouré de Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra lors du cocktail qui s’est déroulé après le spectacle, l’animateur phare de France 2 et des Grosses têtes sur RTL avait logiquement convié Arthur, le compagnon de Mareva Galanter, mais aussi Bernard Henri-Lévy, le mari d’Arielle Dombasle.

Parce qu’il fait une apparition dans le spectacle des Parisiennes sous la forme d’une intervention vidéo lors de l’interprétation du titre Un tout petit pantin (tout comme Alain Chabat), Philippe Katerine avait fait le déplacement.

Laurent Ruquier a également présenté son spectacle à plusieurs personnalités avec qui il travaille sur France 2 ou RTL pour les Grosses têtes : Yann Moix, Gerard Miller, Michel Drucker, Cristina Cordula, Chantal Ladesou, Roselyne Bachelot…

Le monde de la danse était également représenté avec la venue du chorégraphe Kamel Ouali ainsi que Maxime Dereymez et Christian Millette de Danse avec les stars.

Plongées dans une ambiance vintage, Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra revisitent des succès pop et drôles de l’époque, le tout avec la mise en scène moderne et décalée de Stéphane Jarny.

Les Parisiennes se produisent jusqu’au 3 juin 2018 aux Folies Bergère avant de partir en tournée.

Les nouvelles Parisiennes enchantent (Pure People)

Laurent Ruquier se lance dans une nouvelle aventure, la reformation du groupe féminin Les Parisiennes avec un nouveau quatuor composé de Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra. Le spectacle tant attendu produit par l’animateur phare de France 2 et des “Grosses têtes” sur RTL a été lancé le 24 mai 2018 aux Folies Bergère.

Les Parisiennes version 2018 sont arrivées. Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra reforment ce groupe de femmes pop et jazz qui a tant marqué les années 1960-1970 dans un spectacle musical mêlant chant, danse, produit par Laurent Ruquier.

Plongées dans une ambiance vintage, l’ancienne Miss France (1999) et compagne d’Arthur, la chanteuse, comédienne et femme de Bernard-Henri Lévy, l’interprète du tube French Cancan et l’actrice notamment vue dans Fiston et L’Arnacoeur revisitent des succès pop et drôles de l’époque, le tout avec la mise en scène moderne et décalée de Stéphane Jarny.

Lors de la grande première organisée le 24 mai 2014 aux Folies Bergère, à Paris, où le spectacle est programmé jusqu’au 3 juin prochain avant une tournée, les spectateurs ont ainsi pu découvrir les nouvelles Parisiennes. Proposant un show girly et sexy durant plus d’une heure, Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra reprennent une quinzaine de titres des années yé-yé signés Claude Bolling, entourées de quatre danseurs. Ce soir à St Tropez, Il fait trop beau pour travailler, On n’a vraiment plus rien à se mettre, L’argent ne fait pas le bonheur, La salade… défilent tout comme les tenues portées par les quatre artistes. Alain Chabat et Philippe Katerine s’invitent à la fête, en vidéo, sur “Un tout petit pantin.”

À la sortie de cette grande première, les spectateurs livrent leurs premières impressions. Le Parisien, présent, a notamment recueilli celui d’Aline, conquise : “C’était très sympa, original et très frais, c’est un spectacle dynamique avec de jolis tableaux.” Un enchantement partagé sur Twitter.

Les Parisiennes, jusqu’au 3 juin 2018 aux Folies Bergères, puis en tournée dans toute la France.

Un soir à Paris : Les Parisiennes aux Folies Bergère (France 3)

Un petit air “vintage”, atmosphère et tubes du yéyé familial et soft, pour le nouveau spectacle des Folies Bergère, Les Parisiennes, un groupe français féminin emblématique des années De Gaulle.

Mareva Galanter, Inna Modja, Helena Noguerra et Arielle Dombasle sont les nouvelles Parisiennes des Folies Bergère, un clin d’œil au groupe culte des années 1960.

À l’époque, Claude Bolling, un grand nom du jazz, voit émerger un nouveau courant musical appelé le Yéyé. Il imagine alors un groupe vocal constitué de quatre femmes, Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer. Elles chantent à l’unisson, accompagnées par un orchestre.

Leur première chanson, en 1964 « Il fait trop beau pour travailler » est très vite un tube. Viendront ensuite d’autres succès comme «L’argent ne fait pas le bonheur » ou encore « Il va falloir se mettre au régime ». 

 

Avec une mise en scène très colorée confiée à Stéphane Jarny et un orchestre live qui rappelle l’univers des concerts swing des années 1960, le spectacle reprend le répertoire des Parisiennes et leur esprit. Une époque chère à l’animateur producteur Laurent Ruquier qui est à l’origine du projet. Enfant, il fut bercé par les chansons de ce « girls’ band » d’antan, qu’il ressuscite aujourd’hui. 

Informations & réservations :

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Les Parisiennes, quatre filles dans le vent (Femme Actuelle)

Les Parisiennes, Helena Noguerra, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Inna Modja, sont cette semaine dans l’agenda sorties de Femme Actuelle :

Les Parisiennes seront sur la scène des Folies Bergère du 24 mai au 3 juin avant de partir en tournée dans toute la France !

Informations & réservations :

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Replay – Pas de Ça Entre Nous (TF1)

Arielle Dombasle, Helena Noguerra et Laurent Ruquier étaient les invités d’Arthur dans Pas de Ça Entre Nous aux côtés de Jean-Paul Gautier, Maïtre Gims et Manu Payet !

Entouré par Arielle Dombasle et Helena Noguerra, Laurent Ruquier et deux de ses Parisiennes étaient sur le plateau pour présenter l’album Les Parisiennes et la revue-spectacle qui débutera le 24 mai aux Folies Bergère avant de partir en tournée dans toute la France !

Une émission à revoir en intégralité ci-dessous :

Télématin vous fait entrer dans les coulisses des Parisiennes !

Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes pour un spectacle musical mêlant chant, danse, comédie… Inna Modja, Arielle Dombasle, Mareva Galanter & Helena Noguerra reprennent en live les succès pop et drôles du groupe culte des années 60 et 70.

Télématin vous fait entrer dans les coulisses des Parisiennes qui se produiront à partir du 24 mai aux Folies Bergère avant de partir en tournée dans toute la France !

L’album Les Parisiennes est également disponible !

Les Parisiennes se reforment ! (Culturebox)

Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Mareva Galanter et Inna Modja reforment “Les Parisiennes”, ce fameux quatuor des années 1960. Invitées sur le plateau du magazine “20h30, le dimanche”, elles racontent avec joie cette aventure musicale. Elles sont en concert aux Folies Bergères de Paris à partir du 24 mai et jusqu’au 3 juin 2018, puis en tournée dans toute France dès octobre.

Une envie de Laurent Ruquier

50 ans après le succès du quatuor “Les Parisiennes”, un nouveau groupe de filles s’empare du répertoire de Claude Bolling. Pétillantes, Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Mareva Galanter et Inna Modja assurent le show. “C’est une idée de Laurent Ruquier qui avait envie de faire revivre ce groupe mythique des années 1960 en nous choisissant toutes les quatre pour incarner ce nouvel album de reprises et ce spectacle à partir du 24 mai aux Folies Bergères“, souligne Mareva Galanter. Elle chantent les succès du groupe d’antan :  “L’argent ne fait pas le bonheur”, “Je te déteste” ou “Ce soir à Saint-Tropez”.

Interview et medley du spectacle sur le plateau de France 2 :

 

Le premier groupe Yéyé français

Parmi les aventurières des Parisiennes 2018, Arielle Dombasle a savouré avec délice ce moment de musique inédit. “C’est le premier groupe yéyé français, donc c’est absolument excitant ! Claude Bolling est le premier qui a emmené le swing anglo-saxon en France, c’est une ère absolument charmante et gaie”, précise la chanteuse. 

 

Un groupe multiculturel

Ces “Parisiennes” du XXIe siècle portent haut les couleurs du monde. La Belgique, Tahiti, les Etats-Unis et le Mali, les quatre filles assument fièrement la diversité, à l’image du Paris d’hier et d’aujourd’hui. “Paris est une ville cosmopolite, on l’adopte et finalement on devient Parisienne parce qu’on y est depuis longtemps”, rapporte Helena Noguerra. 

Les Parisiennes, drôles de dames (Entrée Libre)

Laurent Ruquier fait revivre les Parisiennes, un groupe vocal yéyé 100% féminin, aux Folies Bergères. Pour ce spectacle mêlant chant, danse et comédie, ce sont Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra qui composent le nouveau quatuor, 54 ans après sa création par le chef d’orchestre Claude Bolling.

 

Le nouvel album Les Parisiennes est déjà disponible !

Les Parisiennes seront en concert aux Folies Bergère à partir du 24 mai puis en tournée dans toute la France !

Les Parisiennes dans Le 19.45 de M6

Les Parisiennes se reforment 50 ans plus tard avec les quatre filles dans le vent : Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra !

Le 19.45 de M6 a retrouvé Les Parisiennes en pleines répétitions pour leur spectacle aux Folies Bergère qui débutera le 24 mai prochain alors que leur album vient tout juste de sortir !

 

Replay – Les Parisiennes dans Salut les Terriens !

Les Parisiennes, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja & Helena Noguerra, étaient les invitées de Thierry Ardisson dans Salut les Terriens pour présenter leur nouvel album Les Parisiennes (album déjà disponible) ainsi que leur spectacle aux Folies Bergère qui débutera le 24 mai.

Pour la première fois sur un plateau de télévision, Arielle Dombasle et Bernard-Henri Lévy étaient réunis.

Les Parisiennes ont également interprété le titre “Il fait trop beau pour travailler” extrait de leur album éponyme !

Une émission à revoir en intégralité sur le site de Canal + :

Vous retrouverez Les Parisiennes en concert aux Folies Bergère à partir du 24 mai puis en tournée dans toute la France !

Rencontre avec une légende vivante : Arielle Dombasle (Oh my mag)

Chanteuse, actrice, égérie… Arielle Dombasle sait tout faire. Depuis 30 ans elle pose son empreinte sur le paysage culturel français sans jamais prendre une ride. Rencontre sans filtre avec une diva des temps modernes.

On parle de vous comme d’une “diva populaire”. Ça vous amuse ou ça vous agace ?

Ça me va. Derrière le mot “diva”, il y a tout un cosmos d’études, beaucoup de travail, une école de musique et de l’acharnement. J’en suis très fière. Je peux aujourd’hui chanter du bel canto, du Debussy, aussi bien que du Bach, Rossini ou Vivaldi, des cantates, des psaumes… c’est jubilatoire ! “Populaire”, je ne sais pas bien ce que cela veut dire, sans doute que les gens m’aiment bien. On me le dit souvent et ça me bouleverse à chaque fois.

Avec Mareva Galanter, Helena Noguerra et Inna Modja, vous reformez “Les Parisiennes”, un girls-band légendaire des années 60…

Le plus glorieux des girls-bands français ! “Les Parisiennes” faisaient tube sur tube et tout le monde dansait sur leur musique. La Parisienne représente toujours une figure très attractive pour le monde entier, à la fois brillante et exigeante, toujours à l’avant-garde, avec ce petit rien énigmatique et indicible qui change tout. C’est d’ailleurs pour ça que Laurent Ruquier a décidé de relancer ce groupe.

Des films d’auteur d’Eric Rohmer à “Un Indien dans la ville” en passant par la chanson… vous êtes la reine des grands écarts !

Ce qui me plaît dans cet exercice, c’est d’être toujours dans le renouveau, la création, à l’aube des choses. Je n’aime pas le confort ni le conformisme. 

Comment en êtes-vous arrivée à faire tout ça ?

Grâce à ma grand-mère. Elle a posé sur moi son regard qui me faisait croire que j’étais la huitième merveille du monde. Du coup, tout devenait possible.

Laurent Ruquier a fait de vous l’une de ses Grosses Têtes. C’est grave d’avoir la grosse tête, ou c’est un mal nécessaire ?

Les Grosses Têtes n’ont de grosse tête que le nom ! C’est l’assemblée la plus drôle et la plus iconoclaste qui soit. La jubilation de pouvoir tout dire à la radio, sans censure… un luxe !

Vous avez enflammé le Crazy Horse : qu’est-ce qui vous fait rêver chez ces filles ?

La possibilité de danser tous les jours de la vie, d’être éclairées comme des déesses, d’incarner une forme de beauté parfaite.

AMOUR

Quel âge avait le premier garçon qui vous a fait pleurer?

Il avait 10 ans. Mais en amour les femmes pleurent toujours.

Et votre premier baiser, il avait le goût de quoi ?

Le goût d’interdit.

Aimez-vous aujourd’hui différemment d’il y a vingt ans?

Non, je suis toujours la même amoureuse. D’une très grande exigence avec moi-même. Je refuse de me dire “aujourd’hui j’ai envie de traînailler, d’être archi moche”.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que si je croise mon amoureux, il verra une espèce de zombie avachi et tout mollasson.

Votre mari, Bernard-Henri Lévy vous a donc toujours vue belle et tirée à quatre épingles ?

Belle autant que possible oui, mais pas toujours tirée à quatre épingles ! On est humain tout de même… Il m’arrive, comme tout le monde, d’être malade, déprimée, d’avoir pleuré ou pas dormi quand toutes les misères du monde vous tombent dessus. Mais j’essaie toujours de me cacher, surtout ne jamais en jouer.

On vous a vue dans l’opéra de Jérôme Savary, “La Belle et la toute petite Bête”. Qui représente pour vous la plus belle des Bêtes aujourd’hui?

Cela vous semblera sans doute absurde, mais la plus belle des bêtes c’est mon mari ! Il le doit à un mélange de tact et de surpuissance. Son tact, c’est une élégance dans la vie de tous les jours. C’est irrésistible. 

Brigitte Macron a dit en parlant de son mari : “Le seul défaut d’Emmanuel, c’est d’être plus jeune que moi”, le seul défaut de votre mari à vous, c’est quoi ?

D’être trop beau.

“On est inquiète quand on aime” chantez-vous…

Oui, quand on aime on est aux aguets, en attente, sur le qui-vive, tout en fébrilité, avec la peau ultra sensible. 

Oh, vous avez déjà eu peur qu’on vous pique votre mari ?

Quand on aime on a toujours cette peur-là. Mais pas seulement à cause de sa beauté, à cause de tout. Je garde toujours en tête que quelle que soit son intensité, l’amour reste archi fragile. Il n’existe pas de recette pour l’éternité. Il faut juste essayer de rester essentielle et attirante pour l’autre. Il faut veiller à toujours susciter le désir, car le désir est partout !

Vivre avec un philosophe, cela rend-il plus philosophe ?

Non, mais cela donne accès à un Himalaya de livres. Nous en avons partout à la maison et le hasard m’en a fait découvrir certains que je n’aurais jamais lus.

Si on vous forçait à échanger BHL contre un autre homme, qui choisiriez-vous ?

Ah non, je ne l’échangerais contre personne au monde !

Dites-nous, quels sont les ingrédients d’un bon french kiss ?

Un bon french kiss, c’est un baiser très attendu, pour lequel on s’est beaucoup retenu, et qui a finalement lieu. Il ne faut surtout pas le donner trop vite, mais attendre et faire attendre. Il faut bien sûr une bonne dose de teasing. Évidemment rien n’interdit de le donner le premier soir, mais le différer le rend plus intense.

INDISCRETIONS

Pour vous, sortir sans rouge à lèvre c’est comme…

Sortir toute nue ! Je mets du rouge à lèvres partout, même au restaurant sur une lame de couteau, je me débrouille toujours pour improviser un miroir. (Elle sort son rouge, ndlr) Tenez, sur cette petite cuillère on se voit très bien !  

Avec Philippe Katerine, vous avez chanté “Glamour à mort”. Justement, quelle est la recette pour être glamour à mort ?

Être excessive et toujours à la limite du mortel.

Pour un dîner, vous choisiriez qui ?

Je ne sais pas, ce sont les dîners qui me choisissent. Je rencontre toujours des tas de gens formidables. Je suis trop souvent invitée, je refuse presque toujours. Dans l’idéal, je choisirais des écrivains, des artistes morts. Ce serait magique.

Quelle est l’insulte le plus terrible qui puisse sortir de votre bouche ?

J’en dis peu. “Espèce de crétin”… “connard” peut-être. Je m’en veux quand je le dis pour des bêtises. Une insulte c’est indélébile alors il faut faire très attention. Il ne faut pas utiliser les mots à tort et à travers, car un mot peut changer une vie, ça je le sais ! En revanche, quand les gens vous disent des choses positives et rassurantes, cela donne des ailes.

Vous que l’on trouve si parfaite, vous arrive-t-il d’avoir honte ?

Évidemment ! J’ai honte de moi, par exemple quand je prends les choses trop à cœur, que j’ai une réaction disproportionnée et à chaque fois que je vis une situation comme une tragédie.

Quelle est la tenue vestimentaire qu’on ne vous verra jamais porter?

Dans les films, on vous fait tout porter ! Mais dans la vie vous ne me verrez jamais avec une grosse doudoune de cosmonaute qui vous fait ressembler à un bonhomme Michelin. 

Quelle est la pièce de votre garde-robe à laquelle vous attachez la plus grande importance ?

Les mini-sacs. Je suis addict ! Mon mari les déteste, surtout les girly, dorés, vernis, avec des grigris ou des strass bêbêtes. Mais j’en porte quand même. Dans ces cas-là, il me regarde de travers. Je sais bien qu’il trouve ça tarte mais c’est irrépressible ! 

Que trouve-t-on dans votre sac ?

Beaucoup de choses, il est toujours plein à craquer : (elle sort les choses une à une, ndlr) du parfum, un téléphone, des lunettes, des paroles de chanson, un poudrier la Prairie que j’adore, des feutres, une fausse cigarette (électronique, ndlr) que je n’utilise plus, et mes vraies cigarettes (elle les range dans un étui doré, ndlr). J’ai commencé à fumer en classe dès l’âge de 9-10 ans, pour la provoc’ !

La provocation, vous aimez ça ?

Oui, je l’aime malgré moi. Quelque fois je provoque sans m’en rendre compte, par excentricité. Je suis quelqu’un de paradoxal, pas formatée, sans doute pas facile à cerner.

Quel est le plat qu’il ne faut absolument pas vous mettre sous le nez?

Je ne mange pas d’animaux, alors ne me mettez pas de la cervelle de singe ni de la côte de bœuf sous le nez. Je suis contre la souffrance animale, sans pour autant faire de leçon de morale à personne. Ceux qui veulent manger du sang, qu’ils le fassent ! À la maison on vit très bien sans. 

Si la petite fille que vous étiez pouvait s’adresser à la femme que vous êtes devenue, que lui dirait-elle ?

“Tu n’as pas changé d’un iota”. Je suis identique, je n’ai rien appris de fondamental ! Je me suis déjà posé la question et je sais que je suis restée exactement la même.

Quelle est la chanson sur laquelle vous pourriez danser nue ou en petite culotte dans le salon ?

Nue, je ne ferais jamais ça ! Mais je pourrais danser sur une chanson des Moody Blues comme “Nights in white satin”, qu’écoutaient mes parents.

La drogue, vous y avez déjà goûté ?

Bien sûr. La cocaïne, il m’est arrivé d’en prendre pour jouer au théâtre, mais ça ne m’a jamais plu. Je me méfie beaucoup des drogues à cause de l’addiction. On peut tomber très facilement dans l’alcool ou les pilules pour dormir. La chimie est toujours plus forte que nous.

Vous ne vous couchez jamais sans…

… Sans m’être enveloppée dans mon parfum !

D’ailleurs, combien de fois par jour vous parfumez-vous?

Cinquante fois par jour ! J’ai la joie de porter mon propre parfum, “Le secret d’Arielle”, une merveille ! (Elle sort un petit flacon de son sac, s’en asperge et me le tend, ndlr). Je vous le donne ! C’est un très grand parfum que j’ai mis dix ans à composer, avec l’aide de grands nez, à Grasse. Voilà l’une des grandes réalisations de ma vie !

Interview publiée dans Oh My Mag n°7

Arielle Dombasle et Mareva Galanter teasent le show Les Parisiennes (Pure People)

Les Parisiennes sortent dans les bacs leur album éponyme qu’elles vont défendre en spectacle dès le mois prochain. La troupe, formée par Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra, se prépare activement.

Après plusieurs semaines de teasing, Les Parisiennes ont donc sorti leur disque. Le girlsband, reformé avec de nouvelles têtes par Laurent Ruquier, avait déjà publié un premier single intitulé Ah c’qu’on est bête et elles continuent de faire découvrir l’album au grand public à moins d’un mois du lancement du spectacle.

Le 9 avril, on pouvait retrouver deux des Parisiennes, Arielle Dombasle et Mareva Galanter, en séance photo et promo au théâtre des Folies Bergère, dans le 9e arrondissement de Paris, qui accueillera le spectacle dès le 24 mai prochain ; et en tournée dans toute la France dès l’été. Les deux artistes font équipe avec Inna Modja et Helena Noguerra, et la troupe s’est retrouvée au même endroit le 26 avril afin de montrer un extrait du show sur la page Facebook du magazine ELLE. Les chanteuses ont ainsi présenté un autre extrait : Il fait trop beau pour travailler. Le spectacle est mis en scène par Stéphane Jarny.

 

J’avais une dizaine d’années quand, enfant de la télé, je voyais ces quatre jeunes femmes chanter des refrains plus joyeux les uns que les autres , dans les émissions de variétés de l’époque. Elles étaient belles, drôles, élégantes, elles dansaient, elles chantaient, bref elles étaient… Parisiennes ! Pour qui n’était pas encore ‘monté’ à Paris, elles représentaient le chic, l’humour, le succès tel qu’on pouvait l’imaginer depuis la province, et comme le dessinateur Kiraz les représentait dans le magazine Jours de France que je feuilletais quand on me traînait chez le coiffeur. Il aura fallu 45 ans pour que je concrétise ce fantasme ! Et avec quelles Parisiennes ! Arielle, Mareva, Helena et Inna, avouez que je suis chanceux“, déclare Laurent Ruquier.

Le producteur ajoute : “Elles chanteront les succès du groupe d’antan : Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur, Je te déteste ou Ce soir à Saint-Tropez, des titres composés par Claude Bolling.

Les Parisiennes : un quatuor en or (Gala)

Cinquante ans après le succès du groupe Les Parisiennes, Laurent Ruquier reforme le girls band yé-yé avec Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra.

Gala, n°1298, 28 avril.

Découvrez “Les Parisiennes” 2.0 (LCI)

VOS SORTIES – Raymonde, Anne, Hélène et Anne-Marie qui formaient le groupe “Les Parisiennes” dans les années 60, reviennent sous une nouvelle version.

Plus de 50 ans après le succès rencontré par “Les Parisiennes”, Laurent Ruquier a décidé de ressusciter le groupe avec un nouveau casting. Désormais, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra formeront la version 2018 du groupe. Elles redonnent vie aux chansons des Parisiennes dans un nouvel album qui sort ce 27 avril. Les quatre artistes, très différentes mais complémentaires, présentent un projet rétro composé de quinze reprises avec un premier titre baptisé “Ah C’Qu’On Est Bête”.

Ce vendredi 27 avril 2018, Découvrez “Les Parisiennes” 2.0, dans sa chronique “Vos sorties”, présente le jeu “L’Inconnue de la Seine” conçu par Expérience 360. Cette chronique a été diffusée dans La Matinale du 27/04/2018 présentée par Pascale de La Tour du Pin sur LCI.

L’album Les Parisiennes est déjà disponible !

Après avoir découvert leur premier single “Ah c’qu’on est bête !” Les Parisiennes, le nouveau quatuor formé par Laurent Ruquier, dévoile, aujourd’hui, son album éponyme.

Les nouvelles Parisiennes, incarnées par Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja & Helena Noguerra, interprètent les plus grands succès du groupe yé yé mythique, composés par Claude Bolling, tels que “Il fait trop beau pour travailler,” “L’argent ne fait pas le bonheur,” “Paris, je t’aime d’amour” ou encore “Un tout petit pantin” avec glamour, gaieté et légèreté.

L’album Les Parisiennes (Naïve) est désormais disponible en CD, en vinyle et en digital sur toutes les plateformes légales d’écoute et de téléchargement.

 

Originaires des États-Unis, de Tahiti, du Mali et de Belgique, les pétillantes Parisiennes incarnent pourtant l’essence même de Paris : “Paris est faite de provinciaux, d’étrangers, c’est une ville très cosmopolite” confie Helena Noguerra. Cette diversité revendiquée par le girls band est d’ailleurs ce qui captive et électrise : “La Parisienne est toujours admirée par les femmes du monde entier car elle a ce petit rien qui change tout. La Parisienne est toujours une figure, un modèle excitant !” révèle Arielle Dombasle.

Les Parisiennes seront sur la scène légendaire des Folies Bergère du 24 mai au 3 juin dans une revue-spectacle mise en scène par Stéphane Jarny avant de partir en tournée dans toute la France et en Suisse !

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Les Parisiennes en interview dans Laissez-vous tenter sur RTL

Invitées dans les studios d’RTL, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra redonnent vie au répertoire pétillant du quartet 100% féminin “Les Parisiennes”, qui a égayé le quotidien des Français dans les années 60.

Avis aux nostalgiques : les Parisiennes sont de retour ! Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Héléna Noguerra sont réunies en quatuor sur une idée de Laurent Ruquier. Les quatre femmes redonnent vie à un répertoire pétillant qui a égayé le quotidien des Français dans les années 60.

Les fringantes chanteuses reprennent quinze chansons du groupe d’origine dans un album qui sortira ce vendredi. Elles se produiront sur la scène des Folies Bergères à Paris à partir du 24 mai prochain avant de partir en tournée.

 

Ce quator féminin est symboliquement multiculturel puisque aucune d’entre elles n’est née dans la capitale. “On se sent toutes les quatre extraordinairement parisiennes car Paris nous a adoptées”, assure Arielle Dombasle, née aux États-Unis. Un avis également partagé par Héléna Noguerra, native de Belgique. “Paris est fait de provinciaux, d’étrangers, c’est une ville très cosmopolite“.

Entre 1964 et 1972, le quatuor original publie quatre albums, des 45 tours : 64 chansons en tout. Des morceaux pop qu’on croque comme des bonbons acidulés. Les musiques sont composées par le pianiste de jazz Claude Bolling, d’où la finesse des arrangements sur des mélodies d’une efficacité redoutable. Quant aux paroles signées Frank Gérald, elles sont malicieuses, mutines et frivoles. Un répertoire qui voyage jusqu’en 2018 sans perdre une once de sa fraîcheur.

Une interview à ré-écouter en intégralité :