Arielle Dombasle dans le 11H-13H d’Europe 1

Arielle Dombasle était l’invitée de Pierre de Vilno dans “Le 11H-13H” d’Europe 1 pour parler de son nouveau single pour les Jeux Olympiques, “Olympics” et de son nouvel album ICONICS.

Regardez l’interview ci-dessous !

La Piscine de Jordan de Luxe avec Arielle Dombasle

Arielle Dombasle était l’invitée de Jordan de Luxe dans “La Piscine de Jordan de Luxe” sur C8 pour présenter son nouvel album “ICONICS” et son tout nouveau single “Olympics” !

C’est au bord de la piscine de Jordan de Luxe qu’Arielle Dombasle a évoqué la sortie de son nouvel album “ICONICS” et son nouveau single “Olympics”, ode aux Jeux Olympiques qui auront lieu cet été à Paris.

Arielle Dombasle : Avec Olympics, “que Paris soit une fête avec tous ses athlètes !” (20 Minutes)

Arielle Dombasle sera de la fête pour l’arrivée de la flamme olympique à Paris le 14 juillet et interprétera son nouveau titre “Olympics” !

La flamme olympique arrive à Paris le 14 juillet (avant de repartir en vadrouille jusqu’à l’ouverture des Jeux olympiques). Lors de cette cérémonie d’accueil très républicaine devant l’hôtel de ville de Paris, Arielle Dombasle interprétera son nouveau titre Olympics. La chanteuse lyrique explique à 20 Minutes combien cette invitation la ravie.

Comment êtes-vous arrivée dans cette cérémonie d’accueil de la flamme olympique ?

A la sortie de mon dernier album, intitulé Iconics, qui est dédié aux femmes qui m’ont inspirée… En marge de cet album, il y a la chanson « Olympics » qui est un hommage aux championnes, aux premières femmes médailles d’or. Cet hymne, dont j’ai écrit les paroles, nous l’avons composé avec Charly Voodoo, d’après la 7e symphonie de Beethoven. Nous avons tourné le clip au Musée des Arts Décoratifs de Paris pendant l’exposition Fashion & Sport. La mode et la beauté, c’est ce qui a toujours attiré les foules, notamment à Paris. C’est aussi une ode à Paris, ville lumière qui attirera le monde entier cet été. La Ville de Paris, Anne Hidalgo et son équipe ont vu le clip et ont été enthousiasmés. Ils m’ont donc invitée à chanter pour l’arrivée de la flamme olympique à l’Hôtel de ville, le 14 juillet.

Vous allez donc chanter mais allez-vous aussi porter la flamme ?

Je ne sais pas. Je sais qu’elle va dormir un soir à l’Hôtel de ville avant de repartir, puis elle reviendra pour l’ouverture des Jeux olympiques. Je trouve que c’est un symbole formidable que cette Flamme dorme à la mairie de Paris.

Vous ne faites pas partie de ces Parisiennes et Parisiens qui fuient la capitale alors ?

Mais pas du tout ! Jamais ! Il y a une espèce de bashing un peu excessif contre les JO de Paris, on entend beaucoup de choses négatives. Bien entendu, il y a un temps de travaux qui nous empêchent parfois de circuler, de grosses perturbations et embouteillages… Mais c’est inévitable pour que Paris puisse accueillir, au mieux, les sportifs du monde entier et les milliers de visiteurs. Les Jeux olympiques, c’est unique, fantastique, historique ! Je suis très excitée à l’idée de découvrir les épreuves au cœur de notre capitale, et toutes les nouvelles épreuves comme le skate ou le breakdance !

Cette journée d’accueil de la Flamme sera très symbolique puisqu’elle aura lieu le 14 juillet. Comment vous situez-vous parmi cette foule de symboles républicains et olympiques ?

Je suis très émue et très honorée de chanter cette ode à la joie. Mon grand-père fut le premier diplomate à rejoindre le Général de Gaulle à Londres et le Général lui demanda de fonder la France libre en Amérique ! Ce qu’il fit. Comme je suis franco-Américaine, ayant vécu au Mexique, je trouve magnifique que Paris soit, cet été, plus international que jamais. C’est très beau d’accueillir les pays du monde entier dans cette capitale de la France ! Quelle fierté !

Vous qui êtes attachée aux symboles, que vous inspire celui de la Flamme olympique ?

C’est un symbole magnifique, le feu qui embrase mais qui unit les cœurs et les âmes dans la passion de la performance, et non pas le feu qui détruit. Cette Flamme que l’on transmet représente l’assemblée humaine unie pour se dépasser, concourir dans l’enthousiasme !

Ces JO arrivent dans un contexte national et international très tendu. Les Jeux olympiques pourront-ils être cette parenthèse où on oublie ?

On ne peut jamais vraiment oublier ce qui se passe autour de nous, mais dans un contexte si tendu, les Jeux olympiques représentent l’humanité unie, c’est vraiment bon à prendre ne ce moment !

Êtes-vous personnellement touchée par les valeurs de l’olympisme ou êtes-vous attachée au symbole ?

Mais les deux ! Je trouve bouleversant de voir ces forces du monde, cette fusion des corps et des âmes, cette humanité qui essaye de se dépasser, être l’homme qui court le plus vite du monde, la femme qui nage la plus vite… L’idée de devenir soi-même et plus que soi-même, se surpasser, c’est une valeur proprement humaine.

Vous êtes sportive vous-mêmes. Auriez-vous pu devenir une athlète ?

Les athlètes m’ont inspiré depuis toujours, je suis très sensible à l’aura des championnes. Esther Williams est la première sportive que j’ai admirée, une nageuse olympique incroyable qui a été ensuite repérée par Hollywood dans des spectaculaires comédies musicales. Nous, les artistes, les actrices, les chanteurs, les danseuses… Nous sommes des athlètes dans notre genre. Comme les athlètes, nous visons le dépassement de nous-mêmes, dans notre singularité, nous visons à représenter des valeurs universelles.

Mais dans cet exercice très chargé de symbole – avec la Flamme, les drapeaux… – où vous incarnerez une sorte de Marianne olympique, quelle sera la place de votre singularité ?

Il faut être soi-même pour pouvoir incarner et transmettre la joie, l’exaltation. C’est quelque chose que j’ai toujours cherché à faire. Quand je ne vais pas bien, je me cache… Mais pour l’heure, que Paris soit une fête avec tous ses athlètes… Tour Eiffel, comme un trésor d’une pluie de médailles d’or !

Arielle Dombasle chantera lors de l’arrivée de la flamme olympique à Paris (Le Parisien)

La chanteuse et comédienne a composé « Olympics », un hymne inspiré de la 7ème symphonie de Beethoven, pour l’arrivée de la flamme olympique dans la capitale des Jeux, le 14 juillet. Le single sera disponible le 25 juin.

« Olympics ». C’est l’hymne qu’entonnera Arielle Dombasle le 14 juillet à 19h30, en direct sur France 2, jour de la Fête nationale et de l’arrivée de la flamme olympique à Paris. La chanteuse et comédienne sera entourée d’athlètes qui se sont entraînés à la danse pour son clip et une performance inédite, chorégraphiée par Pika Matador, une ex-danseuse du Crazy Horse. « Avec le feu, on peut tout. Et c’est pour ça que cette flamme olympique est merveilleuse – le feu allume le feu ! » s’exclame l’artiste.

Son hymne est inspiré de la « Septième symphonie » de Beethoven, bien dans la veine de son dernier album sorti en mai, « Iconics », où pop et électro sont à l’honneur, grâce à des morceaux tels que « Barbiconics » et une reprise de « Fever », de Peggy Lee.

Arielle Dombasle, rencontrée en début de semaine à Paris, nous dévoile, accompagnée par le musicien et compositeur Charly Voodoo, qui sont ses icônes femmes et son amour pour le sport. Avec joie, malgré quelques inquiétudes, elle brandit son enthousiasme inébranlable.

Une ode aux femmes et à leurs exploits

« J’ai écrit cet hymne pour les femmes, et gloire aux premières athlètes féminines ! » Les Jeux olympiques refondés par Coubertin en 1894 excluaient le sexe dit faible de beaucoup d’épreuves, arguant de « la fragilité inhérente à leur condition féminine », dixit le baron. Ce temps est révolu, et c’est ce que la chanteuse et comédienne aux multiples facettes met en avant dans le clip de « Olympics », tourné au musée des Arts décoratifs de Paris (Ier). Lyrique et électro s’y mêlent, ne font plus qu’un — n’est-ce pas l’enjeu d’une compétition sportive, au-delà de la victoire, fédérer et rassembler —, et elle y déambule dans une robe signée Marie Beltrami, ou suspendue aux anneaux lumineux, symboles des Jeux, parmi des sportifs, gymnastes, escrimeurs, boxeurs…

« Pour les sportives femmes, ça n’a pas été donné de concourir à toutes les épreuves », insiste-t-elle. Les yeux qui s’illuminent, elle évoque les images impressionnantes de Nadia Comaneci, considérée comme l’une des plus grandes gymnastes au monde, médaillée d’or au Jeux de 1976 à Montréal : « Ça a ébloui le monde entier, elle était encore sous le joug du grand bloc de l’Est, c’était tout d’un coup un jaillissement de liberté. »

Son rapport au sport et au corps

La chanteuse pratique depuis toujours la natation et la danse classique : « C’est en admirant Esther Williams, nageuse athlétique, devenue grande figure dans les comédies musicales de l’âge d’or de Hollywood que j’ai découvert la natation. » Surnommée la « sirène de Hollywood », une fois happée par l’industrie, elle ne s’est plus illustrée dans les compétitions sportives.

Là-dessus, la liane, fine et vêtue de rouge, un foulard tricolore noué à son cou, constate que pour hommes et femmes, aujourd’hui encore, « il est difficile d’être en accord avec son corps. Il faut l’apprivoiser, les gens sont toujours terribles envers les individus qui ne correspondent pas aux canons de beauté à l’ordre du jour. »

Fan de breakdance et de skate

« L’exaltation du corps et le surpassement de l’âme, c’est extraordinaire ! J’ai toujours admiré les danseuses sur pointe, qui sont des athlètes à part entière — comme des phénomènes, au sommet de la grâce et de la beauté. Petite, je pleurais pour faire des pointes », raconte-t-elle. Arielle nage en toutes eaux, piscine, mer, rivière, à l’image de ses projets artistiques, tantôt comédienne, réalisatrice, meneuse de revue… elle est multiple.

Les Jeux de Paris font entrer de nouvelles disciplines dans les palmarès, comme le skateboard et le breakdance, inspirés de la culture américaine hip-hop de la rue. « Alors ça, pour rien au monde je ne raterai la breakdance et le skate, où il y aura filles et garçons ! » Durant tout l’été, Arielle Dombasle sera présente, en supportrice enthousiaste, alors que beaucoup de Français s’inquiètent du déferlement touristique, et songent à quitter la capitale.

À la lueur de la flamme, le devoir citoyen

Le climat politique actuel, avec la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, les élections législatives anticipées, tandis que de chaque bord, des coalitions se forment ? « Il faut que tout le monde aille aux urnes, commente Arielle Dombasle, il en va de la survie des libertés et des tolérances, de l’acceptation de l’autre, il en va des véritables forces démocratiques. Nous vivons dans un pays où le vote n’est pas truqué. La France est le pays des Lumières », conclut-elle.

« La dissolution de l’Assemblée sera, je l’espère, pour un monde meilleur », ajoute-t-elle, faisant référence à la majorité relative de l’actuel gouvernement, et aux nombreux blocages et articles 49.3 dégainés, sans s’étendre plus.

Le documentaire de la discorde

En novembre 2023, Netflix diffuse le documentaire « Scandale chez la femme la plus riche du monde » qui revient sur les abus de faiblesse et autres intrigues autour de Liliane Bettencourt et son entourage. Arielle Dombasle y apparaît. L’artiste confie aujourd’hui ne pas pouvoir communiquer sur cette affaire, à la suite d’une plainte qu’elle a déposée contre la production. Mais son sentiment de trahison, quant à l’utilisation de ses témoignages dans ce programme, utilisés contre son gré souligne-t-elle, reste palpable.

Un espoir, un seul pour ces Jeux olympiques de Paris 2024 ?

« Nous sommes dans une période d’énorme perturbation mondiale, une époque très tendue, très anxiogène. J’espère justement que ces Jeux olympiques, cet affrontement de tous les pays, sur une base de la simple humanité sportive, vont arranger les choses. »

Arielle Dombasle souhaite, comme écrit dans son hymne, que Paris soit une fête, que pleuvent les médailles d’or : « Un hymne à la joie, l’esprit de la fête, du dépassement de soi, c’est à l’ordre du jour ! » Un petit pas de côté vis-à-vis de Beethoven, mais un vœu limpide et galvanisant.

Le 10H-Midi : sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (Sud Radio)

Pour la sortie de son nouvel album ICONICS, Arielle Dombasle était l’invitée de Valérie Expert et Gilles Ganzmann dans “Le 10H-Midi” sur Sud Radio.

Une émission à retrouver en intégralité ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Arielle Dombasle présente ICONICS dans C à Vous

Hier soir, Arielle Dombasle était l’invitée d’Anne-Élisabeth Lemoine dans “C à Vous” pour la sortie de son nouvel album “ICONICS” !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Le monde d’Élodie : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France Info)

Arielle Dombasle était l’invitée d’Elodie Suigo sur France Info pour la sortie de son nouvel album ICONICS.

Arielle Dombasle est une artiste à part, atypique. C’est par le biais des films d’Éric Rohmer, des séries télévisées comme Miami Vice ou encore des films devenus culte Un Indien dans la ville (1994), Astérix et Obélix contre César (1999) que le public l’a découvert. Et puis la musique est entrée dans sa carrière avec en premier lieu l’album Liberta en 2000. Aujourd’hui, elle sort un nouvel opus Iconics en forme d’hommage à des personnalités des figures féminines emblématiques telles que Judy Garland, Marlène Dietrich, Shirley Bassey ou encore Joséphine Baker.

franceinfo : Iconics ce sont huit titres à la fois sensuels, féminins, doux, déterminés. Un peu comme vous.

Arielle Dombasle : J’espère que mon album me ressemble. C’est en effet un hommage au féminin, à ces figures qui m’ont éblouie. C’est un peu une éthique de l’admiration. Quand j’étais enfant, j’ai aimé immensément ma poupée Barbie. Après, j’ai souffert qu’on me réduise à la poupée Barbie. Mais après tout, dans cet album, je lui rends hommage parce que c’était une poupée très futuriste, très d’avant-garde et la première poupée féministe parce que ça donnait envie aux petites filles d’être toute sorte de choses. On achetait la poupée Barbie avocate, maîtresse de maison, patineuse, astronaute, médecin et on se disait : “Voilà ce qui m’attend dans le futur” et on choisissait de jouer avec quelque chose qui déjà vous exaltait.

Que représente cet album pour vous ?

Un hommage aux femmes qui auraient pu être des mères, en tout cas qui, moi, m’ont élevée. Et j’aime reprendre, par exemple, Diamonds Are Forever de Shirley Bassey, cette femme qui a incarné par exemple les nouvelles figures féminines de James Bond, qui sont des femmes fortes, qui sont des femmes espionnes, des combattantes.

Au départ, il y a effectivement la danse. C’est l’un des points d’ancrage qui va vous mener à la scène, au théâtre, à l’expression scénique. Vous avez un côté indomptable. Votre grand-père était consul de France à Calcutta. Ensuite, il a été l’un des premiers à rejoindre le général de Gaulle quand il était en exil à Londres. Il a créé la France Libre. Avez-vous gardé cela de lui ?

J’ai été un peu intimidée par le milieu dans lequel je suis née, parce que c’étaient les ambassades, que des gens très brillants, que des gens remarquables. Et on appelait mon grand-père, Son Excellence. C’était en effet quelqu’un de remarquable qui a sauvé un nombre considérable de gens pendant la guerre, qui a reçu tous les artistes exilés en Amérique et qui a donc été un héros. Et sa femme Man’ha Garreau-Dombasle, est la personne qui a le plus compté dans mon existence. Une femme de lettres et femme, avec ce magnétisme qui faisait qu’elle était entourée d’artistes.

À quoi rêviez-vous enfant ?

J’ai commencé par être un bébé, et puis tout de suite, j’ai dansé, j’ai chanté. Je savais enfant. J’ai toujours imaginé que je serais sur scène et sous les projecteurs. J’ai été choisie par Éric Rohmer pour Perceval le Gallois. J’ai commencé comme ça, avec les airs médiévaux.

Parlons de ces femmes que vous reprenez. Elles ont fait partie de l’émancipation des femmes qui ont parfois mis leur vie en danger. Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait d’être une femme ?

Ce qui me plaît, c’est qu’elles ont déjà une position un peu plus enviable que pendant 21 siècles de domination masculine. Être une femme au XXIᵉ siècle, c’est une bonne chose. On est encore loin de vivre sur un plan d’égalités. Mais il y a beaucoup de plans sur lesquels, heureusement, nos mères et nos grands-mères ont obtenu beaucoup de choses, et notamment Simone de Beauvoir.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

C8 Le JT: sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle

Arielle Dombasle était l’invitée de William Leymergie dans “Le JT” diffusé sur C8, pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

ICI 19/20 Paris Ile-de-France : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France 3)

Arielle Dombasle est l’invitée de Jean-Noël Mirande dans ICI 19/20, diffusé sur France 3 Île-de-France, pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

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Culture Médias: Sortie du nouvel album ICONICS (Europe 1)

Aujourd’hui, à l’occasion de la sortie de son nouvel album, ICONICS, Thomas Isle recevait Arielle Dombasle dans “Culture Médias” sur Europe 1.

Une émission à retrouver en intégralité ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Télématin: Répétitions chez Madame Arthur pour ICONICS

A l’occasion de la sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle le 24 mai prochain, Télématin s’est entretenu avec Arielle Dombasle qui répétait son album ICONICS sur la scène de Madame Arthur.

Un reportage à retrouver en intégralité ci-dessous :

Sortie du clip et du single “Diamonds are Forever” !

Après “Boys in the Backroom”, Arielle Dombasle sort “Diamonds are Forever”, le nouvel extrait de son album “Iconics” qui sortira le 24 mai 2024.

ICONICS, c’est-à-dire des icônes musicales, des stars, des divas… des figures féminines, mi-femmes, mi-légendes, qui ont peuplé mon imaginaire depuis l’enfance.
Elles furent mes premiers modèles, au carrefour de la voix et du style. Elles m’ont accompagnées depuis l’enfance aux quatre coins du monde. Éternelles inspiratrices.

Arielle Dombasle

Shirley Bassey… Voix puissante et iconique, elle incarne le style du premier James Bond que j’ai vu. J’avais douze ans.
Tout d’un coup, à Mexico, dans un cinéma en amphithéâtre, éclata cette voix…
Sensuelle, conquérante, aux accents fantastiques…
Diamonds are forever…

“Diamonds are Forever”, actuellement disponible sur SpotifyDeezerApple MusicYouTube et toutes les plateformes d’écoute.

Extrait de l’album “Iconics”, sortie le 24 mai 2024.

Arielle Dombasle dans La Dalle (Melty)

De ses débuts de danseuse à Mexico à son nouveau single “Barbiconic”, Arielle Dombasle nous retrace son parcours dans La Dalle.

Arielle Dombasle retrace les grands moments de sa carrière dans “La Dalle” pour Melty.

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle en cliquant ici !

Retrouvailles avec Arielle Dombasle (La Parisienne Life)

Retrouvailles avec Arielle Dombasle au Club Marigny à l’occasion de la parution de “Barbiconic” !

Pouvez-vous expliciter le terme Iconics qui donne son nom à votre prochain album attendu pour cet automne ?

Ce sont des figures qui ont traversé le temps et l’espace. En général, le mot iconique était réservé au domaine du religieux. Pour les orthodoxes, les premières icônes étaient des représentations de vierges. Cela renvoie un peu à l’idée de vénérer une image et que derrière celle-ci, il y a une entité. J’ai choisi de baptiser cet album ainsi car toutes les figures féminines que j’ai reprises sont des femmes légendaires qui figurent dans mon petit bréviaire personnel d’icônes.

Comment s’est fait le choix des reprises qui composent ce disque ?

Nous avons commencé par un choix très large de chaque icône abordée. Pour Marlene Dietrich qui a chanté jusqu’à l’âge de 75 ans ; qui a chanté beaucoup d’artistes ; le panorama était si large qu’il a fallu le réduire petit à petit. Nous avons commencé à travailler plusieurs morceaux ; et cela a été le cas pour toutes ; afin d’arriver à la quintessence de là où l’image, le style et la musique étaient, à nos yeux, au sommet. Nous avons choisi de manière très subjective « Lili Marleen » car une image s’est cristallisée mondialement autour de cette chanson qui était incontournable, nous en avons également retenu deux autres morceaux moins convenus que j’adore. « Boys In The Backroom », où l’on retrouve toute l’ambiguïté de Marlene avec les backrooms et avec elle-même avant les théories du gender car elle a été elle-même la première actrice a porté des smokings et a s’habiller en homme pour jouer sur l’ambiguïté homme-femme très tôt dans les années 30 ; c’est une pionnière et c’est une icône pour cela ! Il y a également « I’m Just A Gigolo », j’aime beaucoup son interprétation. Pour Marilyn Monroe qui est la petite ou grande sœur de toutes les actrices, qui a énormément chanté aussi et dont cela va être du reste le 60ème anniversaire de la mort le 04 août, cela a été difficile de choisir. Marilyn Monroe est une figure tellement à part, tellement touchante et tellement parfaite ; tout comme Brigitte BardotMarilyn Monroe a généré tout un style qui a inspiré des milliers de femmes. Elle était la seule à avoir ce style, cette voix avec cet incroyable vibrato ; c’est difficile de faire du Marilyn. Sur l’album, nous avons pris deux de ses standards qui sont adorés du monde entier « I Wanna Be Loved By You » et « Diamond’s Are A Girl’s Best Friend ». Pour Peggy Lee, nous nous sommes intéressés à « Fever » qui a été sa grande aventure ; on disait de cette artiste qu’elle était la Sinatra au féminin. Peggy Lee a fait aussi un peu de cinéma. Toutes les figures présentes sur « Iconics » sont au croisement de la musique et du cinéma. Ces artistes ont été très gâtées car elles ont connu les golden years Américaines ; l’apogée des plus grandes comédies musicales. Aujourd’hui, il n’y a plus au cinéma ce style Stanley Donen, Liza Minelli… Oui, il y a eu « La la Land »…

Comment est né le titre original « Barbiconic » ?

L’album a été fait par Baptiste Homo et Clément Agapitos qui forment le duo OMOH, le process a été long car nous avons voulu faire un revival qui restitue un son, une saveur et une vérité de l’époque tout en revisitant ces morceaux de manière Electro avec des synthés et des guitares électriques. Au-delà de ces reprises, Charly Voodoo ; m’a proposé cette idée de titre original dédié à Barbie qu’il a écrit et composé.

Vous souvenez-vous de votre première poupée Barbie ?

Evidemment ! Je devais avoir quatre ou cinq ans, je me souviens que l’on m’avait offert une poupée Barbie avec un petit maillot rayé noir et blanc, elle avait des cheveux longs que j’ai immédiatement coiffés. J’ai instantanément été emportée par le charme de cette poupée qui n’était pas l’un de ces gros poupons qui pleure ou une grande poupée figée. C’était une vraie petite égérie futuriste qui faisait tous les métiers. J’ai adoré les panoplies de Barbie avec lesquelles elle pouvait devenir infirmière, pilote d’avion, hôtesse de l’air…J’étais si heureuse d’avoir les nouveaux habits de Barbie, ses petits souliers et tous ses accessoires. J’adorais ma poupée Barbie !

Selon vous, qu’est-ce qui rend Barbie aussi iconique ?

Grâce à Barbie, les petites filles peuvent se projeter quand elles seront jeunes femmes. Cette poupée  a des proportions adorables ; et au-delà de cela, elle est sport, Rock, Pop, elle suit les tendances, elle les devance, elle est visionnaire. C’est la seule poupée qui est comme cela. Par ailleurs, elle a été habillée par tous les plus grands couturiers du monde.

Pouvez-vous nous parler plus en détail de la mise en images de « Barbiconic » ?

Le clip de « Barbiconic » a été réalisé par le talentueux et ravissant Nicolas Pradeau qui a 20 ans. Nicolas qui a reçu le Prix Nikon a imaginé ce clip pour moi ; il a beaucoup travaillé pour me mettre en miniature dans la maison de Barbie. Tous les petits objets très Pop ; très Warholiens ; que l’on retrouve dans cette vidéo ont été imaginés par Yaz Bukey qui est une merveilleuse artiste ; c’est une styliste géniale très pointue.

Sous quelle « forme » aimeriez-vous être immortalisée en poupée ?

Eh bien… Je crois en poupée princesse conte de fée avec une longue robe, une petite couronne et même une baguette magique ; Barbie peut tout faire !

Pensez-vous que Barbie joue encore à l’heure actuelle un rôle important dans le développement des petites filles ?

Oui, tout à fait car Barbie continue d’être la poupée sur laquelle on peut se projeter ; on peut l’habiller comme on veut même si parfois, les parents ne vous laissent pas faire bien qu’ils soient plus libéraux de nos jours. Maintenant, les petites filles peuvent sortir endiamantées et en tutu dans la rue. Elles portent des tas de choses qui scintillent notamment sur les chaussures et elles osent le pink presque bubble-gum de Barbie alors qu’il y a quelques années, c’était vu comme quelque chose d’un peu too much.

« Iconics » va-t-il être un opus essentiellement dansant comme pourrait le laisser entendre les deux premiers extraits ?

Non car sur cet album, il va y avoir des chansons plus langoureuses et dreamy à l’image notamment de « Somewhere Over The Rainbow » de Judy Garland qui est pour moi une étoile particulièrement brillante dans le firmament.

Vous reprenez « J’Ai Deux Amours » de Joséphine Baker, quels seraient les deux vôtres ?

C’est facile, mes deux amours seraient Paris et Zihuatanejo qui est un petit village de pêcheurs sur le Pacifique au Mexique.

Allez-vous présenter en live plus de titres iconiques qu’il n’y en a sur cet album à paraître ?

Sur scène, je vais interpréter les chansons de cet album mais aussi un peu un « best of » de mes précédents albums que le public me demande toujours. Comme nous avons dû réduire le choix des titres que nous avons travaillés pour « Iconics » à douze, je pourrais peut-être en chanter beaucoup plus…

Ce qui n’apparaît pas sur cet album pourrait-il donner lieu à un « Iconics Volume 2 » ?

Maybe, it’s a good idea ! Vous nous la donnez !

Quels sont vos prochains projets ?

Nous hésitons sur le choix du troisième single de ce nouvel album mais nous avons déjà mis en images deux morceaux iconiques ! Un showcase et quelques concerts devraient avoir lieu à L’Alcazar à l’automne au moment de la parution d’« Iconics ».

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle !

Cet été, Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic”, le deuxième single extrait de son nouvel album Iconics (sortie cet automne).

Dans un clip pop, fun et coloré signé Nicolas Pradeau, Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic” le deuxième titre extrait de son nouvel album Iconics. Écrite et composée par Charly Voodoo, “Barbiconic” met à l’honneur une des icônes qui ont jalonées la vie et la carrière d’Arielle Dombasle.

Barbiconic est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui chante, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Iconics avance comme un album de reprises où Arielle incarne, en revêtant leurs habits légendaires, les grandes divas de l’histoire du music-hall : Marlène Dietrich, Peggy Lee, Marilyn Monroe, Joséphine Baker, Judy Garland, Shirley Bassey, Grace Jones, Natalie Wood. Chacune de ces icîones sidérales a été visitée en sa demeure : le ciel étoilé. Arielle s’attaque à leurs standards avec une candeur et une effronterie qui ravient.

Les artistes Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout signent une fois de plus la pochette du single “Barbiconic”.

Ecoutez le signle “Barbiconic” sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement :

Arielle Dombasle présente “Barbiconic” dans Télématin

Ce matin, Arielle Dombasle était l’invitée de Julia Vignali et Thomas Sotto dans Télématin pour annoncer la sortie de son nouveau single “Barbiconic” qui sortira demain, le 6 juillet 2022.

“Barbiconic” est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Dans ce nouvel extrait de l’album Iconics (qui sortira cet automne), Arielle Dombasle a confié la réalisation du clip du titre écrit et composé par Charly Voodoo à Nicolas Pradeau (Grand Prix du Jury au Nikon Film Festival).

Avec “Barbiconic”, Barbie rejoint les icônes si chères à Arielle Dombasle qui s’amuse de ce à quoi elle a été comparée depuis la réalisation de son long métrage Les Pyramides Bleues.

Regardez l’interview d’Arielle Dombasle dans Télématin sur France 2 :

“Barbiconic”, sortie le mercredi 6 juillet 2022.

Iconics, sortie à l’automne 2022.

Un album réalisé par OMOH. Une pochette signée Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout.