Les Parisiennes dans Le 19.45 de M6

Les Parisiennes se reforment 50 ans plus tard avec les quatre filles dans le vent : Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra !

Le 19.45 de M6 a retrouvé Les Parisiennes en pleines répétitions pour leur spectacle aux Folies Bergère qui débutera le 24 mai prochain alors que leur album vient tout juste de sortir !

 

Replay – Les Parisiennes dans Salut les Terriens !

Les Parisiennes, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja & Helena Noguerra, étaient les invitées de Thierry Ardisson dans Salut les Terriens pour présenter leur nouvel album Les Parisiennes (album déjà disponible) ainsi que leur spectacle aux Folies Bergère qui débutera le 24 mai.

Pour la première fois sur un plateau de télévision, Arielle Dombasle et Bernard-Henri Lévy étaient réunis.

Les Parisiennes ont également interprété le titre “Il fait trop beau pour travailler” extrait de leur album éponyme !

Une émission à revoir en intégralité sur le site de Canal + :

Vous retrouverez Les Parisiennes en concert aux Folies Bergère à partir du 24 mai puis en tournée dans toute la France !

Les Parisiennes en live pour ELLE

Les Parisiennes ont invité ELLE et ses lecteurs à découvrir en exclusivité la chorégraphie du titre “Il fait trop beau pour travailler” (extrait de leur album éponyme déjà disponible) lors des répétitions aux Folies Bergère.

Les Parisiennes seront en concert aux Folies Bergère à partir du 24 mai puis en tournée dans toute la France !

Rencontre avec une légende vivante : Arielle Dombasle (Oh my mag)

Chanteuse, actrice, égérie… Arielle Dombasle sait tout faire. Depuis 30 ans elle pose son empreinte sur le paysage culturel français sans jamais prendre une ride. Rencontre sans filtre avec une diva des temps modernes.

On parle de vous comme d’une “diva populaire”. Ça vous amuse ou ça vous agace ?

Ça me va. Derrière le mot “diva”, il y a tout un cosmos d’études, beaucoup de travail, une école de musique et de l’acharnement. J’en suis très fière. Je peux aujourd’hui chanter du bel canto, du Debussy, aussi bien que du Bach, Rossini ou Vivaldi, des cantates, des psaumes… c’est jubilatoire ! “Populaire”, je ne sais pas bien ce que cela veut dire, sans doute que les gens m’aiment bien. On me le dit souvent et ça me bouleverse à chaque fois.

Avec Mareva Galanter, Helena Noguerra et Inna Modja, vous reformez “Les Parisiennes”, un girls-band légendaire des années 60…

Le plus glorieux des girls-bands français ! “Les Parisiennes” faisaient tube sur tube et tout le monde dansait sur leur musique. La Parisienne représente toujours une figure très attractive pour le monde entier, à la fois brillante et exigeante, toujours à l’avant-garde, avec ce petit rien énigmatique et indicible qui change tout. C’est d’ailleurs pour ça que Laurent Ruquier a décidé de relancer ce groupe.

Des films d’auteur d’Eric Rohmer à “Un Indien dans la ville” en passant par la chanson… vous êtes la reine des grands écarts !

Ce qui me plaît dans cet exercice, c’est d’être toujours dans le renouveau, la création, à l’aube des choses. Je n’aime pas le confort ni le conformisme. 

Comment en êtes-vous arrivée à faire tout ça ?

Grâce à ma grand-mère. Elle a posé sur moi son regard qui me faisait croire que j’étais la huitième merveille du monde. Du coup, tout devenait possible.

Laurent Ruquier a fait de vous l’une de ses Grosses Têtes. C’est grave d’avoir la grosse tête, ou c’est un mal nécessaire ?

Les Grosses Têtes n’ont de grosse tête que le nom ! C’est l’assemblée la plus drôle et la plus iconoclaste qui soit. La jubilation de pouvoir tout dire à la radio, sans censure… un luxe !

Vous avez enflammé le Crazy Horse : qu’est-ce qui vous fait rêver chez ces filles ?

La possibilité de danser tous les jours de la vie, d’être éclairées comme des déesses, d’incarner une forme de beauté parfaite.

AMOUR

Quel âge avait le premier garçon qui vous a fait pleurer?

Il avait 10 ans. Mais en amour les femmes pleurent toujours.

Et votre premier baiser, il avait le goût de quoi ?

Le goût d’interdit.

Aimez-vous aujourd’hui différemment d’il y a vingt ans?

Non, je suis toujours la même amoureuse. D’une très grande exigence avec moi-même. Je refuse de me dire “aujourd’hui j’ai envie de traînailler, d’être archi moche”.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que si je croise mon amoureux, il verra une espèce de zombie avachi et tout mollasson.

Votre mari, Bernard-Henri Lévy vous a donc toujours vue belle et tirée à quatre épingles ?

Belle autant que possible oui, mais pas toujours tirée à quatre épingles ! On est humain tout de même… Il m’arrive, comme tout le monde, d’être malade, déprimée, d’avoir pleuré ou pas dormi quand toutes les misères du monde vous tombent dessus. Mais j’essaie toujours de me cacher, surtout ne jamais en jouer.

On vous a vue dans l’opéra de Jérôme Savary, “La Belle et la toute petite Bête”. Qui représente pour vous la plus belle des Bêtes aujourd’hui?

Cela vous semblera sans doute absurde, mais la plus belle des bêtes c’est mon mari ! Il le doit à un mélange de tact et de surpuissance. Son tact, c’est une élégance dans la vie de tous les jours. C’est irrésistible. 

Brigitte Macron a dit en parlant de son mari : “Le seul défaut d’Emmanuel, c’est d’être plus jeune que moi”, le seul défaut de votre mari à vous, c’est quoi ?

D’être trop beau.

“On est inquiète quand on aime” chantez-vous…

Oui, quand on aime on est aux aguets, en attente, sur le qui-vive, tout en fébrilité, avec la peau ultra sensible. 

Oh, vous avez déjà eu peur qu’on vous pique votre mari ?

Quand on aime on a toujours cette peur-là. Mais pas seulement à cause de sa beauté, à cause de tout. Je garde toujours en tête que quelle que soit son intensité, l’amour reste archi fragile. Il n’existe pas de recette pour l’éternité. Il faut juste essayer de rester essentielle et attirante pour l’autre. Il faut veiller à toujours susciter le désir, car le désir est partout !

Vivre avec un philosophe, cela rend-il plus philosophe ?

Non, mais cela donne accès à un Himalaya de livres. Nous en avons partout à la maison et le hasard m’en a fait découvrir certains que je n’aurais jamais lus.

Si on vous forçait à échanger BHL contre un autre homme, qui choisiriez-vous ?

Ah non, je ne l’échangerais contre personne au monde !

Dites-nous, quels sont les ingrédients d’un bon french kiss ?

Un bon french kiss, c’est un baiser très attendu, pour lequel on s’est beaucoup retenu, et qui a finalement lieu. Il ne faut surtout pas le donner trop vite, mais attendre et faire attendre. Il faut bien sûr une bonne dose de teasing. Évidemment rien n’interdit de le donner le premier soir, mais le différer le rend plus intense.

INDISCRETIONS

Pour vous, sortir sans rouge à lèvre c’est comme…

Sortir toute nue ! Je mets du rouge à lèvres partout, même au restaurant sur une lame de couteau, je me débrouille toujours pour improviser un miroir. (Elle sort son rouge, ndlr) Tenez, sur cette petite cuillère on se voit très bien !  

Avec Philippe Katerine, vous avez chanté “Glamour à mort”. Justement, quelle est la recette pour être glamour à mort ?

Être excessive et toujours à la limite du mortel.

Pour un dîner, vous choisiriez qui ?

Je ne sais pas, ce sont les dîners qui me choisissent. Je rencontre toujours des tas de gens formidables. Je suis trop souvent invitée, je refuse presque toujours. Dans l’idéal, je choisirais des écrivains, des artistes morts. Ce serait magique.

Quelle est l’insulte le plus terrible qui puisse sortir de votre bouche ?

J’en dis peu. “Espèce de crétin”… “connard” peut-être. Je m’en veux quand je le dis pour des bêtises. Une insulte c’est indélébile alors il faut faire très attention. Il ne faut pas utiliser les mots à tort et à travers, car un mot peut changer une vie, ça je le sais ! En revanche, quand les gens vous disent des choses positives et rassurantes, cela donne des ailes.

Vous que l’on trouve si parfaite, vous arrive-t-il d’avoir honte ?

Évidemment ! J’ai honte de moi, par exemple quand je prends les choses trop à cœur, que j’ai une réaction disproportionnée et à chaque fois que je vis une situation comme une tragédie.

Quelle est la tenue vestimentaire qu’on ne vous verra jamais porter?

Dans les films, on vous fait tout porter ! Mais dans la vie vous ne me verrez jamais avec une grosse doudoune de cosmonaute qui vous fait ressembler à un bonhomme Michelin. 

Quelle est la pièce de votre garde-robe à laquelle vous attachez la plus grande importance ?

Les mini-sacs. Je suis addict ! Mon mari les déteste, surtout les girly, dorés, vernis, avec des grigris ou des strass bêbêtes. Mais j’en porte quand même. Dans ces cas-là, il me regarde de travers. Je sais bien qu’il trouve ça tarte mais c’est irrépressible ! 

Que trouve-t-on dans votre sac ?

Beaucoup de choses, il est toujours plein à craquer : (elle sort les choses une à une, ndlr) du parfum, un téléphone, des lunettes, des paroles de chanson, un poudrier la Prairie que j’adore, des feutres, une fausse cigarette (électronique, ndlr) que je n’utilise plus, et mes vraies cigarettes (elle les range dans un étui doré, ndlr). J’ai commencé à fumer en classe dès l’âge de 9-10 ans, pour la provoc’ !

La provocation, vous aimez ça ?

Oui, je l’aime malgré moi. Quelque fois je provoque sans m’en rendre compte, par excentricité. Je suis quelqu’un de paradoxal, pas formatée, sans doute pas facile à cerner.

Quel est le plat qu’il ne faut absolument pas vous mettre sous le nez?

Je ne mange pas d’animaux, alors ne me mettez pas de la cervelle de singe ni de la côte de bœuf sous le nez. Je suis contre la souffrance animale, sans pour autant faire de leçon de morale à personne. Ceux qui veulent manger du sang, qu’ils le fassent ! À la maison on vit très bien sans. 

Si la petite fille que vous étiez pouvait s’adresser à la femme que vous êtes devenue, que lui dirait-elle ?

“Tu n’as pas changé d’un iota”. Je suis identique, je n’ai rien appris de fondamental ! Je me suis déjà posé la question et je sais que je suis restée exactement la même.

Quelle est la chanson sur laquelle vous pourriez danser nue ou en petite culotte dans le salon ?

Nue, je ne ferais jamais ça ! Mais je pourrais danser sur une chanson des Moody Blues comme “Nights in white satin”, qu’écoutaient mes parents.

La drogue, vous y avez déjà goûté ?

Bien sûr. La cocaïne, il m’est arrivé d’en prendre pour jouer au théâtre, mais ça ne m’a jamais plu. Je me méfie beaucoup des drogues à cause de l’addiction. On peut tomber très facilement dans l’alcool ou les pilules pour dormir. La chimie est toujours plus forte que nous.

Vous ne vous couchez jamais sans…

… Sans m’être enveloppée dans mon parfum !

D’ailleurs, combien de fois par jour vous parfumez-vous?

Cinquante fois par jour ! J’ai la joie de porter mon propre parfum, “Le secret d’Arielle”, une merveille ! (Elle sort un petit flacon de son sac, s’en asperge et me le tend, ndlr). Je vous le donne ! C’est un très grand parfum que j’ai mis dix ans à composer, avec l’aide de grands nez, à Grasse. Voilà l’une des grandes réalisations de ma vie !

Interview publiée dans Oh My Mag n°7

Arielle Dombasle et Mareva Galanter teasent le show Les Parisiennes (Pure People)

Les Parisiennes sortent dans les bacs leur album éponyme qu’elles vont défendre en spectacle dès le mois prochain. La troupe, formée par Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra, se prépare activement.

Après plusieurs semaines de teasing, Les Parisiennes ont donc sorti leur disque. Le girlsband, reformé avec de nouvelles têtes par Laurent Ruquier, avait déjà publié un premier single intitulé Ah c’qu’on est bête et elles continuent de faire découvrir l’album au grand public à moins d’un mois du lancement du spectacle.

Le 9 avril, on pouvait retrouver deux des Parisiennes, Arielle Dombasle et Mareva Galanter, en séance photo et promo au théâtre des Folies Bergère, dans le 9e arrondissement de Paris, qui accueillera le spectacle dès le 24 mai prochain ; et en tournée dans toute la France dès l’été. Les deux artistes font équipe avec Inna Modja et Helena Noguerra, et la troupe s’est retrouvée au même endroit le 26 avril afin de montrer un extrait du show sur la page Facebook du magazine ELLE. Les chanteuses ont ainsi présenté un autre extrait : Il fait trop beau pour travailler. Le spectacle est mis en scène par Stéphane Jarny.

 

J’avais une dizaine d’années quand, enfant de la télé, je voyais ces quatre jeunes femmes chanter des refrains plus joyeux les uns que les autres , dans les émissions de variétés de l’époque. Elles étaient belles, drôles, élégantes, elles dansaient, elles chantaient, bref elles étaient… Parisiennes ! Pour qui n’était pas encore ‘monté’ à Paris, elles représentaient le chic, l’humour, le succès tel qu’on pouvait l’imaginer depuis la province, et comme le dessinateur Kiraz les représentait dans le magazine Jours de France que je feuilletais quand on me traînait chez le coiffeur. Il aura fallu 45 ans pour que je concrétise ce fantasme ! Et avec quelles Parisiennes ! Arielle, Mareva, Helena et Inna, avouez que je suis chanceux“, déclare Laurent Ruquier.

Le producteur ajoute : “Elles chanteront les succès du groupe d’antan : Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur, Je te déteste ou Ce soir à Saint-Tropez, des titres composés par Claude Bolling.

Les Parisiennes : un quatuor en or (Gala)

Cinquante ans après le succès du groupe Les Parisiennes, Laurent Ruquier reforme le girls band yé-yé avec Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra.

Gala, n°1298, 28 avril.

Découvrez “Les Parisiennes” 2.0 (LCI)

VOS SORTIES – Raymonde, Anne, Hélène et Anne-Marie qui formaient le groupe “Les Parisiennes” dans les années 60, reviennent sous une nouvelle version.

Plus de 50 ans après le succès rencontré par “Les Parisiennes”, Laurent Ruquier a décidé de ressusciter le groupe avec un nouveau casting. Désormais, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra formeront la version 2018 du groupe. Elles redonnent vie aux chansons des Parisiennes dans un nouvel album qui sort ce 27 avril. Les quatre artistes, très différentes mais complémentaires, présentent un projet rétro composé de quinze reprises avec un premier titre baptisé “Ah C’Qu’On Est Bête”.

Ce vendredi 27 avril 2018, Découvrez “Les Parisiennes” 2.0, dans sa chronique “Vos sorties”, présente le jeu “L’Inconnue de la Seine” conçu par Expérience 360. Cette chronique a été diffusée dans La Matinale du 27/04/2018 présentée par Pascale de La Tour du Pin sur LCI.

L’album Les Parisiennes est déjà disponible !

Après avoir découvert leur premier single “Ah c’qu’on est bête !” Les Parisiennes, le nouveau quatuor formé par Laurent Ruquier, dévoile, aujourd’hui, son album éponyme.

Les nouvelles Parisiennes, incarnées par Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja & Helena Noguerra, interprètent les plus grands succès du groupe yé yé mythique, composés par Claude Bolling, tels que “Il fait trop beau pour travailler,” “L’argent ne fait pas le bonheur,” “Paris, je t’aime d’amour” ou encore “Un tout petit pantin” avec glamour, gaieté et légèreté.

L’album Les Parisiennes (Naïve) est désormais disponible en CD, en vinyle et en digital sur toutes les plateformes légales d’écoute et de téléchargement.

 

Originaires des États-Unis, de Tahiti, du Mali et de Belgique, les pétillantes Parisiennes incarnent pourtant l’essence même de Paris : “Paris est faite de provinciaux, d’étrangers, c’est une ville très cosmopolite” confie Helena Noguerra. Cette diversité revendiquée par le girls band est d’ailleurs ce qui captive et électrise : “La Parisienne est toujours admirée par les femmes du monde entier car elle a ce petit rien qui change tout. La Parisienne est toujours une figure, un modèle excitant !” révèle Arielle Dombasle.

Les Parisiennes seront sur la scène légendaire des Folies Bergère du 24 mai au 3 juin dans une revue-spectacle mise en scène par Stéphane Jarny avant de partir en tournée dans toute la France et en Suisse !

Informations & réservations :

DateVilleSalleRéservation

Arielle Dombasle & Inna Modja en interview dans Europe Matin

Ce matin, les Parisiennes Arielle Dombasle et Inna Modja étaient les invitées de Patrick Cohen dans Europe Matin sur Europe 1 pour la sortie de l’album des Parisiennes le vendredi 27 avril !

Une interview à retrouver en intégralité :

Les Parisiennes seront en concert aux Folies Bergère à partir du 24 mai puis en tournée dans toute la France. Retrouvez toutes les dates de concert des Parisiennes en cliquant ici.

 

Les Parisiennes en interview dans Laissez-vous tenter sur RTL

Invitées dans les studios d’RTL, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra redonnent vie au répertoire pétillant du quartet 100% féminin “Les Parisiennes”, qui a égayé le quotidien des Français dans les années 60.

Avis aux nostalgiques : les Parisiennes sont de retour ! Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Héléna Noguerra sont réunies en quatuor sur une idée de Laurent Ruquier. Les quatre femmes redonnent vie à un répertoire pétillant qui a égayé le quotidien des Français dans les années 60.

Les fringantes chanteuses reprennent quinze chansons du groupe d’origine dans un album qui sortira ce vendredi. Elles se produiront sur la scène des Folies Bergères à Paris à partir du 24 mai prochain avant de partir en tournée.

 

Ce quator féminin est symboliquement multiculturel puisque aucune d’entre elles n’est née dans la capitale. “On se sent toutes les quatre extraordinairement parisiennes car Paris nous a adoptées”, assure Arielle Dombasle, née aux États-Unis. Un avis également partagé par Héléna Noguerra, native de Belgique. “Paris est fait de provinciaux, d’étrangers, c’est une ville très cosmopolite“.

Entre 1964 et 1972, le quatuor original publie quatre albums, des 45 tours : 64 chansons en tout. Des morceaux pop qu’on croque comme des bonbons acidulés. Les musiques sont composées par le pianiste de jazz Claude Bolling, d’où la finesse des arrangements sur des mélodies d’une efficacité redoutable. Quant aux paroles signées Frank Gérald, elles sont malicieuses, mutines et frivoles. Un répertoire qui voyage jusqu’en 2018 sans perdre une once de sa fraîcheur.

Une interview à ré-écouter en intégralité :

Arielle Dombasle dans Tchi Tcha (24 avril 2018)

Invitée d’Eva Bester, Arielle Dombasle parle du film Match Point, réalisé par Woody Allen, dans la séquence du spectateur de Tchi Tcha :

Replay – Les Parisiennes dans Les Grosses Têtes (20 avril 2018)

Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra, le nouveau quatuor Les Parisiennes, formé par Laurent Ruquier, était l’invité mystère de ce 20 avril dans Les Grosses Têtes !

Les quatre Parisiennes ont interprété leur premier single “Ah c’qu’on est bête” avant d’évoquer la sortie de leur album et leur revue-spectacle aux Folies Bergère.

 

Replay – Code Promo avec Arielle Dombasle & Mareva Galanter

Aujourd’hui, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Didier Barbelivien étaient les invités de Stéphane Bern dans Code Promo. Une émission à revoir en replay ci-dessous ou en cliquant ici !

L’album des Parisiennes sort le 27 avril. Les Parisiennes seront en concert aux Folies Bergère à partir du 24 mai puis en tournée dans toute la France !

Replay – Stupéfiant ! Spéciale Dieu

Gros plan sur les artistes qui, un jour, ont interprété Dieu, sur scène, à l’écran ou dans leurs écrits, entre dévotion et blasphème. Enquête également sur des chefs-d’oeuvre en péril du patrimoine, ces églises et cathédrales qui parsèment le territoire français. Enfin, rencontre avec les Petits Chanteurs à la Croix de Bois, stars du chant choral, et avec la troupe de Jesus-Christ Superstar. Tous ont la même passion : chanter Dieu. Au cours de l’émission, Léa Salamé reçoit le réalisateur Wim Wenders et la chanteuse et comédienne Arielle Dombasle.

 

Revoir l’émission en intégralité en cliquant ici.