Découvrez Les Grosses Têtes du vendredi 1er juillet 2022 ! Laurent Ruquier vous présente le plateau du jour, depuis Carcassonne : une Grosse Tête qui fait tellement attention à sa ligne qu’elle n’empreinte même pas les chemins de ronde : Arielle Dombasle.
Une Grosse Tête dont les ancêtres devaient assurément être tous Troubadours : Liane Foly. Une Grosse Tête qui est un des rares ex-chroniqueurs d’On n’est pas couché à ne pas s’être encore présenté aux Elections Législatives : Yann Moix. Une Grosse Tête qui jardine dans la journée, mais avec qui c’est silence ça pousse le soir : Steevy Boulay.
Une Grosse Tête qui suit le régime “Comme j’aime Le Cassoulet” : Yoann Riou. Et enfin, une Grosse Tête qui, au moyen-âge, aurait eu plus de chance de finir sur le bûcher que sur un trône : Sébastien Thoen.
Deux équipes de cinq filles s’affrontent sur les questions habituelles, mais aussi au cours de jeux et happenings, en présence de quelques séducteurs : Amir, Florent Peyre, Harry Roselmack, Pablo Mira, et Patrick Bruel. La fin d’année approchant, une voyante est également présente, pour lire l’avenir des “Grosses Têtes”, et donner ses prévisions très attendues pour 2021.
Entouré d’une équipe de pensionnaires plus délurés les uns que les autres, Laurent Ruquier présente un cocktail de blagues, de jeux de mots dont il a le secret, de curieuses devinettes et de culture générale. Fous rires, délires et bonne humeur sont au programme de ce rendez-vous indétrônable du rire à la française inaugurée à la radio par Philippe Bouvard en 1977. A l’issue de cette émission placée sous le signe de la dérision, les téléspectateurs ont en outre la possibilité de gagner des voyages.
Arielle Dombasle et Albert Delpy sont à l’affiche Salauds de pauvres, un film choral sur les inégalités sociales. Les deux comédiens sont les invités de Stéphane Bern le 05 juin 2019.
Initié par Frédéric Marboeuf, Salauds de pauvres est un film à sketches ! Il a été réalisé par 12 réalisateurs et scénaristes. L’équipe de tournage réunit une cinquantaine de comédiens, 7 chefs opérateurs, 5 ingénieurs du son, 4 monteurs et presque 250 techniciens.
Au total, ce sont 12 histoires imaginées autour du fléau de la pauvreté. Au casting de ce long métrage : Arielle Dombasle, Zabou Breitman, Christophe Alévêque, Albert Delpy, François Rollin ou encore Virginie Lemoine. Salauds de pauvres sort ce mercredi au cinéma.
Miroir ou projection, Salauds de pauvres s’amuse de faits de tous les jours et ne raconte pas une histoire, mais des histoires. À travers ces histoires courtes et amères, sont dévoilées toutes les fissures du genre humain, qui, dans un mouvement de mondialisation et de néolibéralisme de plus en plus affirmé, peuvent amener l’homme ordinaire à être un monstre de lâcheté, de cruauté, d’indifférence ou d’hypocrisie. Salauds de pauvres sous un angle décalé, retranscrit la réalité de façon provocante ou non, toujours avec la même ambition : faire réagir.
Arielle Dombasle revient sur sa participation à l’émission Danse avec les Stars, évoque ses plus grands moments de télévision et présente la tournée des Parisiennes (avec Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra).
Les Parisiennes viennent de sortir un album de reprises et seront aux Folies Bergères à partir 24 mai prochain. Le groupe était l’invité de Stéphane Bern le 8 mai 2018.
Laurent Ruquier fait revivre Les Parisiennes pour un spectacle musical, mêlant chant, danse et comédie. Elles reprennent en live les succès pop et drôles du groupe culte des années 60 et 70. En partenariat avec RTL !
Entre 1964 et 1972,Les Parisiennes était un groupe de musique yéyé composé de quatre danseuses : Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer. Ses jeunes femmes chantaient alors à l’unisson, accompagnées par un orchestre.
Le groupe va égayer les Folies Bergère du 24 mai au 3 juinprochain avant d’entamer une tournée dans les plus belles salles de France. La mise-en-scène sexy et endiablée est signée Stéphane Jarny.
Ré-écoutez l’émission À la Bonne Heure, de Stéphane Bern, avec Les Parisiennes :
En cette fin d’année, Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier revisiteront l’année écoulée avec Arielle Dombasle, Michèle Bernier, Laurent Baffie, Chantal Ladesou, Philippe Manoeuvre, Jean-Marie Bigard, Caroline Diament, Bernard Mabille, Jeanfi Janssens et Florian Gazan.
Rendez-vous mardi 19 décembre à partir de 20h55 sur France 2.
50 ans après le succès du groupe “Les Parisiennes”, qui interprétait notamment “Il fait trop beau pour travailler”, un nouveau quatuor de filles s’empare de leur répertoire.
À partir de 1964, un groupe de filles cartonnait en France, elles s’appelaient Les Parisiennes et ce matin nous vous révélons qu’un nouveau quatuor va faire revivre leurs chansons. On doit l’idée à Laurent Ruquier, avec sa casquette de producteur, il a convaincu quatre chanteuses de mettre leurs voix à l’unisson : Helena Noguerra, Arielle Dombasle, Mareva Galanter et Inna Modja. “C’est un girl’s band, c’est-à-dire quatre filles dans le vent qui se mettent ensemble et qui chantent (…) Ce n’est pas les Destiny’s Child, mais c’est peut-être les Supremes”, explique Arielle Dombasle.
Ecoutez les interviews d’Arielle Dombasle, Inna Modja, Helena Noguerra et Mareva Galanter sur RTL :
Les Parisiennes viennent de terminer l’enregistrement d’un album qui paraîtra au printemps et elles se retrouveront dans un spectacle mis en scène par Stéphane Jarny, première le 24 mai au Théâtre des Folies Bergère, à Paris. Elles chanteront les succès du groupe d’antan : Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur, Je te déteste ou Ce soir à Saint-Tropez, des titres composés par Claude Bolling. C’est lui qui avait eu l’idée du groupe à l’époque et il a donné son autorisation pour cette nouvelle formation. “Je n’ai jamais chanté avec d’autres personnes comme cela, à l’unisson, il faut vraiment bien connaître les voix les unes des autres”, résume Helena Noguerra.
“Les voix ont aussi été une évidence, ça veut dire qu’elles se sont imbriquées les unes sur les autres”, poursuit Mareva Galanter. “Et d’ailleurs il y aura l’orchestre avec nous cette scène (…) On a d’ailleurs travaillé en amont ces musiques de cette époque pour les réinvestir de manière moderne”, conclut Arielle Dombasle.