Arielle Dombasle dans le 11H-13H d’Europe 1

Arielle Dombasle était l’invitée de Pierre de Vilno dans “Le 11H-13H” d’Europe 1 pour parler de son nouveau single pour les Jeux Olympiques, “Olympics” et de son nouvel album ICONICS.

Regardez l’interview ci-dessous !

Arielle Dombasle au JDD : «Je suis no limit !»

Ce 14 juillet, Arielle Dombasle chantera son hymne « Olympics » pour l’arrivée de la flamme à Paris. Elle s’est confiée au JDD sur la genèse de ce projet, mais aussi sur son rapport à la musique classique et au sport.

On lui connaissait déjà tous les rôles, liane rohmérienne capable de se lancer dans des airs baroques ou de calypso quand elle ne s’improvisait pas meneuse de revue au Crazy Horse. Au printemps, Arielle Dombasle rendait hommage à son panthéon féminin le temps d’un album rendant hommage tout autant à Marlène Dietrich qu’à Joséphine Baker ou Shirley Bassey : Iconics (Universal).

Mais, née aux États-Unis de Français l’ayant élevée au Mexique, l’éternelle petite-fille d’un fervent gaulliste ayant fédéré les Forces libres sur le sol américain ne pouvait résister à l’idée de se rapprocher du feu sacré : le 14 juillet, à 19h30, la chanteuse entonnera, entourée de danseurs et d’athlètes, son hymne intitulé Olympics lors de l’arrivée de la flamme olympique dans le cœur de Paris – à l’Hôtel de Ville.

Chorégraphiée par l’ex-danseuse du Crazy Horse, Pika Matador, la performance sera retransmise en direct sur France 2. L’avant-veille, intrigués par cette idée née sur les harmonies de la Septième de Beethoven, nous avons sollicité un rendez-vous avec la femme d’esprit plaisamment vêtue comme une créature timburtonnienne. Extraits.

Beethoven, profond et triomphant

Il y a quelques années, alors que je chantais Purcell au Grand Palais, certains membres du Comité olympique, la cellule culturelle, et Anne Hidalgo, sont venus m’écouter. L’art et le sport n’ont pas toujours fait bon ménage. Mais, dans la Septième Symphonie de Beethoven, j’entendais une musique profonde et triomphante. Après avoir réuni mes musiciens, nous en avons fait un hymne – Olympics – avec ces paroles faisant l’éloge de la Ville Lumière avec un clin d’œil lancé au chef-d’œuvre d’Hemingway, Paris est une fête : « À Paris, le jour et la nuit/Que Paris soit une fête/Avec tous les athlètes/Tour Eiffel comme un trésor/D’une pluie de médailles d’or. »

La musique classique, c’est de là que je viens, formée au Conservatoire par Rameau, Monteverdi, Gluck, Mozart, Haendel, Purcell… C’est comme ça que j’imagine une ode au monde du sport dans la passion, le dépassement de soi et la solennité. Les airs classiques, les ouvertures d’opéras, beaucoup ne les connaissent qu’au travers des films ou des publicités. Même si j’ai été popularisée par des airs rumbas, calypso, boléros ou merengue, c’est l’étude de la musique classique qui m’a construite. On est tous constitués d’un carrefour de forces et, pour reprendre la phrase du Président Mao, il faut compter sur ses propres forces.

My lady heroïne

Cet hymne est né pendant la gestation de mon album Iconics, qui rend hommage aux femmes qui m’ont formée. Ces femmes qui vous permettent de devenir ce que vous êtes. Je me suis alors penchée sur leur place dans les Jeux olympiques. Elle a été gagnée de haute lutte quand on se rappelle le mépris que leur vouait Monsieur de Coubertin. Selon le fondateur des JO modernes, elles étaient absolument interdites. À ses yeux, elles étaient susceptibles de les abîmer.

Hélène de Pourtalès (1868-1945), cette skippeuse américano-suisse médaillée d’or aux Jeux olympiques de 1900, fut la première à le contredire, même si, à part le croquet, l’équitation, le tennis et la voile, toutes les autres disciplines restaient inaccessibles aux femmes, de la natation aux anneaux. Il fallut gagner des batailles, traverser les frontières du genre. Quant à moi, je conservais le souvenir ébloui d’Esther Williams (1921-2013), cette nageuse et championne olympique, bientôt accaparée par Hollywood. Le cinéma a fait de cette plongeuse une immortelle déesse des océans.

À l’eau, Arielle !

Quand je nage, car je nage, je me sens en apesanteur, oui, j’en profite pour répéter mes textes au cinéma ou les scores de musique. Cet amour de l’eau me vient de mon père. J’ai été élevée au Mexique par un homme très exigeant. Il ne voulait pas d’une petite fille blonde qui a peur.

Depuis, d’ailleurs, je n’ai peur de rien : à l’âge de 7 ans, j’ai pu descendre des torrents ; à l’âge de 8 ans, faire du ski nautique ; à l’âge de 10 ans, faire de la plongée sous-marine. Pour aider mon corps trop léger à descendre dans les profondeurs, on me mettait une ceinture de plomb autour de la taille. C’était dans les eaux du Pacifique. Bien sûr que j’avais peur sur le moment.

Mais j’ai obéi aux désirs de mon père : il voulait une fille intrépide. Sur les tournages, j’effectue moi-même mes cascades, comme sur le dernier film du genre avec Jean-Paul Belmondo, Amazone (Philippe de Broca, 2000). Nager vous aide à respirer. Et quand je chante, c’est le Mexique qui ressurgit. Le souffle, la respiration, c’est une manière de scander les choses, de les articuler, de les timbrer. La voix est un instrument qu’il faut parfaire, domestiquer. Ça fait la respiration et le soutien. On chante avec l’âme, le cœur, mais oui, aussi avec les reins !

De l’eau dans le noir

L’après-concert, c’est un des moments les plus euphorisants de la vie. Une puissance s’est emparée de vous et vous a fait transmettre une émotion que vous gardiez en vous. Je me souviens d’un concert à l’Opéra de Lyon, où j’avais chanté La Paloma, cette « cancion » chantée par les révolutionnaires mexicains raconte l’âme errante d’un homme revenant sur les « lieux du crime », les lieux où il a été tué par son grand amour. C’est très émotif le retour de cette âme depuis le pays des morts. Quand je le chantais, je remarquais que des petites choses brillaient dans le public ; c’étaient des larmes. Ce soir-là, j’ai senti au plus près de ma peau le sens du mot communion.

Femme flamme

La flamme pour laquelle je vais chanter au cœur de Paris en ce 14 juillet a été touchée et chérie par 11 000 personnes depuis son départ de la Grèce. On le chérit, ce feu. Il arrivera à l’Hôtel de ville, où je serai entourée des athlètes et danseurs qui m’ont accompagnée lors du tournage de la vidéo d’Olympics au musée des Arts décoratifs, profitant du cadre de l’exposition « Fashion and sports », d’un podium à l’autre. Nous sommes des êtres prométhéens ; les armes, ce sont les outils qui nous donnent de l’habilité à bâtir des mondes ; le feu, c’est ce qui nous a permis d’être au sommet, en quelque sorte, de toutes les espèces.

Certes, l’homme ne court pas aussi vite qu’un puma mais, si l’on additionne toutes les disciplines auxquelles il s’affronte, cette polyvalence dont il est pourvu, il est une espèce aussi unique qu’extraordinaire. Il faut compter sur ses propres forces qui sont multiples, me dis-je alors en me rappelant cette devise d’Andy Warhol : « Just do it. » Je le crois, comme je ne crois pas aux barrières. Je suis no limit !

La Piscine de Jordan de Luxe avec Arielle Dombasle

Arielle Dombasle était l’invitée de Jordan de Luxe dans “La Piscine de Jordan de Luxe” sur C8 pour présenter son nouvel album “ICONICS” et son tout nouveau single “Olympics” !

C’est au bord de la piscine de Jordan de Luxe qu’Arielle Dombasle a évoqué la sortie de son nouvel album “ICONICS” et son nouveau single “Olympics”, ode aux Jeux Olympiques qui auront lieu cet été à Paris.

Arielle Dombasle dans “L’Heure des Pros” : Olympics

Arielle Dombasle était l’invitée de Pascal Praud dans “L’Heure des Pros” sur CNEWS pour évoquer la sortie de son nouvel album “ICONICS” et celle de son nouveau single “Olympics” qu’elle interprétera le 14 juillet à l’Hôtel de Ville de Paris pour l’arrivée de la Flamme Olympique.

Regardez l’émission en intégralité ci-dessous :

Arielle Dombasle chantera lors de l’arrivée de la flamme olympique à Paris (Le Parisien)

La chanteuse et comédienne a composé « Olympics », un hymne inspiré de la 7ème symphonie de Beethoven, pour l’arrivée de la flamme olympique dans la capitale des Jeux, le 14 juillet. Le single sera disponible le 25 juin.

« Olympics ». C’est l’hymne qu’entonnera Arielle Dombasle le 14 juillet à 19h30, en direct sur France 2, jour de la Fête nationale et de l’arrivée de la flamme olympique à Paris. La chanteuse et comédienne sera entourée d’athlètes qui se sont entraînés à la danse pour son clip et une performance inédite, chorégraphiée par Pika Matador, une ex-danseuse du Crazy Horse. « Avec le feu, on peut tout. Et c’est pour ça que cette flamme olympique est merveilleuse – le feu allume le feu ! » s’exclame l’artiste.

Son hymne est inspiré de la « Septième symphonie » de Beethoven, bien dans la veine de son dernier album sorti en mai, « Iconics », où pop et électro sont à l’honneur, grâce à des morceaux tels que « Barbiconics » et une reprise de « Fever », de Peggy Lee.

Arielle Dombasle, rencontrée en début de semaine à Paris, nous dévoile, accompagnée par le musicien et compositeur Charly Voodoo, qui sont ses icônes femmes et son amour pour le sport. Avec joie, malgré quelques inquiétudes, elle brandit son enthousiasme inébranlable.

Une ode aux femmes et à leurs exploits

« J’ai écrit cet hymne pour les femmes, et gloire aux premières athlètes féminines ! » Les Jeux olympiques refondés par Coubertin en 1894 excluaient le sexe dit faible de beaucoup d’épreuves, arguant de « la fragilité inhérente à leur condition féminine », dixit le baron. Ce temps est révolu, et c’est ce que la chanteuse et comédienne aux multiples facettes met en avant dans le clip de « Olympics », tourné au musée des Arts décoratifs de Paris (Ier). Lyrique et électro s’y mêlent, ne font plus qu’un — n’est-ce pas l’enjeu d’une compétition sportive, au-delà de la victoire, fédérer et rassembler —, et elle y déambule dans une robe signée Marie Beltrami, ou suspendue aux anneaux lumineux, symboles des Jeux, parmi des sportifs, gymnastes, escrimeurs, boxeurs…

« Pour les sportives femmes, ça n’a pas été donné de concourir à toutes les épreuves », insiste-t-elle. Les yeux qui s’illuminent, elle évoque les images impressionnantes de Nadia Comaneci, considérée comme l’une des plus grandes gymnastes au monde, médaillée d’or au Jeux de 1976 à Montréal : « Ça a ébloui le monde entier, elle était encore sous le joug du grand bloc de l’Est, c’était tout d’un coup un jaillissement de liberté. »

Son rapport au sport et au corps

La chanteuse pratique depuis toujours la natation et la danse classique : « C’est en admirant Esther Williams, nageuse athlétique, devenue grande figure dans les comédies musicales de l’âge d’or de Hollywood que j’ai découvert la natation. » Surnommée la « sirène de Hollywood », une fois happée par l’industrie, elle ne s’est plus illustrée dans les compétitions sportives.

Là-dessus, la liane, fine et vêtue de rouge, un foulard tricolore noué à son cou, constate que pour hommes et femmes, aujourd’hui encore, « il est difficile d’être en accord avec son corps. Il faut l’apprivoiser, les gens sont toujours terribles envers les individus qui ne correspondent pas aux canons de beauté à l’ordre du jour. »

Fan de breakdance et de skate

« L’exaltation du corps et le surpassement de l’âme, c’est extraordinaire ! J’ai toujours admiré les danseuses sur pointe, qui sont des athlètes à part entière — comme des phénomènes, au sommet de la grâce et de la beauté. Petite, je pleurais pour faire des pointes », raconte-t-elle. Arielle nage en toutes eaux, piscine, mer, rivière, à l’image de ses projets artistiques, tantôt comédienne, réalisatrice, meneuse de revue… elle est multiple.

Les Jeux de Paris font entrer de nouvelles disciplines dans les palmarès, comme le skateboard et le breakdance, inspirés de la culture américaine hip-hop de la rue. « Alors ça, pour rien au monde je ne raterai la breakdance et le skate, où il y aura filles et garçons ! » Durant tout l’été, Arielle Dombasle sera présente, en supportrice enthousiaste, alors que beaucoup de Français s’inquiètent du déferlement touristique, et songent à quitter la capitale.

À la lueur de la flamme, le devoir citoyen

Le climat politique actuel, avec la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, les élections législatives anticipées, tandis que de chaque bord, des coalitions se forment ? « Il faut que tout le monde aille aux urnes, commente Arielle Dombasle, il en va de la survie des libertés et des tolérances, de l’acceptation de l’autre, il en va des véritables forces démocratiques. Nous vivons dans un pays où le vote n’est pas truqué. La France est le pays des Lumières », conclut-elle.

« La dissolution de l’Assemblée sera, je l’espère, pour un monde meilleur », ajoute-t-elle, faisant référence à la majorité relative de l’actuel gouvernement, et aux nombreux blocages et articles 49.3 dégainés, sans s’étendre plus.

Le documentaire de la discorde

En novembre 2023, Netflix diffuse le documentaire « Scandale chez la femme la plus riche du monde » qui revient sur les abus de faiblesse et autres intrigues autour de Liliane Bettencourt et son entourage. Arielle Dombasle y apparaît. L’artiste confie aujourd’hui ne pas pouvoir communiquer sur cette affaire, à la suite d’une plainte qu’elle a déposée contre la production. Mais son sentiment de trahison, quant à l’utilisation de ses témoignages dans ce programme, utilisés contre son gré souligne-t-elle, reste palpable.

Un espoir, un seul pour ces Jeux olympiques de Paris 2024 ?

« Nous sommes dans une période d’énorme perturbation mondiale, une époque très tendue, très anxiogène. J’espère justement que ces Jeux olympiques, cet affrontement de tous les pays, sur une base de la simple humanité sportive, vont arranger les choses. »

Arielle Dombasle souhaite, comme écrit dans son hymne, que Paris soit une fête, que pleuvent les médailles d’or : « Un hymne à la joie, l’esprit de la fête, du dépassement de soi, c’est à l’ordre du jour ! » Un petit pas de côté vis-à-vis de Beethoven, mais un vœu limpide et galvanisant.

Arielle Dombasle : “J’ai retrouvé un cosmos musical” (Technikart)

Irrésistible comme toujours dans son nouvel EP “ICONICS”, la Marlene Dietrich du 8ème arrondissement Arielle Dombasle nous a confié ses secrets de jeunesse éternelle (les noix de cajou et l’amour). Interview barbiconic.

Une interview à retrouver dans le nouveau numéro de Technikart, actuellement en kiosque.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Arielle Dombasle, l’hymne aux femmes libres (Paris Match)

De Joséphine Baker à Shirley Bassey, son nouvel album ICONICS revisite les standards des icônes d’hier. Un hommage dont elle nous livre les secrets, avec une profonde légèreté.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Le 10H-Midi : sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (Sud Radio)

Pour la sortie de son nouvel album ICONICS, Arielle Dombasle était l’invitée de Valérie Expert et Gilles Ganzmann dans “Le 10H-Midi” sur Sud Radio.

Une émission à retrouver en intégralité ci-dessous :

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Arielle Dombasle présente ICONICS dans C à Vous

Hier soir, Arielle Dombasle était l’invitée d’Anne-Élisabeth Lemoine dans “C à Vous” pour la sortie de son nouvel album “ICONICS” !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Le monde d’Élodie : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France Info)

Arielle Dombasle était l’invitée d’Elodie Suigo sur France Info pour la sortie de son nouvel album ICONICS.

Arielle Dombasle est une artiste à part, atypique. C’est par le biais des films d’Éric Rohmer, des séries télévisées comme Miami Vice ou encore des films devenus culte Un Indien dans la ville (1994), Astérix et Obélix contre César (1999) que le public l’a découvert. Et puis la musique est entrée dans sa carrière avec en premier lieu l’album Liberta en 2000. Aujourd’hui, elle sort un nouvel opus Iconics en forme d’hommage à des personnalités des figures féminines emblématiques telles que Judy Garland, Marlène Dietrich, Shirley Bassey ou encore Joséphine Baker.

franceinfo : Iconics ce sont huit titres à la fois sensuels, féminins, doux, déterminés. Un peu comme vous.

Arielle Dombasle : J’espère que mon album me ressemble. C’est en effet un hommage au féminin, à ces figures qui m’ont éblouie. C’est un peu une éthique de l’admiration. Quand j’étais enfant, j’ai aimé immensément ma poupée Barbie. Après, j’ai souffert qu’on me réduise à la poupée Barbie. Mais après tout, dans cet album, je lui rends hommage parce que c’était une poupée très futuriste, très d’avant-garde et la première poupée féministe parce que ça donnait envie aux petites filles d’être toute sorte de choses. On achetait la poupée Barbie avocate, maîtresse de maison, patineuse, astronaute, médecin et on se disait : “Voilà ce qui m’attend dans le futur” et on choisissait de jouer avec quelque chose qui déjà vous exaltait.

Que représente cet album pour vous ?

Un hommage aux femmes qui auraient pu être des mères, en tout cas qui, moi, m’ont élevée. Et j’aime reprendre, par exemple, Diamonds Are Forever de Shirley Bassey, cette femme qui a incarné par exemple les nouvelles figures féminines de James Bond, qui sont des femmes fortes, qui sont des femmes espionnes, des combattantes.

Au départ, il y a effectivement la danse. C’est l’un des points d’ancrage qui va vous mener à la scène, au théâtre, à l’expression scénique. Vous avez un côté indomptable. Votre grand-père était consul de France à Calcutta. Ensuite, il a été l’un des premiers à rejoindre le général de Gaulle quand il était en exil à Londres. Il a créé la France Libre. Avez-vous gardé cela de lui ?

J’ai été un peu intimidée par le milieu dans lequel je suis née, parce que c’étaient les ambassades, que des gens très brillants, que des gens remarquables. Et on appelait mon grand-père, Son Excellence. C’était en effet quelqu’un de remarquable qui a sauvé un nombre considérable de gens pendant la guerre, qui a reçu tous les artistes exilés en Amérique et qui a donc été un héros. Et sa femme Man’ha Garreau-Dombasle, est la personne qui a le plus compté dans mon existence. Une femme de lettres et femme, avec ce magnétisme qui faisait qu’elle était entourée d’artistes.

À quoi rêviez-vous enfant ?

J’ai commencé par être un bébé, et puis tout de suite, j’ai dansé, j’ai chanté. Je savais enfant. J’ai toujours imaginé que je serais sur scène et sous les projecteurs. J’ai été choisie par Éric Rohmer pour Perceval le Gallois. J’ai commencé comme ça, avec les airs médiévaux.

Parlons de ces femmes que vous reprenez. Elles ont fait partie de l’émancipation des femmes qui ont parfois mis leur vie en danger. Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait d’être une femme ?

Ce qui me plaît, c’est qu’elles ont déjà une position un peu plus enviable que pendant 21 siècles de domination masculine. Être une femme au XXIᵉ siècle, c’est une bonne chose. On est encore loin de vivre sur un plan d’égalités. Mais il y a beaucoup de plans sur lesquels, heureusement, nos mères et nos grands-mères ont obtenu beaucoup de choses, et notamment Simone de Beauvoir.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

C8 Le JT: sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle

Arielle Dombasle était l’invitée de William Leymergie dans “Le JT” diffusé sur C8, pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

ICI 19/20 Paris Ile-de-France : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France 3)

Arielle Dombasle est l’invitée de Jean-Noël Mirande dans ICI 19/20, diffusé sur France 3 Île-de-France, pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Arielle Dombasle dans “Quelle Epoque !” pour la sortie de l’album ICONICS

Arielle Dombasle était l’invitée de Léa Salamé dans “Quelle Epoque !” pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

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Culture Médias: Sortie du nouvel album ICONICS (Europe 1)

Aujourd’hui, à l’occasion de la sortie de son nouvel album, ICONICS, Thomas Isle recevait Arielle Dombasle dans “Culture Médias” sur Europe 1.

Une émission à retrouver en intégralité ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, actuellement disponible !

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle est désormais disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement !

ICONICS, c’est-à-dire des icônes musicales, des stars, des divas… des figures féminines, mi-femmes, mi-légendes, qui ont peuplé mon imaginaire depuis l’enfance.

Elles furent mes premiers modèles, au carrefour de la voix et du style. Elles m’ont accompagnées depuis l’enfance aux quatre coins du monde. Éternelles inspiratrices.

J’ai voulu restituer ces figures dans les morceaux qui, à mes yeux, sont les plus emblématiques des années 50, 60, cet âge d’or d’une époque où le Paradis ne pouvait s’imaginer que flirtant avec les studios de cinéma… au carrefour de la voix, de la légende, du style… américaines, françaises… Barbie, Bardot, Beauvoir.

Arielle Dombasle

Au-delà des vies rêvées, de la multitude des figures empruntées au long d’une carrière qui ne semble guidée que par le désir et par la joie (de n’en faire qu’à sa tête ?), Arielle Dombasle est toujours revenue à celle qui fut sa première inspiration. Parmi les muses qui peuplèrent son imaginaire d’enfant, une seule fut toute à la fois son amie, sa confidente et sa complice. Il s’agit d’une poupée à nulle autre pareille, l’une de ces fées de plastique qui ravissent le cœur des petites filles : Barbie la bien nommée. « C’est la plus féminine et la plus féministe. » déclare Arielle Dombasle toujours émerveillée « elle fut la pionnière dans tous les métiers du monde : infirmière, conductrice de poids lourds, avocate, médecin, top model, business woman, danseuse étoile, femme au foyer et même astronaute avant les premières femmes dans l’espace. »

Quelques décennies après leur première rencontre, Arielle a remplacé Barbie : l’artiste est en effet devenue sa propre créature. Une poupée de chair et de sang qui chante, qui danse et qui réfléchit. Une poupée qui a construit une maison à sa démesure : celle d’une chanteuse qui s’est donnée tous les droits, celle d’une actrice qui a décidé, à l’instar de son modèle, d’endosser tous les rôles.

Marlène Dietrich, Shirley Bassey, Judy Garland, Joséphine Baker… chacune de ces icônes sidérales a été visitée en sa demeure : le ciel étoilé. Arielle s’attaque à leurs standards (Boys in the Backroom, Diamonds are Forever, Somewhere Over the Rainbow, J’ai deux amours…) avec une candeur et une effronterie qui ravit.

Clovis Goux

Ecoutez l’album ICONICS sur Spotify, Deezer, Apple Music et YouTube Music !

Regardez aussi le clip du single “Diamonds are Forever” :

Les Enfants de la Télé : Iconics

Pour la sortie de son nouvel album “Iconics”, Arielle Dombasle était l’invitée de Laurence Boccolini dans “Les Enfants de la Télé”.

Retour sur les moments cultes des invités Arielle Dombasle, Tanguy Pastureau, Jérôme Anthony, Henri Sagnier, Éric Antoine et Agathe Lecaron, moments télévisuels d’anthologie.

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, sortie le 24 mai 2024.

Découvrez “Diamonds are forever”, le nouvel extrait de l’album ICONICS, déjà disponible.

Télématin: Répétitions chez Madame Arthur pour ICONICS

A l’occasion de la sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle le 24 mai prochain, Télématin s’est entretenu avec Arielle Dombasle qui répétait son album ICONICS sur la scène de Madame Arthur.

Un reportage à retrouver en intégralité ci-dessous :

Sortie du clip et du single “Diamonds are Forever” !

Après “Boys in the Backroom”, Arielle Dombasle sort “Diamonds are Forever”, le nouvel extrait de son album “Iconics” qui sortira le 24 mai 2024.

ICONICS, c’est-à-dire des icônes musicales, des stars, des divas… des figures féminines, mi-femmes, mi-légendes, qui ont peuplé mon imaginaire depuis l’enfance.
Elles furent mes premiers modèles, au carrefour de la voix et du style. Elles m’ont accompagnées depuis l’enfance aux quatre coins du monde. Éternelles inspiratrices.

Arielle Dombasle

Shirley Bassey… Voix puissante et iconique, elle incarne le style du premier James Bond que j’ai vu. J’avais douze ans.
Tout d’un coup, à Mexico, dans un cinéma en amphithéâtre, éclata cette voix…
Sensuelle, conquérante, aux accents fantastiques…
Diamonds are forever…

“Diamonds are Forever”, actuellement disponible sur SpotifyDeezerApple MusicYouTube et toutes les plateformes d’écoute.

Extrait de l’album “Iconics”, sortie le 24 mai 2024.

Sortie de “Boys in the Backroom”, le nouveau single d’Arielle Dombasle !

Arielle Dombasle dévoile le titre “Boys in the Backroom”, extrait de son nouvel EP “Iconics” qui sortira le 24 mai 2024.

ICONICS, c’est-à-dire des icônes musicales, des stars, des divas… des figures féminines, mi-femmes, mi-légendes, qui ont peuplé mon imaginaire depuis l’enfance.
Elles furent mes premiers modèles, au carrefour de la voix et du style. Elles m’ont accompagnées depuis l’enfance aux quatre coins du monde. Éternelles inspiratrices.

Arielle Dombasle

« Son nom commence comme une caresse et finit comme un coup de cravache ! » disait Jean Cocteau de Marlene Dietrich.

Les mains victorieusement posées sur les hanches, elle symbolisera la prise de guerre en quelque sorte, l’actrice allemande passée à Hollywood et devenue l’incarnation de la liberté.

Elle, la lumière venue du Nord, la déesse à la voix lascive et grave, aux jambes parfaites, elle incarnera d’inoubliables figures : l’Ange bleu, l’Impératrice rouge, Shangaï Express, etc., une manière de célébrer le Cabaret… Féministe avant l’heure… Mystère et légende…

“Boys in the Backroom” est le premier single du nouvel EP d’Arielle Dombasle, “Iconics” qui sortira le 24 mai 2024.

“Boys in the Backroom”, actuellement disponible sur Spotify, Deezer, Apple Music, YouTube Music et toutes les plateformes d’écoute.

Et Dieu créa Barbie (France 5)

Ce soir, à 21 heures sur France 5, découvrez le documentaire “Et Dieu créa Barbie” avec un témoignage exceptionnel d’Arielle Dombasle !

Bien plus qu’un simple jouet, Barbie est un personnage emblématique de notre culture, ses mensurations improbables en ont fait un succès planétaire, mais elles ont aussi provoqué de multiples polémiques : les féministes ont attaqué son image stéréotypée de la femme, les parents l’accusent de dévoyer leurs enfants. A travers les témoignages de personnalités-Nicky Doll, Zahia, Lio, Frédérique Bel, Olivier Rousteing, Arielle Dombasle-, retour sur l’histoire du jouet le plus célèbre au monde et sur son impact sur la société. Comment le fabricant a-t-il pioché dans la culture populaire pour façonner un mythe ? Et comment, échappant de la main de son créateur, Barbie est-elle devenue une icône pop autonome ? Plus de soixante ans après sa naissance, Barbie reste une figure dans l’air du temps.

Un documentaire à regarder en VOD sur la plateforme en ligne France TV.

Arielle Dombasle dans La Dalle (Melty)

De ses débuts de danseuse à Mexico à son nouveau single “Barbiconic”, Arielle Dombasle nous retrace son parcours dans La Dalle.

Arielle Dombasle retrace les grands moments de sa carrière dans “La Dalle” pour Melty.

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle en cliquant ici !

Interview “Like it like that” d’Arielle Dombasle (Melty)

Son réseau social préféré ? Son temps d’écran ? Sa vidéo préférée ? Arielle Dombasle nous dit tout ce qu’il se passe dans son phone dans Like It Like That.

Regardez la vidéo de l’interview “Like it like that” d’Arielle Dombasle pour Melty !

Retrouvez Arielle Dombasle sur les réseaux sociaux :*

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle en cliquant ici !

Interview Deep avec Arielle Dombasle (Le Bonbon)

Le Bonbon a posé a posé les questions existentielles que tu te poses à 3 heures du matin à Arielle Dombasle.

L’interprète du titre “Barbiconic” a répondu aux questions existentielles du Bonbon.

L’interview “Deep” d’Arielle Dombasle est à retrouver ci-dessous :

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau clip d’Arielle Dombasle réalisé par Nicolas Pradeau :

Retrouvailles avec Arielle Dombasle (La Parisienne Life)

Retrouvailles avec Arielle Dombasle au Club Marigny à l’occasion de la parution de “Barbiconic” !

Pouvez-vous expliciter le terme Iconics qui donne son nom à votre prochain album attendu pour cet automne ?

Ce sont des figures qui ont traversé le temps et l’espace. En général, le mot iconique était réservé au domaine du religieux. Pour les orthodoxes, les premières icônes étaient des représentations de vierges. Cela renvoie un peu à l’idée de vénérer une image et que derrière celle-ci, il y a une entité. J’ai choisi de baptiser cet album ainsi car toutes les figures féminines que j’ai reprises sont des femmes légendaires qui figurent dans mon petit bréviaire personnel d’icônes.

Comment s’est fait le choix des reprises qui composent ce disque ?

Nous avons commencé par un choix très large de chaque icône abordée. Pour Marlene Dietrich qui a chanté jusqu’à l’âge de 75 ans ; qui a chanté beaucoup d’artistes ; le panorama était si large qu’il a fallu le réduire petit à petit. Nous avons commencé à travailler plusieurs morceaux ; et cela a été le cas pour toutes ; afin d’arriver à la quintessence de là où l’image, le style et la musique étaient, à nos yeux, au sommet. Nous avons choisi de manière très subjective « Lili Marleen » car une image s’est cristallisée mondialement autour de cette chanson qui était incontournable, nous en avons également retenu deux autres morceaux moins convenus que j’adore. « Boys In The Backroom », où l’on retrouve toute l’ambiguïté de Marlene avec les backrooms et avec elle-même avant les théories du gender car elle a été elle-même la première actrice a porté des smokings et a s’habiller en homme pour jouer sur l’ambiguïté homme-femme très tôt dans les années 30 ; c’est une pionnière et c’est une icône pour cela ! Il y a également « I’m Just A Gigolo », j’aime beaucoup son interprétation. Pour Marilyn Monroe qui est la petite ou grande sœur de toutes les actrices, qui a énormément chanté aussi et dont cela va être du reste le 60ème anniversaire de la mort le 04 août, cela a été difficile de choisir. Marilyn Monroe est une figure tellement à part, tellement touchante et tellement parfaite ; tout comme Brigitte BardotMarilyn Monroe a généré tout un style qui a inspiré des milliers de femmes. Elle était la seule à avoir ce style, cette voix avec cet incroyable vibrato ; c’est difficile de faire du Marilyn. Sur l’album, nous avons pris deux de ses standards qui sont adorés du monde entier « I Wanna Be Loved By You » et « Diamond’s Are A Girl’s Best Friend ». Pour Peggy Lee, nous nous sommes intéressés à « Fever » qui a été sa grande aventure ; on disait de cette artiste qu’elle était la Sinatra au féminin. Peggy Lee a fait aussi un peu de cinéma. Toutes les figures présentes sur « Iconics » sont au croisement de la musique et du cinéma. Ces artistes ont été très gâtées car elles ont connu les golden years Américaines ; l’apogée des plus grandes comédies musicales. Aujourd’hui, il n’y a plus au cinéma ce style Stanley Donen, Liza Minelli… Oui, il y a eu « La la Land »…

Comment est né le titre original « Barbiconic » ?

L’album a été fait par Baptiste Homo et Clément Agapitos qui forment le duo OMOH, le process a été long car nous avons voulu faire un revival qui restitue un son, une saveur et une vérité de l’époque tout en revisitant ces morceaux de manière Electro avec des synthés et des guitares électriques. Au-delà de ces reprises, Charly Voodoo ; m’a proposé cette idée de titre original dédié à Barbie qu’il a écrit et composé.

Vous souvenez-vous de votre première poupée Barbie ?

Evidemment ! Je devais avoir quatre ou cinq ans, je me souviens que l’on m’avait offert une poupée Barbie avec un petit maillot rayé noir et blanc, elle avait des cheveux longs que j’ai immédiatement coiffés. J’ai instantanément été emportée par le charme de cette poupée qui n’était pas l’un de ces gros poupons qui pleure ou une grande poupée figée. C’était une vraie petite égérie futuriste qui faisait tous les métiers. J’ai adoré les panoplies de Barbie avec lesquelles elle pouvait devenir infirmière, pilote d’avion, hôtesse de l’air…J’étais si heureuse d’avoir les nouveaux habits de Barbie, ses petits souliers et tous ses accessoires. J’adorais ma poupée Barbie !

Selon vous, qu’est-ce qui rend Barbie aussi iconique ?

Grâce à Barbie, les petites filles peuvent se projeter quand elles seront jeunes femmes. Cette poupée  a des proportions adorables ; et au-delà de cela, elle est sport, Rock, Pop, elle suit les tendances, elle les devance, elle est visionnaire. C’est la seule poupée qui est comme cela. Par ailleurs, elle a été habillée par tous les plus grands couturiers du monde.

Pouvez-vous nous parler plus en détail de la mise en images de « Barbiconic » ?

Le clip de « Barbiconic » a été réalisé par le talentueux et ravissant Nicolas Pradeau qui a 20 ans. Nicolas qui a reçu le Prix Nikon a imaginé ce clip pour moi ; il a beaucoup travaillé pour me mettre en miniature dans la maison de Barbie. Tous les petits objets très Pop ; très Warholiens ; que l’on retrouve dans cette vidéo ont été imaginés par Yaz Bukey qui est une merveilleuse artiste ; c’est une styliste géniale très pointue.

Sous quelle « forme » aimeriez-vous être immortalisée en poupée ?

Eh bien… Je crois en poupée princesse conte de fée avec une longue robe, une petite couronne et même une baguette magique ; Barbie peut tout faire !

Pensez-vous que Barbie joue encore à l’heure actuelle un rôle important dans le développement des petites filles ?

Oui, tout à fait car Barbie continue d’être la poupée sur laquelle on peut se projeter ; on peut l’habiller comme on veut même si parfois, les parents ne vous laissent pas faire bien qu’ils soient plus libéraux de nos jours. Maintenant, les petites filles peuvent sortir endiamantées et en tutu dans la rue. Elles portent des tas de choses qui scintillent notamment sur les chaussures et elles osent le pink presque bubble-gum de Barbie alors qu’il y a quelques années, c’était vu comme quelque chose d’un peu too much.

« Iconics » va-t-il être un opus essentiellement dansant comme pourrait le laisser entendre les deux premiers extraits ?

Non car sur cet album, il va y avoir des chansons plus langoureuses et dreamy à l’image notamment de « Somewhere Over The Rainbow » de Judy Garland qui est pour moi une étoile particulièrement brillante dans le firmament.

Vous reprenez « J’Ai Deux Amours » de Joséphine Baker, quels seraient les deux vôtres ?

C’est facile, mes deux amours seraient Paris et Zihuatanejo qui est un petit village de pêcheurs sur le Pacifique au Mexique.

Allez-vous présenter en live plus de titres iconiques qu’il n’y en a sur cet album à paraître ?

Sur scène, je vais interpréter les chansons de cet album mais aussi un peu un « best of » de mes précédents albums que le public me demande toujours. Comme nous avons dû réduire le choix des titres que nous avons travaillés pour « Iconics » à douze, je pourrais peut-être en chanter beaucoup plus…

Ce qui n’apparaît pas sur cet album pourrait-il donner lieu à un « Iconics Volume 2 » ?

Maybe, it’s a good idea ! Vous nous la donnez !

Quels sont vos prochains projets ?

Nous hésitons sur le choix du troisième single de ce nouvel album mais nous avons déjà mis en images deux morceaux iconiques ! Un showcase et quelques concerts devraient avoir lieu à L’Alcazar à l’automne au moment de la parution d’« Iconics ».

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle !

Cet été, Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic”, le deuxième single extrait de son nouvel album Iconics (sortie cet automne).

Dans un clip pop, fun et coloré signé Nicolas Pradeau, Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic” le deuxième titre extrait de son nouvel album Iconics. Écrite et composée par Charly Voodoo, “Barbiconic” met à l’honneur une des icônes qui ont jalonées la vie et la carrière d’Arielle Dombasle.

Barbiconic est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui chante, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Iconics avance comme un album de reprises où Arielle incarne, en revêtant leurs habits légendaires, les grandes divas de l’histoire du music-hall : Marlène Dietrich, Peggy Lee, Marilyn Monroe, Joséphine Baker, Judy Garland, Shirley Bassey, Grace Jones, Natalie Wood. Chacune de ces icîones sidérales a été visitée en sa demeure : le ciel étoilé. Arielle s’attaque à leurs standards avec une candeur et une effronterie qui ravient.

Les artistes Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout signent une fois de plus la pochette du single “Barbiconic”.

Ecoutez le signle “Barbiconic” sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement :

Arielle Dombasle présente “Barbiconic” dans Télématin

Ce matin, Arielle Dombasle était l’invitée de Julia Vignali et Thomas Sotto dans Télématin pour annoncer la sortie de son nouveau single “Barbiconic” qui sortira demain, le 6 juillet 2022.

“Barbiconic” est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Dans ce nouvel extrait de l’album Iconics (qui sortira cet automne), Arielle Dombasle a confié la réalisation du clip du titre écrit et composé par Charly Voodoo à Nicolas Pradeau (Grand Prix du Jury au Nikon Film Festival).

Avec “Barbiconic”, Barbie rejoint les icônes si chères à Arielle Dombasle qui s’amuse de ce à quoi elle a été comparée depuis la réalisation de son long métrage Les Pyramides Bleues.

Regardez l’interview d’Arielle Dombasle dans Télématin sur France 2 :

“Barbiconic”, sortie le mercredi 6 juillet 2022.

Iconics, sortie à l’automne 2022.

Un album réalisé par OMOH. Une pochette signée Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout.

Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic” Chez Jordan (Télé Loisirs)

Arielle Dombasle est de retour avec un nouveau single, “Barbiconic” et dévoile les coulisses du tournage du clip en exclusivité pour Télé-Loisirs et Jordan De Luxe !

Particulièrement présente à la télévision comme à la radio, notamment après avoir intégré Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle fait partie de celles qui ont une multiple casquette. Car la comédienne est aussi chanteuse, et sort régulièrement de nouveaux titres. Le dernier en date est “Barbiconic”, où elle se grime en Barbie jouant à la poupée iconique de Mattel. Le clip, qu’il est possible de visionner dans Chez Jordan, l’émission de Jordan De Luxe, est haut en couleur et particulièrement marquant d’un point de vue visuel. La sortie de ce nouveau single est prévue pour le 6 juillet prochain sur les plateformes de streaming.

Regardez l’interview d’Arielle Dombasle en intégralité ci-dessous :

Un clip très coloré pour un titre inédit

De cette ode au féminisme et à la féminité, Arielle Dombasle en garde un très bon souvenir : “C’est compliqué [à tourner] parce qu’il y a un stylisme (…) il fallait que ça soit harmonieux avec la musique et que ce soit une iconographie très pensée.” La compagne de Bernard-Henry Levy s’est attachée les services du réalisateur Nicolas Pradeau, qui a signé le clip de Louis Chedid pour sa reprise “Ainsi soit-il” : “Il est couvert de prix, il est très beau, qui a 22 ans et qui est tellement talentueux. Ça l’a beaucoup inspiré et c’est lui qui a fait tous ces trucages pour me rendre toute petite pour rentrer dans la maison de Barbie.” Barbiconic est un single inédit au sein de son album de reprises dont elle a déjà dévoilé le single “Fever”.

La pochette de l’album Iconics, dont est extrait le single “Barbiconic” est signée des artistes Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout.

Barbie l’a beaucoup inspirée

Dans cet album de reprises, elle a souhaité rendre hommage aux femmes qui l’ont inspirée. C’est de cette idée qu’est donc né Barbiconic : “Dans ces femmes qui m’ont beaucoup inspirée, il y a Barbie.” Arielle Dombasle révèle que cette poupée, elle l’aimait étant petite, mais elle n’appréciait pas qu’on lui rappelle constamment qu’elle lui ressemblait. Une remarque qui l’a suivi toute sa vie, notamment lorsqu’elle fut metteuse en scène sur le film Les Pyramides Bleues : “Quand le film est sorti, Le Nouvel Observateur a titré ‘La poupée Barbie fait son cinéma’. J’en ai été mortifiée.” Aujourd’hui, la comédienne et chanteuse est prête à prendre “sa revanche.

Sortie du single et du clip de “Barbiconic” le 6 juillet 2022 !

“Fever”, le nouveau single d’Arielle Dombasle !

Arielle Dombasle annonce la sortie de son nouvel album Iconics avec le premier single dont il est extrait : “Fever” !

Hommage à Peggy Lee

On disait d’elle “la Sinatra féminine”… Une star blonde au swing incomparable… Inspiratrice de plusieurs générations de musiciens… De Bette Midler à Madonna, en passant par Tony Bennett ou Paul McCartney…

Arielle Dombasle.

“Fever” est le premier single extrait d’Iconics, le nouvel album d’Arielle Dombasle (sortie à l’automne 2022).

Dans un clip réalisé par Ali Mahdavi, Arielle Dombasle fait indéniablement monter la fièvre… avec douceur et sensualité.