Arielle Dombasle invitée de Anne Roumanoff dans Ça fait du bien sur Europe 1

Arielle Dombasle fait partie du groupe reformé par Laurent Ruquier, Les Parisiennes. L’occasion pour elle d’évoquer, au micro d’Anne Roumanoff sur Europe 1 “l’esprit de Paris, cette chose qui est unique et que le monde nous envie”.

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Les Parisiennes sont de retour et “ce sont des beautés”. Arielle Dombasle, invitée d’Anne Roumanoff sur Europe 1 jeudi, a évoqué le quatuor féminin qu’elle forme avec Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter. Convaincues par Laurent Ruquier de reformer le groupe yé-yé des années 60, elles reprennent ensemble les chansons composées par Claude Bolling pour Les Parisiennes de l’époque, parmi lesquelles Il fait trop beau pour travailler, L’argent ne fait pas le bonheur ou encore Je te déteste.

Un “girls band” qui illustre “l’esprit de Paris”. Dans ce “girls band” reformé, ce qui ressort, c’est la mixité. Inna Modja est née au Mali, Helena Noguerra en Belgique, Mareva Galanter à Tahiti et Arielle Dombasle aux États-Unis. D’après cette dernière, cela illustre parfaitement “l’esprit de Paris”, “cette chose qui est unique et que le monde entier nous envie”. “Ce qui est merveilleux avec Paris, les Parisiennes, la France, c’est que c’est un pays de mixité”, souligne Arielle Dombasle. “Paris, c’est finalement un carrefour de science, d’art et on peut venir d’ailleurs et devenir parfaitement parisienne.”


Ben H : “Arielle Dombasle, vous êtes le rêve absolu de nombreux hommes”
 

“Il fallait comprendre le style de Bolling”. Après une tournée dans toute la France, les quatre Parisiennes seront sur la scène de l’Olympia les 18 et 19 décembre prochains. “On se met au service des ces Parisiennes, de ce merveilleux Claude Bolling, de ce rythme yé-yé. (…) Il fallait comprendre le style de Bolling, que tout le monde connaît, sans jamais toujours l’identifier”, explique Arielle Dombasle. Et comme l’expliquait Mareva Galanter, déjà sur Europe 1, au début du mois, le résultat est probant : “C’est un très beau spectacle avec une belle mise en scène.”

Les Parisiennes reviennent dans un show virevoltant et élégant aux Folies Bergère (RTL)

Le quatuor féminin composé d’Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra a donné sa première représentation jeudi 24 mai dans la célèbre salle parisienne.

Voilà une idée de sortie pour les nostalgiques des années 60. Après avoir sorti leur album, Les Parisiennes viennent de débuter leur spectacle. Elles ont pris leurs quartiers aux Folies Bergère à Paris jusqu’au 3 juin, avant de partir en tournée cet automne.

Ces fameuses Parisiennes apparaissent en contre-jour, chacune debout devant un spot, vêtues d’imperméables très courts. Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra tombent la veste. Leurs robes en strass bleu et blanc scintillent jusqu’aux balcons. Pour les accompagner, quatre musiciens jouent en live et quatre danseurs les entourent. Les chanteuses saluent la foule et glissent quelques anecdotes sur Claude Bolling, le créateur du groupe en 1964 avant d’enchaîner la suite de leur show musical.

Grâce à leur petit micro casque invisible, les Parisiennes virevoltent pendant près d’1h30. Elles dansent en prison, dans une décapotable, avec des paniers à salade, ou dans leurs dressings. Chorégraphié et millimétré par Stéphane Jarny, le spectacle ressemble plus à une revue qu’un simple concert. Un show sans temps mort au rythme effréné où le quatuor ressuscite avec élégance le répertoire de leurs aînées.

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Un soir à Paris : Les Parisiennes aux Folies Bergère (France 3)

Un petit air “vintage”, atmosphère et tubes du yéyé familial et soft, pour le nouveau spectacle des Folies Bergère, Les Parisiennes, un groupe français féminin emblématique des années De Gaulle.

Mareva Galanter, Inna Modja, Helena Noguerra et Arielle Dombasle sont les nouvelles Parisiennes des Folies Bergère, un clin d’œil au groupe culte des années 1960.

À l’époque, Claude Bolling, un grand nom du jazz, voit émerger un nouveau courant musical appelé le Yéyé. Il imagine alors un groupe vocal constitué de quatre femmes, Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer. Elles chantent à l’unisson, accompagnées par un orchestre.

Leur première chanson, en 1964 « Il fait trop beau pour travailler » est très vite un tube. Viendront ensuite d’autres succès comme «L’argent ne fait pas le bonheur » ou encore « Il va falloir se mettre au régime ». 

 

Avec une mise en scène très colorée confiée à Stéphane Jarny et un orchestre live qui rappelle l’univers des concerts swing des années 1960, le spectacle reprend le répertoire des Parisiennes et leur esprit. Une époque chère à l’animateur producteur Laurent Ruquier qui est à l’origine du projet. Enfant, il fut bercé par les chansons de ce « girls’ band » d’antan, qu’il ressuscite aujourd’hui. 

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Les Parisiennes en interview dans Laissez-vous tenter sur RTL

Invitées dans les studios d’RTL, Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra redonnent vie au répertoire pétillant du quartet 100% féminin “Les Parisiennes”, qui a égayé le quotidien des Français dans les années 60.

Avis aux nostalgiques : les Parisiennes sont de retour ! Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Héléna Noguerra sont réunies en quatuor sur une idée de Laurent Ruquier. Les quatre femmes redonnent vie à un répertoire pétillant qui a égayé le quotidien des Français dans les années 60.

Les fringantes chanteuses reprennent quinze chansons du groupe d’origine dans un album qui sortira ce vendredi. Elles se produiront sur la scène des Folies Bergères à Paris à partir du 24 mai prochain avant de partir en tournée.

 

Ce quator féminin est symboliquement multiculturel puisque aucune d’entre elles n’est née dans la capitale. “On se sent toutes les quatre extraordinairement parisiennes car Paris nous a adoptées”, assure Arielle Dombasle, née aux États-Unis. Un avis également partagé par Héléna Noguerra, native de Belgique. “Paris est fait de provinciaux, d’étrangers, c’est une ville très cosmopolite“.

Entre 1964 et 1972, le quatuor original publie quatre albums, des 45 tours : 64 chansons en tout. Des morceaux pop qu’on croque comme des bonbons acidulés. Les musiques sont composées par le pianiste de jazz Claude Bolling, d’où la finesse des arrangements sur des mélodies d’une efficacité redoutable. Quant aux paroles signées Frank Gérald, elles sont malicieuses, mutines et frivoles. Un répertoire qui voyage jusqu’en 2018 sans perdre une once de sa fraîcheur.

Une interview à ré-écouter en intégralité :