Le 10H-Midi : sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (Sud Radio)

Pour la sortie de son nouvel album ICONICS, Arielle Dombasle était l’invitée de Valérie Expert et Gilles Ganzmann dans “Le 10H-Midi” sur Sud Radio.

Une émission à retrouver en intégralité ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Arielle Dombasle présente ICONICS dans C à Vous

Hier soir, Arielle Dombasle était l’invitée d’Anne-Élisabeth Lemoine dans “C à Vous” pour la sortie de son nouvel album “ICONICS” !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Le monde d’Élodie : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France Info)

Arielle Dombasle était l’invitée d’Elodie Suigo sur France Info pour la sortie de son nouvel album ICONICS.

Arielle Dombasle est une artiste à part, atypique. C’est par le biais des films d’Éric Rohmer, des séries télévisées comme Miami Vice ou encore des films devenus culte Un Indien dans la ville (1994), Astérix et Obélix contre César (1999) que le public l’a découvert. Et puis la musique est entrée dans sa carrière avec en premier lieu l’album Liberta en 2000. Aujourd’hui, elle sort un nouvel opus Iconics en forme d’hommage à des personnalités des figures féminines emblématiques telles que Judy Garland, Marlène Dietrich, Shirley Bassey ou encore Joséphine Baker.

franceinfo : Iconics ce sont huit titres à la fois sensuels, féminins, doux, déterminés. Un peu comme vous.

Arielle Dombasle : J’espère que mon album me ressemble. C’est en effet un hommage au féminin, à ces figures qui m’ont éblouie. C’est un peu une éthique de l’admiration. Quand j’étais enfant, j’ai aimé immensément ma poupée Barbie. Après, j’ai souffert qu’on me réduise à la poupée Barbie. Mais après tout, dans cet album, je lui rends hommage parce que c’était une poupée très futuriste, très d’avant-garde et la première poupée féministe parce que ça donnait envie aux petites filles d’être toute sorte de choses. On achetait la poupée Barbie avocate, maîtresse de maison, patineuse, astronaute, médecin et on se disait : “Voilà ce qui m’attend dans le futur” et on choisissait de jouer avec quelque chose qui déjà vous exaltait.

Que représente cet album pour vous ?

Un hommage aux femmes qui auraient pu être des mères, en tout cas qui, moi, m’ont élevée. Et j’aime reprendre, par exemple, Diamonds Are Forever de Shirley Bassey, cette femme qui a incarné par exemple les nouvelles figures féminines de James Bond, qui sont des femmes fortes, qui sont des femmes espionnes, des combattantes.

Au départ, il y a effectivement la danse. C’est l’un des points d’ancrage qui va vous mener à la scène, au théâtre, à l’expression scénique. Vous avez un côté indomptable. Votre grand-père était consul de France à Calcutta. Ensuite, il a été l’un des premiers à rejoindre le général de Gaulle quand il était en exil à Londres. Il a créé la France Libre. Avez-vous gardé cela de lui ?

J’ai été un peu intimidée par le milieu dans lequel je suis née, parce que c’étaient les ambassades, que des gens très brillants, que des gens remarquables. Et on appelait mon grand-père, Son Excellence. C’était en effet quelqu’un de remarquable qui a sauvé un nombre considérable de gens pendant la guerre, qui a reçu tous les artistes exilés en Amérique et qui a donc été un héros. Et sa femme Man’ha Garreau-Dombasle, est la personne qui a le plus compté dans mon existence. Une femme de lettres et femme, avec ce magnétisme qui faisait qu’elle était entourée d’artistes.

À quoi rêviez-vous enfant ?

J’ai commencé par être un bébé, et puis tout de suite, j’ai dansé, j’ai chanté. Je savais enfant. J’ai toujours imaginé que je serais sur scène et sous les projecteurs. J’ai été choisie par Éric Rohmer pour Perceval le Gallois. J’ai commencé comme ça, avec les airs médiévaux.

Parlons de ces femmes que vous reprenez. Elles ont fait partie de l’émancipation des femmes qui ont parfois mis leur vie en danger. Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait d’être une femme ?

Ce qui me plaît, c’est qu’elles ont déjà une position un peu plus enviable que pendant 21 siècles de domination masculine. Être une femme au XXIᵉ siècle, c’est une bonne chose. On est encore loin de vivre sur un plan d’égalités. Mais il y a beaucoup de plans sur lesquels, heureusement, nos mères et nos grands-mères ont obtenu beaucoup de choses, et notamment Simone de Beauvoir.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

ICI 19/20 Paris Ile-de-France : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France 3)

Arielle Dombasle est l’invitée de Jean-Noël Mirande dans ICI 19/20, diffusé sur France 3 Île-de-France, pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Arielle Dombasle dans “Quelle Epoque !” pour la sortie de l’album ICONICS

Arielle Dombasle était l’invitée de Léa Salamé dans “Quelle Epoque !” pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Télématin: Répétitions chez Madame Arthur pour ICONICS

A l’occasion de la sortie d’ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle le 24 mai prochain, Télématin s’est entretenu avec Arielle Dombasle qui répétait son album ICONICS sur la scène de Madame Arthur.

Un reportage à retrouver en intégralité ci-dessous :

Arielle Dombasle en couverture de Technikart !

Pour la sortie au cinéma de son cinquième long-métrage, “Les Secrets de la princesse de Cadignan”, Arielle Dombasle est en couverture du numéro de septembre du magazine Technikart.

Arielle Dombasle, réalisatrice Balzaco-pop.

“Moi, une excentrique ? Je suis concentrique au contraire !”

Arielle Dombasle

Cinq ans après le déjanté Alien Crystal Palace, elle remet sa casquette de réalisatrice et sort Les Secrets de la princesse de Cadignan, une adaptation de Balzac. Un film plus sage ? Oui et non, car avec Arielle Dombasle, rien n’est jamais tout à fait conventionnel…

Regardez la vidéo de l’interview d’Arielle Dombasle conduite par Laurence Rémila, le rédacteur en chef du magazine Technikart, lors de la séance photo pour la couverture.

“Les Secrets de la princesse de Cadignan”, actuellement au cinéma dans toute la France !

Arielle Dombasle dans la matinale de France Inter

Arielle Dombasle est l’invitée de Léa Salamé. L’actrice et réalisatrice est venue se confier autour de son film “Les secrets de la princesse de Cadignan”, disponible aujourd’hui sur les écrans. Film dans lequel elle partage l’affiche avec Julie Depardieu, Stanisla Merhar, Cédric Kahn, Michel Fau.

Arielle Dombasle signe une fresque sinon une comédie humaine spectaculaire, avec des décors magnifiques, une orchestration très musicale avec des artistes polymorphes, un film choral ponctué de scènes d’opéra, de ballets, de châteaux, de jardins. Ce film est l’occasion de formuler une symbiose artistique avec l’œuvre, l’écriture naturaliste de Balzac et de partager son féminisme de la première heure. Une déclaration d’amour adressée au plus grand écrivain du XIXe siècle pour avoir observé, à sa manière, la psychologie féminine et le paradoxe des êtres dans sa globalité.

Le féminisme de Balzac

Ce qui ressort le plus du film, c’est le féminisme de Balzac. C’est ce qu’on voit dans son cinquième et nouveau film comme réalisatrice où elle joue le rôle principal. Celui de cette princesse, dont l’histoire est tirée d’une nouvelle de Balzac, “Une princesse parisienne” intégrée en 1839 dans La Comédie humaine. À la fois sérieuse et frivole, cette princesse est une ancienne grande courtisane au tableau de chasse interminable, qui s’est jouée avec une très grande intelligence des hommes. Balzac partage à travers elle son féminisme romanesque. Il s’agissait, à travers ce film, de ne faire qu’un entre le présent et le féminisme de Balzac qui écrivait d’elle qu’elle tenait à ne ressembler à personne, qu’elle se créait des rôles, des robes, des opinions qui n’appartenaient qu’à elle : “C’est un personnage immense à interpréter. Ce qui me lie à elle, c’est son aspect combattant, le regard que Balzac porte sur cette femme qui est, pour l’époque, une diablesse et qui prend des libertés indécentes pour avoir exploité le terrain de la séduction. Dans le film, on découvre combien Balzac a réalisé un portrait de femme d’une grande modernité tant il s’est lui-même penché sur la condition des femmes au XIXᵉ siècle de manière absolument brillante et foudroyante“.

“Les Secrets de la princesse de Cadignan” au cinéma dans toute la France dès aujourd’hui !

Et Dieu créa Barbie (France 5)

Ce soir, à 21 heures sur France 5, découvrez le documentaire “Et Dieu créa Barbie” avec un témoignage exceptionnel d’Arielle Dombasle !

Bien plus qu’un simple jouet, Barbie est un personnage emblématique de notre culture, ses mensurations improbables en ont fait un succès planétaire, mais elles ont aussi provoqué de multiples polémiques : les féministes ont attaqué son image stéréotypée de la femme, les parents l’accusent de dévoyer leurs enfants. A travers les témoignages de personnalités-Nicky Doll, Zahia, Lio, Frédérique Bel, Olivier Rousteing, Arielle Dombasle-, retour sur l’histoire du jouet le plus célèbre au monde et sur son impact sur la société. Comment le fabricant a-t-il pioché dans la culture populaire pour façonner un mythe ? Et comment, échappant de la main de son créateur, Barbie est-elle devenue une icône pop autonome ? Plus de soixante ans après sa naissance, Barbie reste une figure dans l’air du temps.

Un documentaire à regarder en VOD sur la plateforme en ligne France TV.

Arielle Dombasle dans La Dalle (Melty)

De ses débuts de danseuse à Mexico à son nouveau single “Barbiconic”, Arielle Dombasle nous retrace son parcours dans La Dalle.

Arielle Dombasle retrace les grands moments de sa carrière dans “La Dalle” pour Melty.

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle en cliquant ici !

Interview “Like it like that” d’Arielle Dombasle (Melty)

Son réseau social préféré ? Son temps d’écran ? Sa vidéo préférée ? Arielle Dombasle nous dit tout ce qu’il se passe dans son phone dans Like It Like That.

Regardez la vidéo de l’interview “Like it like that” d’Arielle Dombasle pour Melty !

Retrouvez Arielle Dombasle sur les réseaux sociaux :*

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle en cliquant ici !

Interview Deep avec Arielle Dombasle (Le Bonbon)

Le Bonbon a posé a posé les questions existentielles que tu te poses à 3 heures du matin à Arielle Dombasle.

L’interprète du titre “Barbiconic” a répondu aux questions existentielles du Bonbon.

L’interview “Deep” d’Arielle Dombasle est à retrouver ci-dessous :

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau clip d’Arielle Dombasle réalisé par Nicolas Pradeau :

Retrouvailles avec Arielle Dombasle (La Parisienne Life)

Retrouvailles avec Arielle Dombasle au Club Marigny à l’occasion de la parution de “Barbiconic” !

Pouvez-vous expliciter le terme Iconics qui donne son nom à votre prochain album attendu pour cet automne ?

Ce sont des figures qui ont traversé le temps et l’espace. En général, le mot iconique était réservé au domaine du religieux. Pour les orthodoxes, les premières icônes étaient des représentations de vierges. Cela renvoie un peu à l’idée de vénérer une image et que derrière celle-ci, il y a une entité. J’ai choisi de baptiser cet album ainsi car toutes les figures féminines que j’ai reprises sont des femmes légendaires qui figurent dans mon petit bréviaire personnel d’icônes.

Comment s’est fait le choix des reprises qui composent ce disque ?

Nous avons commencé par un choix très large de chaque icône abordée. Pour Marlene Dietrich qui a chanté jusqu’à l’âge de 75 ans ; qui a chanté beaucoup d’artistes ; le panorama était si large qu’il a fallu le réduire petit à petit. Nous avons commencé à travailler plusieurs morceaux ; et cela a été le cas pour toutes ; afin d’arriver à la quintessence de là où l’image, le style et la musique étaient, à nos yeux, au sommet. Nous avons choisi de manière très subjective « Lili Marleen » car une image s’est cristallisée mondialement autour de cette chanson qui était incontournable, nous en avons également retenu deux autres morceaux moins convenus que j’adore. « Boys In The Backroom », où l’on retrouve toute l’ambiguïté de Marlene avec les backrooms et avec elle-même avant les théories du gender car elle a été elle-même la première actrice a porté des smokings et a s’habiller en homme pour jouer sur l’ambiguïté homme-femme très tôt dans les années 30 ; c’est une pionnière et c’est une icône pour cela ! Il y a également « I’m Just A Gigolo », j’aime beaucoup son interprétation. Pour Marilyn Monroe qui est la petite ou grande sœur de toutes les actrices, qui a énormément chanté aussi et dont cela va être du reste le 60ème anniversaire de la mort le 04 août, cela a été difficile de choisir. Marilyn Monroe est une figure tellement à part, tellement touchante et tellement parfaite ; tout comme Brigitte BardotMarilyn Monroe a généré tout un style qui a inspiré des milliers de femmes. Elle était la seule à avoir ce style, cette voix avec cet incroyable vibrato ; c’est difficile de faire du Marilyn. Sur l’album, nous avons pris deux de ses standards qui sont adorés du monde entier « I Wanna Be Loved By You » et « Diamond’s Are A Girl’s Best Friend ». Pour Peggy Lee, nous nous sommes intéressés à « Fever » qui a été sa grande aventure ; on disait de cette artiste qu’elle était la Sinatra au féminin. Peggy Lee a fait aussi un peu de cinéma. Toutes les figures présentes sur « Iconics » sont au croisement de la musique et du cinéma. Ces artistes ont été très gâtées car elles ont connu les golden years Américaines ; l’apogée des plus grandes comédies musicales. Aujourd’hui, il n’y a plus au cinéma ce style Stanley Donen, Liza Minelli… Oui, il y a eu « La la Land »…

Comment est né le titre original « Barbiconic » ?

L’album a été fait par Baptiste Homo et Clément Agapitos qui forment le duo OMOH, le process a été long car nous avons voulu faire un revival qui restitue un son, une saveur et une vérité de l’époque tout en revisitant ces morceaux de manière Electro avec des synthés et des guitares électriques. Au-delà de ces reprises, Charly Voodoo ; m’a proposé cette idée de titre original dédié à Barbie qu’il a écrit et composé.

Vous souvenez-vous de votre première poupée Barbie ?

Evidemment ! Je devais avoir quatre ou cinq ans, je me souviens que l’on m’avait offert une poupée Barbie avec un petit maillot rayé noir et blanc, elle avait des cheveux longs que j’ai immédiatement coiffés. J’ai instantanément été emportée par le charme de cette poupée qui n’était pas l’un de ces gros poupons qui pleure ou une grande poupée figée. C’était une vraie petite égérie futuriste qui faisait tous les métiers. J’ai adoré les panoplies de Barbie avec lesquelles elle pouvait devenir infirmière, pilote d’avion, hôtesse de l’air…J’étais si heureuse d’avoir les nouveaux habits de Barbie, ses petits souliers et tous ses accessoires. J’adorais ma poupée Barbie !

Selon vous, qu’est-ce qui rend Barbie aussi iconique ?

Grâce à Barbie, les petites filles peuvent se projeter quand elles seront jeunes femmes. Cette poupée  a des proportions adorables ; et au-delà de cela, elle est sport, Rock, Pop, elle suit les tendances, elle les devance, elle est visionnaire. C’est la seule poupée qui est comme cela. Par ailleurs, elle a été habillée par tous les plus grands couturiers du monde.

Pouvez-vous nous parler plus en détail de la mise en images de « Barbiconic » ?

Le clip de « Barbiconic » a été réalisé par le talentueux et ravissant Nicolas Pradeau qui a 20 ans. Nicolas qui a reçu le Prix Nikon a imaginé ce clip pour moi ; il a beaucoup travaillé pour me mettre en miniature dans la maison de Barbie. Tous les petits objets très Pop ; très Warholiens ; que l’on retrouve dans cette vidéo ont été imaginés par Yaz Bukey qui est une merveilleuse artiste ; c’est une styliste géniale très pointue.

Sous quelle « forme » aimeriez-vous être immortalisée en poupée ?

Eh bien… Je crois en poupée princesse conte de fée avec une longue robe, une petite couronne et même une baguette magique ; Barbie peut tout faire !

Pensez-vous que Barbie joue encore à l’heure actuelle un rôle important dans le développement des petites filles ?

Oui, tout à fait car Barbie continue d’être la poupée sur laquelle on peut se projeter ; on peut l’habiller comme on veut même si parfois, les parents ne vous laissent pas faire bien qu’ils soient plus libéraux de nos jours. Maintenant, les petites filles peuvent sortir endiamantées et en tutu dans la rue. Elles portent des tas de choses qui scintillent notamment sur les chaussures et elles osent le pink presque bubble-gum de Barbie alors qu’il y a quelques années, c’était vu comme quelque chose d’un peu too much.

« Iconics » va-t-il être un opus essentiellement dansant comme pourrait le laisser entendre les deux premiers extraits ?

Non car sur cet album, il va y avoir des chansons plus langoureuses et dreamy à l’image notamment de « Somewhere Over The Rainbow » de Judy Garland qui est pour moi une étoile particulièrement brillante dans le firmament.

Vous reprenez « J’Ai Deux Amours » de Joséphine Baker, quels seraient les deux vôtres ?

C’est facile, mes deux amours seraient Paris et Zihuatanejo qui est un petit village de pêcheurs sur le Pacifique au Mexique.

Allez-vous présenter en live plus de titres iconiques qu’il n’y en a sur cet album à paraître ?

Sur scène, je vais interpréter les chansons de cet album mais aussi un peu un « best of » de mes précédents albums que le public me demande toujours. Comme nous avons dû réduire le choix des titres que nous avons travaillés pour « Iconics » à douze, je pourrais peut-être en chanter beaucoup plus…

Ce qui n’apparaît pas sur cet album pourrait-il donner lieu à un « Iconics Volume 2 » ?

Maybe, it’s a good idea ! Vous nous la donnez !

Quels sont vos prochains projets ?

Nous hésitons sur le choix du troisième single de ce nouvel album mais nous avons déjà mis en images deux morceaux iconiques ! Un showcase et quelques concerts devraient avoir lieu à L’Alcazar à l’automne au moment de la parution d’« Iconics ».

Découvrez “Barbiconic”, le nouveau single d’Arielle Dombasle !

Cet été, Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic”, le deuxième single extrait de son nouvel album Iconics (sortie cet automne).

Dans un clip pop, fun et coloré signé Nicolas Pradeau, Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic” le deuxième titre extrait de son nouvel album Iconics. Écrite et composée par Charly Voodoo, “Barbiconic” met à l’honneur une des icônes qui ont jalonées la vie et la carrière d’Arielle Dombasle.

Barbiconic est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui chante, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Iconics avance comme un album de reprises où Arielle incarne, en revêtant leurs habits légendaires, les grandes divas de l’histoire du music-hall : Marlène Dietrich, Peggy Lee, Marilyn Monroe, Joséphine Baker, Judy Garland, Shirley Bassey, Grace Jones, Natalie Wood. Chacune de ces icîones sidérales a été visitée en sa demeure : le ciel étoilé. Arielle s’attaque à leurs standards avec une candeur et une effronterie qui ravient.

Les artistes Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout signent une fois de plus la pochette du single “Barbiconic”.

Ecoutez le signle “Barbiconic” sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement :

Arielle Dombasle présente “Barbiconic” dans Télématin

Ce matin, Arielle Dombasle était l’invitée de Julia Vignali et Thomas Sotto dans Télématin pour annoncer la sortie de son nouveau single “Barbiconic” qui sortira demain, le 6 juillet 2022.

“Barbiconic” est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Dans ce nouvel extrait de l’album Iconics (qui sortira cet automne), Arielle Dombasle a confié la réalisation du clip du titre écrit et composé par Charly Voodoo à Nicolas Pradeau (Grand Prix du Jury au Nikon Film Festival).

Avec “Barbiconic”, Barbie rejoint les icônes si chères à Arielle Dombasle qui s’amuse de ce à quoi elle a été comparée depuis la réalisation de son long métrage Les Pyramides Bleues.

Regardez l’interview d’Arielle Dombasle dans Télématin sur France 2 :

“Barbiconic”, sortie le mercredi 6 juillet 2022.

Iconics, sortie à l’automne 2022.

Un album réalisé par OMOH. Une pochette signée Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout.

Arielle Dombasle dévoile “Barbiconic” Chez Jordan (Télé Loisirs)

Arielle Dombasle est de retour avec un nouveau single, “Barbiconic” et dévoile les coulisses du tournage du clip en exclusivité pour Télé-Loisirs et Jordan De Luxe !

Particulièrement présente à la télévision comme à la radio, notamment après avoir intégré Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier, Arielle Dombasle fait partie de celles qui ont une multiple casquette. Car la comédienne est aussi chanteuse, et sort régulièrement de nouveaux titres. Le dernier en date est “Barbiconic”, où elle se grime en Barbie jouant à la poupée iconique de Mattel. Le clip, qu’il est possible de visionner dans Chez Jordan, l’émission de Jordan De Luxe, est haut en couleur et particulièrement marquant d’un point de vue visuel. La sortie de ce nouveau single est prévue pour le 6 juillet prochain sur les plateformes de streaming.

Regardez l’interview d’Arielle Dombasle en intégralité ci-dessous :

Un clip très coloré pour un titre inédit

De cette ode au féminisme et à la féminité, Arielle Dombasle en garde un très bon souvenir : “C’est compliqué [à tourner] parce qu’il y a un stylisme (…) il fallait que ça soit harmonieux avec la musique et que ce soit une iconographie très pensée.” La compagne de Bernard-Henry Levy s’est attachée les services du réalisateur Nicolas Pradeau, qui a signé le clip de Louis Chedid pour sa reprise “Ainsi soit-il” : “Il est couvert de prix, il est très beau, qui a 22 ans et qui est tellement talentueux. Ça l’a beaucoup inspiré et c’est lui qui a fait tous ces trucages pour me rendre toute petite pour rentrer dans la maison de Barbie.” Barbiconic est un single inédit au sein de son album de reprises dont elle a déjà dévoilé le single “Fever”.

La pochette de l’album Iconics, dont est extrait le single “Barbiconic” est signée des artistes Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout.

Barbie l’a beaucoup inspirée

Dans cet album de reprises, elle a souhaité rendre hommage aux femmes qui l’ont inspirée. C’est de cette idée qu’est donc né Barbiconic : “Dans ces femmes qui m’ont beaucoup inspirée, il y a Barbie.” Arielle Dombasle révèle que cette poupée, elle l’aimait étant petite, mais elle n’appréciait pas qu’on lui rappelle constamment qu’elle lui ressemblait. Une remarque qui l’a suivi toute sa vie, notamment lorsqu’elle fut metteuse en scène sur le film Les Pyramides Bleues : “Quand le film est sorti, Le Nouvel Observateur a titré ‘La poupée Barbie fait son cinéma’. J’en ai été mortifiée.” Aujourd’hui, la comédienne et chanteuse est prête à prendre “sa revanche.

Sortie du single et du clip de “Barbiconic” le 6 juillet 2022 !