Arielle Dombasle chantera lors de l’arrivée de la flamme olympique à Paris (Le Parisien)

La chanteuse et comédienne a composé « Olympics », un hymne inspiré de la 7ème symphonie de Beethoven, pour l’arrivée de la flamme olympique dans la capitale des Jeux, le 14 juillet. Le single sera disponible le 25 juin.

« Olympics ». C’est l’hymne qu’entonnera Arielle Dombasle le 14 juillet à 19h30, en direct sur France 2, jour de la Fête nationale et de l’arrivée de la flamme olympique à Paris. La chanteuse et comédienne sera entourée d’athlètes qui se sont entraînés à la danse pour son clip et une performance inédite, chorégraphiée par Pika Matador, une ex-danseuse du Crazy Horse. « Avec le feu, on peut tout. Et c’est pour ça que cette flamme olympique est merveilleuse – le feu allume le feu ! » s’exclame l’artiste.

Son hymne est inspiré de la « Septième symphonie » de Beethoven, bien dans la veine de son dernier album sorti en mai, « Iconics », où pop et électro sont à l’honneur, grâce à des morceaux tels que « Barbiconics » et une reprise de « Fever », de Peggy Lee.

Arielle Dombasle, rencontrée en début de semaine à Paris, nous dévoile, accompagnée par le musicien et compositeur Charly Voodoo, qui sont ses icônes femmes et son amour pour le sport. Avec joie, malgré quelques inquiétudes, elle brandit son enthousiasme inébranlable.

Une ode aux femmes et à leurs exploits

« J’ai écrit cet hymne pour les femmes, et gloire aux premières athlètes féminines ! » Les Jeux olympiques refondés par Coubertin en 1894 excluaient le sexe dit faible de beaucoup d’épreuves, arguant de « la fragilité inhérente à leur condition féminine », dixit le baron. Ce temps est révolu, et c’est ce que la chanteuse et comédienne aux multiples facettes met en avant dans le clip de « Olympics », tourné au musée des Arts décoratifs de Paris (Ier). Lyrique et électro s’y mêlent, ne font plus qu’un — n’est-ce pas l’enjeu d’une compétition sportive, au-delà de la victoire, fédérer et rassembler —, et elle y déambule dans une robe signée Marie Beltrami, ou suspendue aux anneaux lumineux, symboles des Jeux, parmi des sportifs, gymnastes, escrimeurs, boxeurs…

« Pour les sportives femmes, ça n’a pas été donné de concourir à toutes les épreuves », insiste-t-elle. Les yeux qui s’illuminent, elle évoque les images impressionnantes de Nadia Comaneci, considérée comme l’une des plus grandes gymnastes au monde, médaillée d’or au Jeux de 1976 à Montréal : « Ça a ébloui le monde entier, elle était encore sous le joug du grand bloc de l’Est, c’était tout d’un coup un jaillissement de liberté. »

Son rapport au sport et au corps

La chanteuse pratique depuis toujours la natation et la danse classique : « C’est en admirant Esther Williams, nageuse athlétique, devenue grande figure dans les comédies musicales de l’âge d’or de Hollywood que j’ai découvert la natation. » Surnommée la « sirène de Hollywood », une fois happée par l’industrie, elle ne s’est plus illustrée dans les compétitions sportives.

Là-dessus, la liane, fine et vêtue de rouge, un foulard tricolore noué à son cou, constate que pour hommes et femmes, aujourd’hui encore, « il est difficile d’être en accord avec son corps. Il faut l’apprivoiser, les gens sont toujours terribles envers les individus qui ne correspondent pas aux canons de beauté à l’ordre du jour. »

Fan de breakdance et de skate

« L’exaltation du corps et le surpassement de l’âme, c’est extraordinaire ! J’ai toujours admiré les danseuses sur pointe, qui sont des athlètes à part entière — comme des phénomènes, au sommet de la grâce et de la beauté. Petite, je pleurais pour faire des pointes », raconte-t-elle. Arielle nage en toutes eaux, piscine, mer, rivière, à l’image de ses projets artistiques, tantôt comédienne, réalisatrice, meneuse de revue… elle est multiple.

Les Jeux de Paris font entrer de nouvelles disciplines dans les palmarès, comme le skateboard et le breakdance, inspirés de la culture américaine hip-hop de la rue. « Alors ça, pour rien au monde je ne raterai la breakdance et le skate, où il y aura filles et garçons ! » Durant tout l’été, Arielle Dombasle sera présente, en supportrice enthousiaste, alors que beaucoup de Français s’inquiètent du déferlement touristique, et songent à quitter la capitale.

À la lueur de la flamme, le devoir citoyen

Le climat politique actuel, avec la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, les élections législatives anticipées, tandis que de chaque bord, des coalitions se forment ? « Il faut que tout le monde aille aux urnes, commente Arielle Dombasle, il en va de la survie des libertés et des tolérances, de l’acceptation de l’autre, il en va des véritables forces démocratiques. Nous vivons dans un pays où le vote n’est pas truqué. La France est le pays des Lumières », conclut-elle.

« La dissolution de l’Assemblée sera, je l’espère, pour un monde meilleur », ajoute-t-elle, faisant référence à la majorité relative de l’actuel gouvernement, et aux nombreux blocages et articles 49.3 dégainés, sans s’étendre plus.

Le documentaire de la discorde

En novembre 2023, Netflix diffuse le documentaire « Scandale chez la femme la plus riche du monde » qui revient sur les abus de faiblesse et autres intrigues autour de Liliane Bettencourt et son entourage. Arielle Dombasle y apparaît. L’artiste confie aujourd’hui ne pas pouvoir communiquer sur cette affaire, à la suite d’une plainte qu’elle a déposée contre la production. Mais son sentiment de trahison, quant à l’utilisation de ses témoignages dans ce programme, utilisés contre son gré souligne-t-elle, reste palpable.

Un espoir, un seul pour ces Jeux olympiques de Paris 2024 ?

« Nous sommes dans une période d’énorme perturbation mondiale, une époque très tendue, très anxiogène. J’espère justement que ces Jeux olympiques, cet affrontement de tous les pays, sur une base de la simple humanité sportive, vont arranger les choses. »

Arielle Dombasle souhaite, comme écrit dans son hymne, que Paris soit une fête, que pleuvent les médailles d’or : « Un hymne à la joie, l’esprit de la fête, du dépassement de soi, c’est à l’ordre du jour ! » Un petit pas de côté vis-à-vis de Beethoven, mais un vœu limpide et galvanisant.

L’appel de 200 personnalités de la culture qui veulent se faire vacciner

À l’initiative du comédien et metteur en scène Stanislas Nordey, Gérard Jugnot, Nagui, Grand Corps Malade, Zabou Breitman, Arielle Dombasle entre autres se disent prêts à montrer l’exemple en se faisant vacciner, dans un appel publié le 7 janvier dans Le Parisien. Un «acte citoyen» pour essayer de «sortir de l’impasse».

« Il faut sortir de cette situation mortifère »

Arielle Dombasle.

« Les artistes sont dans un état de désespoir insupportable. Tout ce qui peut leur permettre d’exercer à nouveau leur métier est à faire. Les théâtres, les salles de concerts, de cinéma sont des endroits essentiels. Tout ce qui peut contribuer à leur réouverture est à prendre. C’est pour ça que j’ai signé. Pour essayer de débloquer cette situation mortifère. » Je crois que c’est une solution. Peut-être pas LA solution, mais c’en est une. On ne va certainement pas obliger les gens qui ne veulent pas être vaccinés à le faire. Rien n’est imposé. Chacun est libre de croire et de faire ce qu’il veut par rapport à sa santé. De vivre, d’agir et de mourir comme il lui plaît. Je comprends tout. Je n’ai pas à juger les gens qui ne veulent pas être vaccinés. Moi, je le ferai. En même temps, je laisserai la priorité aux gens plus fragiles que moi. J’ai une immunité formidable. »

Interviewée depuis le plateau de BFM Story, Arielle Dombasle a réitéré sa volonté de se faire vacciner contre la COVID-19 dès que possible pour aider à endiguer la pandémie qui touche le monde entier depuis près de un an et met à mal bon nombre de secteurs économiques dont celui de culture.

Regardez le clip des Parisiennes « Ah c’qu’on est bête » !

En exclusivité sur La Parisienne, découvrez le clip du quatuor en or Les Parisiennes : Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja & Helena Noguerra.

Arielle Dombasle, Inna Modja, Mareva Galanter et Helena Noguerra vont vous enchanter…

 

Minirobes à paillettes «Baby doll», coiffures rétro et yeux de biche… Non, vous ne rêvez pas, Les Parisiennes, qui enchantaient la France des années 60, reviennent sur le devant de la scène avec de nouvelles incarnations. Pour sa nouvelle production, l’animateur Laurent Ruquier a en effet réussi à convaincre quatre artistes féminines de premier plan de réinterpréter le répertoire du quatuor mythique, qui s’était notamment fait connaître avec le tube «Il fait trop beau pour travailler».

Au casting de ce spectacle attendu pour la fin mai aux Folies Bergère, Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter. Pour La Parisienne, le «girls band» livre en exclusivité son tout premier clip extrait du spectacle, qui donnera aussi lieu à un album à paraître fin avril.

Les Parisiennes ce sont elles ! (Le Parisien)

Laurent Ruquier a décidé de ressusciter le groupe vocal yé-yé Les Parisiennes avec un nouveau quatuor : Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Inna Modja et Mareva Galanter.

Retrouvez toutes les dates de la tournée Les Parisiennes ci-dessous :

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«Danse avec les stars» s’offre Arielle Dombasle

La chanteuse et comédienne de 59 ans a décidé de fouler le parquet de TF1 cet automne.

On parlait d’elle pour intégrer le jury de «Nouvelle Star»… Surprise, c’est dans «Danse avec les stars» qu’Arielle Dombasle fera sa rentrée. Du côté des candidats.

Un joli coup pour le concours de danse de TF1, qui l’avait sollicitée pour sa première édition en 2011 avant de retenter sa chance cette année. Et cette fois, la comédienne et chanteuse de 59 ans a dit oui. «C’est une récréation pleine de légèreté en même temps qu’un challenge athlétique, et ça m’amuse», nous confie l’épouse de Bernard-Henri Lévy, dans une interview exclusive à paraître ce jeudi dans Le Parisien.

Passionnée de danse et de cultures latines, l’ex-meneuse de revue du Crazy Horse, qui se définit comme «sportive», part plutôt bien armée vers le parquet de la Une. Avec le soutien de son mari («il m’a dit : si ça t’amuse, pourquoi pas ?») lequel ne devrait toutefois pas apparaître sur TF1 à ses côtés. «Bernard-Henri n’a d’ailleurs jamais regardé l’émission je crois… Mais justement, il faut toujours surprendre la personne qu’on aime.» Et ne pas s’inquiéter des critiques, qu’elles proviennent du jury («on passe sa vie à être jugé de toute façon») ou des téléspectateurs («le public a toujours été clément avec moi»).