Arielle Dombasle présente ICONICS dans C à Vous

Hier soir, Arielle Dombasle était l’invitée d’Anne-Élisabeth Lemoine dans « C à Vous » pour la sortie de son nouvel album « ICONICS » !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Le monde d’Élodie : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France Info)

Arielle Dombasle était l’invitée d’Elodie Suigo sur France Info pour la sortie de son nouvel album ICONICS.

Arielle Dombasle est une artiste à part, atypique. C’est par le biais des films d’Éric Rohmer, des séries télévisées comme Miami Vice ou encore des films devenus culte Un Indien dans la ville (1994), Astérix et Obélix contre César (1999) que le public l’a découvert. Et puis la musique est entrée dans sa carrière avec en premier lieu l’album Liberta en 2000. Aujourd’hui, elle sort un nouvel opus Iconics en forme d’hommage à des personnalités des figures féminines emblématiques telles que Judy Garland, Marlène Dietrich, Shirley Bassey ou encore Joséphine Baker.

franceinfo : Iconics ce sont huit titres à la fois sensuels, féminins, doux, déterminés. Un peu comme vous.

Arielle Dombasle : J’espère que mon album me ressemble. C’est en effet un hommage au féminin, à ces figures qui m’ont éblouie. C’est un peu une éthique de l’admiration. Quand j’étais enfant, j’ai aimé immensément ma poupée Barbie. Après, j’ai souffert qu’on me réduise à la poupée Barbie. Mais après tout, dans cet album, je lui rends hommage parce que c’était une poupée très futuriste, très d’avant-garde et la première poupée féministe parce que ça donnait envie aux petites filles d’être toute sorte de choses. On achetait la poupée Barbie avocate, maîtresse de maison, patineuse, astronaute, médecin et on se disait : « Voilà ce qui m’attend dans le futur » et on choisissait de jouer avec quelque chose qui déjà vous exaltait.

Que représente cet album pour vous ?

Un hommage aux femmes qui auraient pu être des mères, en tout cas qui, moi, m’ont élevée. Et j’aime reprendre, par exemple, Diamonds Are Forever de Shirley Bassey, cette femme qui a incarné par exemple les nouvelles figures féminines de James Bond, qui sont des femmes fortes, qui sont des femmes espionnes, des combattantes.

Au départ, il y a effectivement la danse. C’est l’un des points d’ancrage qui va vous mener à la scène, au théâtre, à l’expression scénique. Vous avez un côté indomptable. Votre grand-père était consul de France à Calcutta. Ensuite, il a été l’un des premiers à rejoindre le général de Gaulle quand il était en exil à Londres. Il a créé la France Libre. Avez-vous gardé cela de lui ?

J’ai été un peu intimidée par le milieu dans lequel je suis née, parce que c’étaient les ambassades, que des gens très brillants, que des gens remarquables. Et on appelait mon grand-père, Son Excellence. C’était en effet quelqu’un de remarquable qui a sauvé un nombre considérable de gens pendant la guerre, qui a reçu tous les artistes exilés en Amérique et qui a donc été un héros. Et sa femme Man’ha Garreau-Dombasle, est la personne qui a le plus compté dans mon existence. Une femme de lettres et femme, avec ce magnétisme qui faisait qu’elle était entourée d’artistes.

À quoi rêviez-vous enfant ?

J’ai commencé par être un bébé, et puis tout de suite, j’ai dansé, j’ai chanté. Je savais enfant. J’ai toujours imaginé que je serais sur scène et sous les projecteurs. J’ai été choisie par Éric Rohmer pour Perceval le Gallois. J’ai commencé comme ça, avec les airs médiévaux.

Parlons de ces femmes que vous reprenez. Elles ont fait partie de l’émancipation des femmes qui ont parfois mis leur vie en danger. Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait d’être une femme ?

Ce qui me plaît, c’est qu’elles ont déjà une position un peu plus enviable que pendant 21 siècles de domination masculine. Être une femme au XXIᵉ siècle, c’est une bonne chose. On est encore loin de vivre sur un plan d’égalités. Mais il y a beaucoup de plans sur lesquels, heureusement, nos mères et nos grands-mères ont obtenu beaucoup de choses, et notamment Simone de Beauvoir.

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

ICI 19/20 Paris Ile-de-France : ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle (France 3)

Arielle Dombasle est l’invitée de Jean-Noël Mirande dans ICI 19/20, diffusé sur France 3 Île-de-France, pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Arielle Dombasle dans « Quelle Epoque ! » pour la sortie de l’album ICONICS

Arielle Dombasle était l’invitée de Léa Salamé dans « Quelle Epoque ! » pour la sortie de son nouvel album ICONICS !

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, est actuellement disponible sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement.

Les Enfants de la Télé : Iconics

Pour la sortie de son nouvel album « Iconics », Arielle Dombasle était l’invitée de Laurence Boccolini dans « Les Enfants de la Télé ».

Retour sur les moments cultes des invités Arielle Dombasle, Tanguy Pastureau, Jérôme Anthony, Henri Sagnier, Éric Antoine et Agathe Lecaron, moments télévisuels d’anthologie.

Une émission à retrouver ci-dessous :

ICONICS, le nouvel album d’Arielle Dombasle, sortie le 24 mai 2024.

Découvrez « Diamonds are forever », le nouvel extrait de l’album ICONICS, déjà disponible.

Arielle Dombasle en couverture de Technikart !

Pour la sortie au cinéma de son cinquième long-métrage, « Les Secrets de la princesse de Cadignan », Arielle Dombasle est en couverture du numéro de septembre du magazine Technikart.

Arielle Dombasle, réalisatrice Balzaco-pop.

« Moi, une excentrique ? Je suis concentrique au contraire ! »

Arielle Dombasle

Cinq ans après le déjanté Alien Crystal Palace, elle remet sa casquette de réalisatrice et sort Les Secrets de la princesse de Cadignan, une adaptation de Balzac. Un film plus sage ? Oui et non, car avec Arielle Dombasle, rien n’est jamais tout à fait conventionnel…

Regardez la vidéo de l’interview d’Arielle Dombasle conduite par Laurence Rémila, le rédacteur en chef du magazine Technikart, lors de la séance photo pour la couverture.

« Les Secrets de la princesse de Cadignan », actuellement au cinéma dans toute la France !

Et Dieu créa Barbie (France 5)

Ce soir, à 21 heures sur France 5, découvrez le documentaire « Et Dieu créa Barbie » avec un témoignage exceptionnel d’Arielle Dombasle !

Bien plus qu’un simple jouet, Barbie est un personnage emblématique de notre culture, ses mensurations improbables en ont fait un succès planétaire, mais elles ont aussi provoqué de multiples polémiques : les féministes ont attaqué son image stéréotypée de la femme, les parents l’accusent de dévoyer leurs enfants. A travers les témoignages de personnalités-Nicky Doll, Zahia, Lio, Frédérique Bel, Olivier Rousteing, Arielle Dombasle-, retour sur l’histoire du jouet le plus célèbre au monde et sur son impact sur la société. Comment le fabricant a-t-il pioché dans la culture populaire pour façonner un mythe ? Et comment, échappant de la main de son créateur, Barbie est-elle devenue une icône pop autonome ? Plus de soixante ans après sa naissance, Barbie reste une figure dans l’air du temps.

Un documentaire à regarder en VOD sur la plateforme en ligne France TV.

Interview Deep avec Arielle Dombasle (Le Bonbon)

Le Bonbon a posé a posé les questions existentielles que tu te poses à 3 heures du matin à Arielle Dombasle.

L’interprète du titre « Barbiconic » a répondu aux questions existentielles du Bonbon.

L’interview « Deep » d’Arielle Dombasle est à retrouver ci-dessous :

Découvrez « Barbiconic », le nouveau clip d’Arielle Dombasle réalisé par Nicolas Pradeau :

Retrouvailles avec Arielle Dombasle (La Parisienne Life)

Retrouvailles avec Arielle Dombasle au Club Marigny à l’occasion de la parution de « Barbiconic » !

Pouvez-vous expliciter le terme Iconics qui donne son nom à votre prochain album attendu pour cet automne ?

Ce sont des figures qui ont traversé le temps et l’espace. En général, le mot iconique était réservé au domaine du religieux. Pour les orthodoxes, les premières icônes étaient des représentations de vierges. Cela renvoie un peu à l’idée de vénérer une image et que derrière celle-ci, il y a une entité. J’ai choisi de baptiser cet album ainsi car toutes les figures féminines que j’ai reprises sont des femmes légendaires qui figurent dans mon petit bréviaire personnel d’icônes.

Comment s’est fait le choix des reprises qui composent ce disque ?

Nous avons commencé par un choix très large de chaque icône abordée. Pour Marlene Dietrich qui a chanté jusqu’à l’âge de 75 ans ; qui a chanté beaucoup d’artistes ; le panorama était si large qu’il a fallu le réduire petit à petit. Nous avons commencé à travailler plusieurs morceaux ; et cela a été le cas pour toutes ; afin d’arriver à la quintessence de là où l’image, le style et la musique étaient, à nos yeux, au sommet. Nous avons choisi de manière très subjective « Lili Marleen » car une image s’est cristallisée mondialement autour de cette chanson qui était incontournable, nous en avons également retenu deux autres morceaux moins convenus que j’adore. « Boys In The Backroom », où l’on retrouve toute l’ambiguïté de Marlene avec les backrooms et avec elle-même avant les théories du gender car elle a été elle-même la première actrice a porté des smokings et a s’habiller en homme pour jouer sur l’ambiguïté homme-femme très tôt dans les années 30 ; c’est une pionnière et c’est une icône pour cela ! Il y a également « I’m Just A Gigolo », j’aime beaucoup son interprétation. Pour Marilyn Monroe qui est la petite ou grande sœur de toutes les actrices, qui a énormément chanté aussi et dont cela va être du reste le 60ème anniversaire de la mort le 04 août, cela a été difficile de choisir. Marilyn Monroe est une figure tellement à part, tellement touchante et tellement parfaite ; tout comme Brigitte BardotMarilyn Monroe a généré tout un style qui a inspiré des milliers de femmes. Elle était la seule à avoir ce style, cette voix avec cet incroyable vibrato ; c’est difficile de faire du Marilyn. Sur l’album, nous avons pris deux de ses standards qui sont adorés du monde entier « I Wanna Be Loved By You » et « Diamond’s Are A Girl’s Best Friend ». Pour Peggy Lee, nous nous sommes intéressés à « Fever » qui a été sa grande aventure ; on disait de cette artiste qu’elle était la Sinatra au féminin. Peggy Lee a fait aussi un peu de cinéma. Toutes les figures présentes sur « Iconics » sont au croisement de la musique et du cinéma. Ces artistes ont été très gâtées car elles ont connu les golden years Américaines ; l’apogée des plus grandes comédies musicales. Aujourd’hui, il n’y a plus au cinéma ce style Stanley Donen, Liza Minelli… Oui, il y a eu « La la Land »…

Comment est né le titre original « Barbiconic » ?

L’album a été fait par Baptiste Homo et Clément Agapitos qui forment le duo OMOH, le process a été long car nous avons voulu faire un revival qui restitue un son, une saveur et une vérité de l’époque tout en revisitant ces morceaux de manière Electro avec des synthés et des guitares électriques. Au-delà de ces reprises, Charly Voodoo ; m’a proposé cette idée de titre original dédié à Barbie qu’il a écrit et composé.

Vous souvenez-vous de votre première poupée Barbie ?

Evidemment ! Je devais avoir quatre ou cinq ans, je me souviens que l’on m’avait offert une poupée Barbie avec un petit maillot rayé noir et blanc, elle avait des cheveux longs que j’ai immédiatement coiffés. J’ai instantanément été emportée par le charme de cette poupée qui n’était pas l’un de ces gros poupons qui pleure ou une grande poupée figée. C’était une vraie petite égérie futuriste qui faisait tous les métiers. J’ai adoré les panoplies de Barbie avec lesquelles elle pouvait devenir infirmière, pilote d’avion, hôtesse de l’air…J’étais si heureuse d’avoir les nouveaux habits de Barbie, ses petits souliers et tous ses accessoires. J’adorais ma poupée Barbie !

Selon vous, qu’est-ce qui rend Barbie aussi iconique ?

Grâce à Barbie, les petites filles peuvent se projeter quand elles seront jeunes femmes. Cette poupée  a des proportions adorables ; et au-delà de cela, elle est sport, Rock, Pop, elle suit les tendances, elle les devance, elle est visionnaire. C’est la seule poupée qui est comme cela. Par ailleurs, elle a été habillée par tous les plus grands couturiers du monde.

Pouvez-vous nous parler plus en détail de la mise en images de « Barbiconic » ?

Le clip de « Barbiconic » a été réalisé par le talentueux et ravissant Nicolas Pradeau qui a 20 ans. Nicolas qui a reçu le Prix Nikon a imaginé ce clip pour moi ; il a beaucoup travaillé pour me mettre en miniature dans la maison de Barbie. Tous les petits objets très Pop ; très Warholiens ; que l’on retrouve dans cette vidéo ont été imaginés par Yaz Bukey qui est une merveilleuse artiste ; c’est une styliste géniale très pointue.

Sous quelle « forme » aimeriez-vous être immortalisée en poupée ?

Eh bien… Je crois en poupée princesse conte de fée avec une longue robe, une petite couronne et même une baguette magique ; Barbie peut tout faire !

Pensez-vous que Barbie joue encore à l’heure actuelle un rôle important dans le développement des petites filles ?

Oui, tout à fait car Barbie continue d’être la poupée sur laquelle on peut se projeter ; on peut l’habiller comme on veut même si parfois, les parents ne vous laissent pas faire bien qu’ils soient plus libéraux de nos jours. Maintenant, les petites filles peuvent sortir endiamantées et en tutu dans la rue. Elles portent des tas de choses qui scintillent notamment sur les chaussures et elles osent le pink presque bubble-gum de Barbie alors qu’il y a quelques années, c’était vu comme quelque chose d’un peu too much.

« Iconics » va-t-il être un opus essentiellement dansant comme pourrait le laisser entendre les deux premiers extraits ?

Non car sur cet album, il va y avoir des chansons plus langoureuses et dreamy à l’image notamment de « Somewhere Over The Rainbow » de Judy Garland qui est pour moi une étoile particulièrement brillante dans le firmament.

Vous reprenez « J’Ai Deux Amours » de Joséphine Baker, quels seraient les deux vôtres ?

C’est facile, mes deux amours seraient Paris et Zihuatanejo qui est un petit village de pêcheurs sur le Pacifique au Mexique.

Allez-vous présenter en live plus de titres iconiques qu’il n’y en a sur cet album à paraître ?

Sur scène, je vais interpréter les chansons de cet album mais aussi un peu un « best of » de mes précédents albums que le public me demande toujours. Comme nous avons dû réduire le choix des titres que nous avons travaillés pour « Iconics » à douze, je pourrais peut-être en chanter beaucoup plus…

Ce qui n’apparaît pas sur cet album pourrait-il donner lieu à un « Iconics Volume 2 » ?

Maybe, it’s a good idea ! Vous nous la donnez !

Quels sont vos prochains projets ?

Nous hésitons sur le choix du troisième single de ce nouvel album mais nous avons déjà mis en images deux morceaux iconiques ! Un showcase et quelques concerts devraient avoir lieu à L’Alcazar à l’automne au moment de la parution d’« Iconics ».

Découvrez « Barbiconic », le nouveau single d’Arielle Dombasle !

Cet été, Arielle Dombasle dévoile « Barbiconic », le deuxième single extrait de son nouvel album Iconics (sortie cet automne).

Dans un clip pop, fun et coloré signé Nicolas Pradeau, Arielle Dombasle dévoile « Barbiconic » le deuxième titre extrait de son nouvel album Iconics. Écrite et composée par Charly Voodoo, « Barbiconic » met à l’honneur une des icônes qui ont jalonées la vie et la carrière d’Arielle Dombasle.

Barbiconic est une célébration de celle qui fut à l’origine du féminin et du féminisme. Charly Voodoo a composé une ode à cette poupée de chair et de sang qui chante, qui danse et qui réfléchit.

Arielle Dombasle

Iconics avance comme un album de reprises où Arielle incarne, en revêtant leurs habits légendaires, les grandes divas de l’histoire du music-hall : Marlène Dietrich, Peggy Lee, Marilyn Monroe, Joséphine Baker, Judy Garland, Shirley Bassey, Grace Jones, Natalie Wood. Chacune de ces icîones sidérales a été visitée en sa demeure : le ciel étoilé. Arielle s’attaque à leurs standards avec une candeur et une effronterie qui ravient.

Les artistes Edouard Taufenbach & Bastien Pourtout signent une fois de plus la pochette du single « Barbiconic ».

Ecoutez le signle « Barbiconic » sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement :